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L’insécurité alimentaire frappe aussi le Canada

Malgré une reprise économique intéressante, le Canada ne fait pas exception en matière d’insécurité alimentaire, selon des informations rapportées par le Medical News Today.

En étudiant les statistiques dévoilées dans le second rapport PROOF sur l’insécurité alimentaire des foyers canadiens, on se rend compte que le phénomène de manque touche quatre millions de Canadiens, dont 1,15 million d’enfants.

Le rapport va plus loin, en spécifiant pour la toute première fois le bilan de 33 grandes villes canadiennes en la matière. On apprend ainsi que la ville la plus touchée serait Halifax, avec un foyer sur cinq aux prises avec un problème d’insécurité alimentaire.

Sherbrooke et Québec sont parmi les villes les moins touchées, tout comme Hamilton et Sudbury.

« Le rapport brise la norme en soulignant les sérieuses inquiétudes concernant les taux élevés d’insécurité alimentaire au Canada. L’information du rapport est extrêmement précieuse pour les communautés afin qu’elles comprennent l’importance du problème dans leurs régions », croit le Dr Bernie Pauly, de l’Université de Victoria.

La prochaine étape sera sans doute de trouver des pistes de solution afin de venir en aide à ces familles et ces personnes touchées par le phénomène, alors que les banques alimentaires affirment elles même être au maximum de leur capacité.

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Insécurité alimentaire : Bilan canadien catastrophique et inquiétant

Medical News Today trace un sombre bilan en ce qui concerne l’insécurité alimentaire au Canada, des chiffres qui auront de quoi surprendre plusieurs lecteurs, sans aucun doute.

Selon un rapport déposé par des chercheurs de l’Université de Toronto, les Canadiens qui ignorent s’ils pourront manger à leur faim dans un avenir rapproché se comptent… en millions.

Les chercheurs estiment à 3,9 millions le nombre de Canadiens qui affirment avoir eu du mal à se nourrir adéquatement en 2011, une hausse d’un demi-million si l’on compare aux statistiques de 2008.

Pire, un Canadien sur quatre exposés dans cette recherche serait en fait un enfant.

« L’impact de cette situation sur nos enfants, nos familles et nos communautés, ainsi que sur le système de santé et notre économie, ne peut être surévalué. Le problème n’est pas sous contrôle, et des réponses plus effectives sont requises d’urgence », lance avec inquiétude la Dre Valerie Tarasuk, de l’Université de Toronto.

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Les enfants « velcro »

Tel qu’expliqué sur Parenhood, le Dr Kyle Pruett, un psychiatre au Centre d’étude de l’enfance à Yale, dit qu’il est tout à fait normal pour les enfants de 1 à 3 ans de s’accrocher à leurs parents. Il explique que ce comportement relève surtout de l’instinct et se déroule très graduellement.

Ainsi, en plein processus d’apprentissage de l’autonomie, certains moments peuvent s’avérer effrayants. C’est pourquoi le bambin ressentira le besoin d’être sécurisé, sentiment qu’il obtiendra en s’accrochant aux jambes de ses parents.

« Il est très important pour les parents de comprendre que s’accrocher à eux fait partie d’une réaction de rebrousse-chemin. C’est la façon pour l’enfant de dire “Je suis allé trop loin, j’ai besoin de maman ou de papa, j’ai peur” », dit le docteur. « C’est une réponse naturelle au processus de développement de son individualité. »

Mais comment expliquer l’absence de ce comportement chez certains enfants? Pruett rappelle : « Essayer de précipiter prématurément un enfant vers l’autonomie, c’est comme essayer de le mettre propre trop tôt. Ça pourrait retarder le processus. Si vous attendez le développement naturel de maturation de votre enfant, le chemin sera beaucoup plus facile ».

Bref, à chaque enfant son rythme!

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Les changements climatiques et la santé mentale

Quoique le sujet ne soit encore que très peu étudié, on pense de plus en plus que les changements climatiques ont un impact sur notre santé mentale. Entre autres, à la suite d’une catastrophe liée au climat, 1 personne sur 5 souffrira d’une blessure émotionnelle et de stress.

 

De plus, l’Institut du climat, un organisme australien, a noté un grand nombre de suicides lorsque de tels événements surviennent, de même qu’une plus grande propension à l’alcoolisme.

 

On lit aussi dans La Presse que les enfants sont plus vulnérables à ces impacts climatiques que les adultes, car ils vivent plus d’anxiété et souffrent plus facilement d’insécurité.

 

Une nouvelle étude vient donc être entamée afin de mieux comprendre cesdits effets des changements climatiques sur la santé mentale de la population en général.

 

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L’insécurité des enfants allergiques

Des chercheurs canadiens ont formé des groupes de discussion afin de mieux connaître la perception des personnes allergiques quant à la sécurité de leur école et de leur environnement.

Il en est ressorti premièrement que les enfants vivent souvent de l’insécurité lorsqu’ils sont à l’école. Ils se sentent aussi rejetés et différents.

Ces sentiments sont surtout vécus par les adolescents, qui voient l’école secondaire comme un lieu plus dangereux et où l’on connaît moins bien leurs problèmes de santé.

Au primaire, c’est plutôt l’inverse, car la période des repas y est supervisée et suit une routine fixe. Le personnel y est mieux formé quant aux allergies alimentaires et les stratégies de communication y sont plus efficaces.

Il semble que le plus grand problème par rapport aux allergies alimentaires en milieu scolaire réside dans le manque d’informations dont disposent les amis, les autres parents et le personnel de l’établissement.

Grâce à cette étude, les parents d’enfants allergiques pourront trouver une nouvelle façon d’aborder et de prévenir ce problème.

Titrée Illustrating Risk: Anaphylaxis Through the Eyes of the Food-Allergic Child , elle a été publiée dans l’édition de janvier de Risk Analysis.