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Les enfants ingèrent moins d’agents caustiques qu’avant, mais les conséquences sont toujours sérieuses

Ce nombre est beaucoup moins important qu’avant, ont noté les experts. Par exemple, dans les années 70 et 80, de 5000 à 15 000 enfants étaient admis à l’hôpital pour ce problème chaque année.

Les agents caustiques, incluant la soude caustique, sont habituellement utilisés dans certains nettoyants, par exemple ceux qui servent à déboucher les drains. Ces produits ont fait leur apparition au début du 20e siècle, et peu après, les médecins ont vu apparaître de nouveaux problèmes de santé liés à des enfants qui en avaient ingéré.

En 1970, une nouvelle loi a obligé les manufacturiers à vendre leurs produits dans des contenants à l’épreuve des enfants et à présenter clairement les risques sur l’étiquette. Avec le temps, le nombre d’enfants ingérant ce produit a diminué.

Si un enfant avale ces produits, il peut souffrir de brûlures à l’œsophage, mais aussi de nécrose ou de perforation de cet organe ou encore de l’estomac.

La plupart des cas d’hospitalisation étaient pour des enfants de moins de 4 ans, mais il y avait aussi un autre pic chez les adolescents, qui utilisaient le produit pour faire une tentative de suicide, selon MedPageToday.

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Les enfants ingèrent moins d’agents caustiques qu’avant, mais les conséquences sont toujours sérieuses

Ce nombre est beaucoup moins important qu’avant, ont noté les experts. Par exemple, dans les années 70 et 80, de 5000 à 15 000 enfants étaient admis à l’hôpital pour ce problème chaque année.

Les agents caustiques, incluant la soude caustique, sont habituellement utilisés dans certains nettoyants, par exemple ceux qui servent à déboucher les drains. Ces produits ont fait leur apparition au début du 20e siècle, et peu après, les médecins ont vu apparaître de nouveaux problèmes de santé liés à des enfants qui en avaient ingéré.

En 1970, une nouvelle loi a obligé les manufacturiers à vendre leurs produits dans des contenants à l’épreuve des enfants et à présenter clairement les risques sur l’étiquette. Avec le temps, le nombre d’enfants ingérant ce produit a diminué.

Si un enfant avale ces produits, il peut souffrir de brûlures à l’œsophage, mais aussi de nécrose ou de perforation de cet organe ou encore de l’estomac.

La plupart des cas d’hospitalisation étaient pour des enfants de moins de 4 ans, mais il y avait aussi un autre pic chez les adolescents, qui utilisaient le produit pour faire une tentative de suicide, selon MedPageToday.

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Les enfants et les piles ne font pas bon ménage

Entre 1990 et 2009, 65 788 jeunes de moins de 18 ans ont été admis à l’hôpital pour avoir avalé une pile (7,5 %) ou l’avoir incrustée dans leur nez (10,2 %) ou leur oreille (5,7 %).

Parmi ces derniers, les enfants de moins de cinq ans (80 %) étaient le plus à risques de commettre un incident de la sorte.

L’étude, qui est parue en ligne sur le site de Pediatrics, mentionne que c’est en moyenne 3289 visites infantiles par an qui sont liées à des manipulations non sécuritaires de piles.

« Cette étude a démontré une augmentation significative de la fréquence et du taux de visites à l’urgence en raison d’ingestion de piles chez les enfants », écrivent les chercheurs de l’Institut de recherche de l’Hôpital pour enfants de Nationwide à Columbus, dans l’Ohio.

« La plupart des piles passeront à travers le tractus gastro-intestinal spontanément, sans conséquences néfastes. Cependant, des dommages aux tissus ou encore la mort peuvent se produire si la pile demeure logée et bloquée trop longtemps dans l’œsophage », avertissent-ils.

Les auteurs de l’étude appellent à beaucoup plus de prudence de la part des adultes entourant les enfants et à plus d’efforts de prévention des médecins et des fabricants de piles.

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À quand l’ingestion du placenta?

Si presque tous les mammifères non humains consomment leur placenta ou une partie de celui-ci après l’accouchement, c’est qu’il y a sûrement de bonnes raisons… mais quelles sont-elles et pourquoi la mère humaine ne le fait-elle pas?

Selon un article de neuroscientifiques de l’Université de Buffalo et du Buffalo State College, qui paraîtra le 30 mars dans la revue Ecology of Food and Nutrition,l’ingestion du placenta chez l’humain mérite une étude approfondie.

Plusieurs bienfaits sont déjà montrés chez l’animal, qui connaît habituellement des accouchements plus nombreux, un travail plus facile et une meilleure récupération après avoir donné la vie que l’humain.

En effet, l’ingestion du placenta, ainsi que l’ingestion de liquide amniotique par des mères mammifères, provoque une augmentation de l’interaction mère-enfant et augmente les effets analgésiques et méditatifs durant l’accouchement.

Il potentialise également des circuits opioïdes dans le cerveau de la mère, qui facilitent l’apparition du comportement maternel pour prendre soin de son petit et suppriment la pseudo gestation et dépression post-partum, ce qui augmente les possibilités de fécondation à nouveau.

Depuis un certain temps, la société connaît un engouement pour l’ingestion de placenta en capsules. Les spécialistes croient que de nouvelles recherches n’auraient pas pour but « une exhortation pour les femmes à manger le placenta, mais plutôt pour les scientifiques d’isoler et d’identifier la ou les molécules qui produisent l’effet bénéfique et de l’utiliser pour concevoir des outils pharmacologiques ».

Des études antérieures ont d’ailleurs prouvé que dans le cas des opioïdes analgésiques et, il y a un effet bénéfique aussi chez les autres humains qui ne portent pas d’enfants.