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AVC chez les enfants : les infections aiguës en cause?

Bien que les AVC chez l’enfant soient très rares, les chercheurs tiennent à mentionner qu’ils ne cherchent pas à inquiéter les parents avec ce constat. Selon eux, tous les parents d’enfants en bonne santé n’ont aucune raison de se troubler. En fait, seuls 2,4 à 5 enfants américains sur 100 000 seront touchés par un AVC annuellement.

Une étude de l’Université de la Californie à San Francisco a constaté que les enfants qui, un mois avant un accident vasculaire cérébral ischémique, étaient déjà atteints d’une infection aiguë, connue ou non, avaient plus de chances d’être touchés par un AVC, rapportent les spécialistes durant la conférence de l’American Stroke Association International.

Les experts croient réellement que l’infection n’est pas à l’origine des AVC. Toutefois, l’infection semble agir à titre de déclencheur dans cette situation.

Ils rappellent que les enfants concernés par ce cas ont probablement quelques prédispositions sous-jacentes qui les mènent à avoir cette réponse très rare à une infection très commune.

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Les mères québécoises craignent la boîte à lunch

Confusion, embarras, dégoût et stress sont les quatre principales émotions que ressentent les mères québécoises lorsqu’elles préparent le lunch des enfants.

Certaines confirment même que la confection de la boîte est une réelle corvée, tant que l’enfant, l’école et la société imposent leurs contraintes en matière de bonne nutrition, d’allergies ou autres.

Il semblerait que l’enfant est trop souvent le maître décisif du dossier sac à lunch. Plusieurs jeunes confirment faire du troc à l’école, à l’insu de leurs parents, échangeant ainsi de bons aliments pour ceux qui sont salés et riches en calories.

À l’achat d’une boîte à lunch, les parents disent rechercher la durabilité et la facilité de lavage, tandis que les enfants poussent pour avoir celle qui a un look.

Certains élèves disent également avoir peur des surveillants (débordés dans les services de garde) qui sont contrariés parce qu’il y a « encore » un dîner à faire réchauffer.

Sur ce, l’étude a démontré que seuls 30 à 40 % des enfants, selon les groupes d’âge, mangent des repas faits maison et non du commercial ou surgelé.

Cette étude, qui vient d’être réalisée par Julie-Michèle Mondou dans le cadre de sa maîtrise en nutrition à l’Université de Montréal, révèle que presque la moitié (46 %) des élèves de 5 à 12 ans, au Québec, apportent leur repas à l’école.

Cependant, la majorité des écoles n’ont pas de cafétéria et pas suffisamment de micro-ondes. Les enfants sont d’ailleurs souvent obligés de manger en classe, au gymnase ou même dans les corridors.

Et il arrive fréquemment que les petits doivent casser la croûte à toute allure. Malgré une recommandation du ministère de l’Éducation qui suggère de réserver au moins 20 minutes au dîner, 31 % des écoles n’offrent pas ce temps.

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Bébé ne reconnaît pas les mots, mais plutôt le timbre de la voix

Les chercheurs d’une étude anglaise ont démontré que les bébés réagissent de la même manière à la voix de maman, peu importe si elle parle l’anglais ou le grec.

C’est en faisant bouger des jouets que les mères ont dit les mêmes mots sur le même ton de voix en anglais et en grec. Peu importe la langue utilisée, l’enfant comprenait et il réagissait.

La recherche publiée dans la revue Cognitive Development a été réalisée auprès de 84 bébés, âgés de 14 à 18 mois, à l’Université de Cardiff au cours d’une année. Aucun des bébés anglais n’avait été exposé antérieurement à un univers grec ou à sa langue. Pourtant, ils comprenaient les termes dans les deux langues.

Les résultats de l’étude prouvent donc que le ton l’emporte sur les mots. Ainsi, même si vous dites que son dessin est beau, si vous n’avez pas l’air enthousiaste, votre petit pensera le contraire.

Les parents qui s’inquiètent parce qu’ils ne savent pas quoi dire à leur nourrisson ne devraient pas s’en faire. Selon les spécialistes, ce ne sont pas les mots qui comptent, mais plutôt le timbre de voix.

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Les réelles inquiétudes du nouveau papa

Encore aujourd’hui, les pères se positionnent comme la principale ressource financière de la famille, et ce, même si leur conjointe gagne autant, voire plus d’argent qu’eux. C’est ce que révèle une récente étude de l’Université Cardiff au Royaume-Uni.

Ayant porté sur 46 hommes pendant la grossesse de leur conjointe et durant la première année de vie de leur enfant, son but était de mieux comprendre leur expérience vécue au cours de ce changement dans leur vie.

Comme lu sur Psychcentral, le père est souvent anxieux quant à l’argent et plusieurs couples revoient même leur plan familial en fonction de la situation économique actuelle. Par exemple, certains décident d’avoir deux enfants plutôt que trois pour des raisons financières.

Parallèlement, les chercheurs de cette enquête ont remarqué que les hommes ont tendance à travailler plus en réponse à ce stress financier. En conséquence à ces heures passées à l’extérieur de la maison, le père en vient à passer moins de temps auprès de ses enfants.

Cette étude lève le voile sur les répercussions de la présente récession sur les pères ayant un revenu moyen, et ce, à court et à long terme, selon ses responsables.

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L’inquiétude des parents en lien avec le milieu

Une récente étude de l’Université d’Oxford parue dans le Journal of Evolutionary Biology fait un lien surprenant entre l’éducation et le milieu de vie.

Les chercheurs ont analysé dans quelle mesure les taux de mortalité et de fertilité influencent la manière dont les parents s’occupent de leurs enfants et les nourrissent.

Ils ont découvert qu’un milieu de vie imprévisible qui a un impact sur la mortalité et la fertilité entraîne plus de stratégies de protection des parents pour leur progéniture.

Plusieurs espèces animales auraient donc tendance à s’occuper davantage de leurs petits en fonction du degré de dangerosité de leur milieu de vie.

Pour réaliser la présente étude, on a employé des modèles mathématiques afin de décrire les coûts et les bénéfices des différents degrés d’implication parentale dans des environnements imprévisibles.

L’équilibre fragile entre les coûts et les bénéfices aurait en fait influencé le développement de l’implication parentale de façon négative ou positive au cours de l’histoire.

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De plus en plus de femmes ont peur de l’accouchement

D’après les observations de chercheurs de l’Université de Liverpool, le nombre de femmes tokophobes augmenterait de façon inquiétante, rapporte Le Parisien.

La tokophobie est la peur d’accoucher. Elle peut se traduire par des crises d’angoisse, de l’insomnie ou des vomissements, par exemple.

Or, le nombre de femmes tokophobes aurait augmenté de 40 % en 3 ans au Service de maternité de Liverpool, en Angleterre. La raison en serait la télévision.

En effet, il semble que les futures mamans seraient traumatisées par les images d’accouchements télévisés. Ceux-ci sont d’ailleurs très populaires dans les émissions de téléréalité.

Il existe deux formes de cette maladie, primaire et secondaire, soit d’avoir vécu un traumatisme sexuel ou d’avoir eu un premier accouchement difficile.

La tokophobie peut, par ailleurs, toucher le père, se traduisant par une trop forte inquiétude quant à la venue au monde de l’enfant. Cela est plus rare, car selon une étude suédoise, seulement 11 % des futurs papas en seraient touchés.