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Une fiche sur les injections de toxine botulique rassure les petits

Les enfants qui souffrent de pathologies telles que l’infirmité motrice cérébrale et certaines autres maladies rares ont souvent recours aux injections de toxine botulique pour apaiser leur douleur due à des contractions musculaires.

Cette substance, qui diminue la contraction des muscles en agissant au niveau de la jonction neuromusculaire, permet notamment d’améliorer les mouvements et de faciliter certaines activités quotidiennes et banales, comme l’habillage et la toilette, décrit le site Santé Log.

Injectées aux six mois environ, ces piqûres font particulièrement mal, car elles sont faites dans le muscle.

Afin que l’enfant n’ait pas peur et ne demeure pas traumatisé de la première fois où il reçoit une telle injection, l’Association Sparadrap, pour les enfants malades ou hospitalisés, a créé une affiche pratique et illustrée qui se veut informative et réconfortante pour les petits et leur entourage.

Le papier montre et décrit aux enfants en des termes qu’ils comprennent l’utilité du traitement, le déroulement et les bienfaits de celui-ci. Pour les familles et les cliniciens, des informations sont fournies pour les préparer à accompagner le jeune avant et après l’injection.

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Les injections de cortisone pour les tendinites sont néfastes à long terme

La revue The Lancet nous apprend que bien que les injections de cortisone dans les tendons douloureux offrent un soulagement à court terme, ces traitements peuvent être néfastes pour la santé à moyen et long terme.
 
Après avoir analysé 41 essais cliniques totalisant 2 372 personnes, des chercheurs australiens constatent que les chances de guérison après un an sont réduites de 21 % pour les personnes qui reçoivent des injections de cortisone afin de traiter leur tendinite au coude.
 
On note que plus le nombre d’injections est élevé et plus les conséquences seront importantes à long terme. Ainsi, une personne qui recevrait quatre injections de cortisone pour sa tendinite du coude verrait son taux de guérison chuter de 57 % après 18 mois.
 
Bien que ces effets néfastes soient moins marqués pour les autres tendinites, comme celle de l’épaule et du tendon d’Achille, la cortisone n’est tout de même pas favorable à la guérison. La seule valeur sûre est d’opter pour la physiothérapie.
 
Pour ce qui est des injections avec d’autres substances, par exemple l’acide hyaluronique et les plaquettes sanguines, elles sont plus bénéfiques à long terme. Toutefois, le degré de soulagement dépend grandement du type de tendinite que vous avez.
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Le Botox pour traiter les migraines

L’Agence américaine des médicaments (FDA) vient d’annoncer qu’elle donnait le feu vert aux injections de Botox afin de traiter les migraines chroniques.
 
Ainsi, les patients pourront recevoir un traitement aux 12 semaines qui consiste en plusieurs injections autour de la tête et du cou.
 
Par contre, la FDA insiste sur le fait que les patients doivent d’abord discuter de cette option avec leur médecin afin de savoir si cela convient à leur condition.
 
Jusqu’à présent, on note des douleurs dans le cou et au crâne comme effets secondaires de cette méthode.
 
Rappelons que l’onabotulinumtoxine A, mieux connue sous le nom de Botox, paralyse les nerfs et est surtout utilisée en esthétique afin d’éliminer les rides. Certaines personnes choisissent également des injections de Botox sous les aisselles afin de réfréner leur excès de transpiration.
 
Sur les boîtes de cette toxine, on retrouve un avertissement précisant que le Botox peut se propager dans le reste du corps et conduire au botulisme, une rare maladie très grave qui paralyse. Elle provoque des gonflements et des difficultés respiratoires qui peuvent être fatales. Jusqu’à présent, aucun cas n’a toutefois été rapporté.