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Sortez-moi d’ici!: Du bonbon télévisuel

La deuxième saison de Sortez-moi d’ici! débutait dimanche soir au grand bonheur du public et avouons le, l’émission nous a offert un divertissement incomparable!

L’aventure a débuté en force en envoyant Philippe Laprise, Sophie Durocher et Sébastien Toutant dans une première épreuve en hauteur.

Au 53e étage d’un gratte-ciel au Panama, le trio a dû, à tour de rôle, traverser un fil aérien pour accumuler des étoiles. Ces étoiles allaient permettre aux campeurs d’obtenir davantage d’aliments pour se nourrir.

Par la suite, Rosalie Vaillancourt, Dave Morissette et Audrey Roger ont relevé leur défi, en compagnie de petites créatures peu appréciées, dont crapauds, araignées et serpents.

Les V.I.P. Claudine Desrochers et Alex Perron ont eu la chance exceptionnelle de profiter d’un luxueux yacht, marquant ainsi leur dernier moment de confort avant de se lancer dans l’aventure en jungle. Cependant, ce cadeau s’est révélé être un piège, car ils ont dû quitter le somptueux bateau pour se retrouver sur une île déserte, tandis que les autres participants étaient confortablement installés dans leur camp au cœur de la jungle.

Après avoir accumulé huit étoiles, les aventuriers ont eu la chance de déguster leur récompense, à savoir de délicieuses pattes de crocodile à cuire sur le feu. Cependant, ce repas n’a pas fait l’unanimité, comme on peut le comprendre.

Aucune description disponible.
Capture TVA

L’émission s’est conclue sur une note de suspense alors que des cris émanaient d’une boîte fermée, laissant présager que Patricia Paquin pourrait être enfermée à l’intérieur et s’apprêterait ainsi à faire son entrée dans la jungle.

Une heure de télévision qui s’est écoulée à une vitesse fulgurante, nous captivant du début à la fin. La deuxième saison s’annonce plus que parfaite et nous avons très hâte de découvrir la suite.

Un véritable régal télévisuel, riche en rebondissements, orchestré par les talentueux animateurs, Jean-Philippe Dion et Alexandre Barrette!

Avez-vous aimé le premier épisode?

Pour ne rien manquer de Sortez-moi d’ici! rendez-vous tous les dimanches dès 18h30 sur TVA et TVA+.

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Trucs et Bricolages

Les gens sont dégoûtés après avoir vu des images d’insectes qui se retrouvent dans les fraises

On sait bien que les petits fruits peuvent accueillir de microscopiques bestioles. Mais le savoir et le voir, c’est différent.

Récemment, sur Twitter, les utilisateurs se sont enflammés après avoir vu  une fraise au microscope. Sur ce gros plan, on voit plusieurs insectes se promener sur le fruit rouge.

« Votre journée se passe-t-elle bien aujourd’hui ? », a écrit l’internaute qui a publié les images.  « Je m’excuse de l’avoir ruinée en partageant cette vidéo d’une fraise sous un microscope. »

Voici la vidéo en question:

Bon nombre de followers ont affirmé qu’is hésiteront à manger des fraises de nouveau.

 « C’est pourquoi il faut laver la nourriture ! »

 « Il m’arrive de manger un seul fruit sans le laver, mais je ne pourrai plus jamais le faire. Maintenant, j’ai des flashbacks de toutes les fois où j’ai mangé une fraise sans la laver et j’ai envie de pleurer ».

Il y a deux ou trois ans, sur TikTok, les internautes avaient beaucoup parlé de ce sujet. On avait alors découvert que des   fraises qui avaient été trempées dans de l’eau salée étaient souvent pleines de minuscules bestioles

Mais les insectes en questions sont totalement inoffensifs pour l’humain et se retrouvent couramment sur divers fruits.

C’est principalement le moucheron asiatique, ou drosophile à ailes tachetées, qui s’accroche le plus aux fraises et aux autres petits fruits. C’est une espèce de mouche envahissante qu’on a observée pour la première fois au Japon en 1916. On l’a ensuite vue en France en 2009, puis au Québec en 2010.


André-Philippe Drapeau-Picard, préposé aux renseignements entomologiques de l’Insectarium de Montréal, a expliqué que la femelle du moucheron asiatique creuse un trou dans la surface du fruit pour y déposer ses œufs. Ensuite, les larves éclosent et mangent le fruit de l’intérieur.

Monsieur Drapeau-Picard a expliqué qu’« Ils sont tués par l’acide de notre estomac ».

Si on veut prendre les choses positivement, on peut se dire que ces bestioles sont une source de protéines dans notre alimentation!

Jusqu’à maintenant, on a trouvé aucun lien entre la présence de ce moucheron et des problèmes de cultures ou de santé.

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Prendre les allergies au sérieux

Une nouvelle étude démontre que les gens ne prennent trop souvent pas au sérieux le phénomène des allergies et les risques qui s’y rattachent. C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui fait part de ces recherches.

On apprend que le nombre de visites dans les urgences pour des conséquences dues aux différents types d’allergies est plus élevé qu’on pourrait le croire, et qu’il serait facile d’abaisser ce nombre par la prévention et la conscientisation.

Le phénomène le plus courant est appelé anaphylaxie, qui définit une réaction allergique causée par l’alimentation. Elle peut aussi survenir à la suite d’une piqûre d’insecte ou encore à la prise d’un médicament.

12 000 cas d’anaphylaxie ont été analysés aux fins de l’étude, et 25 % de ceux-ci en étaient de sévères. On déplore le fait que très peu d’entre eux avaient déjà consulté leur médecin pour cette question, ou encore un spécialiste en allergie.

Pourtant, on rappelle que les praticiens et experts du domaine peuvent grandement aider ces patients, et surtout leur procurer de l’épinéphrine (EpiPen).

Cette dernière est un antidote qui sauve des milliers de vies chaque année et qui devrait être possédé par chaque personne souffrant d’une allergie, suggère l’étude.

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Prendre les allergies au sérieux

Une nouvelle étude démontre que les gens ne prennent trop souvent pas au sérieux le phénomène des allergies et les risques qui s’y rattachent. C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui fait part de ces recherches.

On apprend que le nombre de visites dans les urgences pour des conséquences dues aux différents types d’allergies est plus élevé qu’on pourrait le croire, et qu’il serait facile d’abaisser ce nombre par la prévention et la conscientisation.

Le phénomène le plus courant est appelé anaphylaxie, qui définit une réaction allergique causée par l’alimentation. Elle peut aussi survenir à la suite d’une piqûre d’insecte ou encore à la prise d’un médicament.

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Pourtant, on rappelle que les praticiens et experts du domaine peuvent grandement aider ces patients, et surtout leur procurer de l’épinéphrine (EpiPen).

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Les cafards et les criquets à l’origine de nouveaux antibiotiques

Le cerveau des insectes pourrait devenir la source pour la création de nouveaux antibiotiques.
 
Des chercheurs de l’Université de Nottingham, en Angleterre, ont découvert que le cerveau des insectes, surtout celui des cafards et des criquets, pourrait aider à développer de nouveaux antibiotiques.
 
Selon les travaux présentés lors du congrès de la Society for General Microbiology, les insectes ont développé des systèmes de défense efficaces en raison du fait qu’ils vivent dans des environnements insalubres et sans oxygène.
 
Les tissus de leur cerveau seraient capables de détruire 90 % des bactéries Meticillin résistant Staphylococcus et Escherichia coli, mais sans affecter les cellules humaines saines.
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Les acariens nuisent au traitement de l’eczéma

Des chercheurs coréens de l’Université Yonsei à Séoul ont découvert que les acariens, que l’on retrouve particulièrement dans les matelas, empêchent le traitement efficace de l’eczéma.

Se Kyoo Jeong, l’auteur principal de l’étude, explique : « Nous avons identifié deux molécules qui contrecarrent l’influence négative des acariens et des coquerelles dans le processus de réparation de la peau ».

Non seulement cette vermine a des propriétés allergènes, mais en plus, elle interfère sur les mécanismes de défense de la peau, ce qui ne favorise pas le traitement de l’eczéma.

Phil Gold, directeur du Centre de recherche clinique de l’Université McGill, estime que cette recherche est très intéressante. « Cette étude semble confirmer que cet allergène ne cause pas l’eczéma, mais y contribue. Si on confirme que c’est bien la capacité de réparation de la peau qui est affectée, les possibilités cliniques sont évidentes », avance-t-il.

Au Québec, 300 000 à 400 000 personnes souffrent de cette maladie de la peau.