Étiquette : injection
Des chercheurs de l’Université du Colorado ont fait une découverte étonnante en injectant des cellules souches à des souriceaux, nous apprend Radio-Canada.
Les petits cobayes avaient des muscles endommagés à ce moment. Or, deux ans plus tard, ces cellules couches avaient réellement subi une transformation, même qu’elles avaient rendu les souriceaux résistants au vieillissement musculaire.
Il est donc clair que l’injection en question a un impact sur l’affaiblissement de la masse musculaire. On pense déjà à d’éventuelles thérapies de régénération musculaire.
Afin de rendre ces thérapies plus accessibles aux humains, soit en les administrant sous forme de comprimés par exemple, les chercheurs devront maintenant isoler la molécule responsable de ce phénomène.
Un nouveau contraceptif pour hommes
Le Botox pointé du doigt
L’Agence européenne pour l’évaluation des médicaments (EMEA) a répertorié 600 cas où les injections de Botox ont entraîné des effets secondaires négatifs. Selon l’Agence, 28 personnes sont même décédées à la suite de ces injections.
Dès juillet 2007, l’Union européenne avait demandé aux professionnels de la santé d’user de prudence en matière de toxine botulique et avait resserré la législation concernant le Botox.
Cette décision va dans le même sens que les actions prises par la Food and Drug Administration aux États-Unis, qui a allongé la liste des effets secondaires dangereux reliés au Botox, allant jusqu’au décès et des difficultés respiratoires en cas de surdosage.
Une association américaine de protection des consommateurs, la Public Citizen, a déjà affirmé que l’usage du Botox avait entraîné 87 hospitalisations aux États-Unis entre le 1er novembre 1997 et le 31 décembre 2006, et que 16 personnes en seraient mortes.
Selon Cyberpresse.ca, le nombre de seringues gratuites offertes aux utilisateurs de drogues par injection a triplé depuis neuf ans dans la région de Québec. Cette hausse s’explique par le programme mis en place par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec afin de diminuer le risque de contracter des infections transmissibles sexuellement et par le sang.
Devant la popularité croissante de ce programme, Québec a encore augmenté sa contribution cette année, a précisé Renée Maranda-Aubut, coordonnatrice en maladies infectieuses à la Direction de santé publique de la Capitale-Nationale.
Les centres de distribution peuvent ainsi répondre davantage à la demande des utilisateurs, qui sont aussi à risque que la communauté homosexuelle en ce qui concerne le taux d’infection au VIH.
L’autre volet de ce programme touche la récupération de seringues usagées. « On passe toujours le message de ne jamais partager ou échanger le matériel », a conclu Mme Maranda-Aubut.