La découverte d’anticorps monoclonaux par l’équipe du Dr Robert Liddington, de l’Université Harvard aux États-Unis, laisse entrevoir la fin du virus de la grippe.
Grâce à des travaux menés sur des souris, l’équipe de scientifiques a observé que ces anticorps se fixent sur une région cellulaire, ce qui neutralise la prolifération du virus du groupe 1 (N1).
Toutefois, avant de procéder à des essais cliniques sur les humains, les chercheurs envisagent de travailler avec des furets.
La recherche complète est publiée dans la revue médicale Nature Structural & Molecular Biology.