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Le principe du vieillissement des cellules pourrait-il mener au traitement de la leucémie

Plusieurs sources, dont Top Santé, rapportent la poursuite des travaux de la part du Dr Hugues de Thé dans sa quête d’un traitement de la leucémie, dont une étape majeure aurait été franchie au cours des dernières semaines et derniers mois.

Le spécialiste de l’INSERM et son équipe travaillent sur la possibilité d’utiliser le principe de vieillissement des cellules à leur avantage, afin de procéder à l’élimination des cellules souches leucémiques, et ce, depuis 2010.

Publiant maintenant leurs plus récentes découvertes dans le magazine Nature Medecine, les chercheurs estiment qu’il est effectivement possible de croire à un traitement par un tel procédé, en utilisant notamment de l’arsenic que l’on associerait à de l’acide rétinoïque pour créer ce vieillissement des cellules visées.

S’ils parviennent à leurs fins, les chercheurs croient qu’il sera possible de mieux traiter la leucémie et plusieurs formes de cancer, et ce, sans chimiothérapie.

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Vers un vaccin contre la coqueluche en Europe

Si vous croyez que la coqueluche est une maladie du passé révolue, détrompez-vous : plusieurs cas sont encore recensés chaque année, et la maladie d’époque résonne encore dans l’ère moderne.

Top Santé rapporte que la maladie ferait jusqu’à 300 000 morts dans le monde annuellement, malheureusement surtout chez les enfants. On note également une hausse moyenne des cas depuis 2010 en Europe.

Mais des chercheurs européens (INSERM) seraient sur la piste d’un tout nouveau genre de vaccin, administré par les voies nasales, et qui pourrait contrer la menace de la coqueluche.

« Ce mode d’administration original rendra le vaccin accessible au plus grand nombre et à moindre coût. Ce qui est particulièrement intéressant était qu’une seule administration nasale pouvait induire une réponse immunitaire qui se maintenait au moins pendant six mois, c’est-à-dire aussi longtemps que l’étude », explique Camille Locht, du Centre d’Infection et d’Immunité de Lille et directrice de ces nouvelles recherches.

Les essais sur l’homme de ce vaccin nasal contre la coqueluche semblent donc satisfaisants pour les chercheurs, qui croient que celui-ci pourrait devenir une norme dans le monde médical au cours des prochaines années.

Les détails et résultats de ces recherches ont été publiés dans le magazine PLoS ONE.

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Grossesse et sida : une possibilité

Concevoir alors qu’on est séropositive? Oui, c’est possible. De nos jours, avec les avancées médicales, les traitements et la procréation médicalement assistée, les chances d’infecter le futur bébé sont infimes.

Une étude de l’INSERM en 2012 a démontré que le taux de transmission maman-bébé était très bas et diminuait encore plus lorsque la mère était prise en charge avant de devenir enceinte.

Si c’est l’homme qui est atteint, il faut que les docteurs isolent une fraction de son sperme qui ne présente pas le virus. Ensuite, ils feront une fécondation in vitro (FIV) ou une insémination intra-utérine.

Si c’est la femme qui est atteinte, une auto-insémination dans l’intimité est tout à fait possible. En début de grossesse, un test pour confirmer la présence du virus sera proposé. Ensuite, la prise en charge sera entreprise. Le but sera de trouver une charge virale indétectable quand le moment sera venu d’accoucher.

Si la femme est traitée à temps et qu’elle a bien suivi les procédures, les risques de transmission passent de 20 % à environ 1 à 2 % seulement. L’accouchement naturel devient aussi possible plutôt que d’opter pour une césarienne.

À l’âge de 2 mois, un test de dépistage sanguin sera mené sur le bébé afin de déterminer la quantité du virus retrouvée dans son sang. Les chances sont donc très bonnes que bébé soit en pleine santé!

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La dyslexie causée par la déficience visuelle

Alors qu’il faut se montrer indulgent lorsque nos enfants apprennent à lire, il faut aussi rester alerte. Si une difficulté persiste, il se pourrait que votre petit souffre de dyslexie.

La dyslexie est un trouble spécifique de l’apprentissage de la lecture, lié à une difficulté particulière à identifier et mémoriser les lettres, les syllabes ou les mots, et aussi une difficulté à manipuler des sons mentalement. Voilà pourquoi les gens atteints ont du mal à lire correctement.

Une nouvelle recherche conduite par l’INSERM révèle un lien entre la dyslexie et la déficience visuelle. Une précédente étude avait lié la dyslexie à une anomalie du cortex auditif, mais avait tout de même suggéré la déficience visuelle comme possible cause.

Lors de ladite étude, les enfants dyslexiques observés étaient tous atteints de distraction visuelle. Ils avaient cependant vu leurs rapidité et exactitude de lecture être grandement améliorées lorsque les lettres des mots étaient plus espacées.

Publiés dans la revue Clinical Neurophysiology, les nouveaux résultats confirmant ce lien pourraient aider à détecter les troubles d’inattention visuels plus tôt et les prendre en charge plus rapidement, ce qui éviterait beaucoup de difficultés et d’embarras pour les jeunes à l’école.

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Une interface hybride humain-machine ne relève plus de la science-fiction

On rapportait il y a quelque temps que deux chercheurs avaient réussi à connecter le cerveau de rongeurs à distance, grâce à la magie de la technologie.

Cette fois, Santé Log rapporte qu’on vient de présenter une puce, un nouvel instrument qui permettrait d’enregistrer des signaux électrophysiologiques du cerveau.

Bref, cette puce pourrait bien connecter définitivement l’homme à la machine, et ainsi paver la voie à une panoplie de nouveaux traitements et de nouvelles alternatives face à divers problèmes de santé et de motricité.

Notamment, la puce pourrait faire avancer les concepts d’organes sensoriels artificiels et de contrôle de membres artificiels chez les patients paralysés. On pourrait aussi améliorer certaines méthodes de diagnostic, comme dans plusieurs cas de cancer.

C’est l’illustre INSERM qui est à la tête de ce projet, et de l’avis de ses chercheurs, la puce est bel et bien 100 % compatible avec l’être humain.

Les chercheurs devront maintenant développer des interfaces compatibles entre l’homme et la machine, une idée qui ne relève manifestement plus de la science-fiction.

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Un nouveau traitement des AVC fait son apparition

On apprend qu’une nouvelle méthode pour traiter les cas d’AVC vient de faire son apparition. C’est Top Santé qui rapporte la nouvelle, alors que des chercheurs de l’INSERM se sont penchés sur un nouveau type de traitement à base de HDL.

Oui, ce même HDL dont on vous parle abondamment depuis quelque temps lorsqu’il est question de contrôle du cholestérol.

Le HDL est qualifié de « bon cholestérol », et il semble bien que celui-ci puisse bientôt avoir une double application. En fait, il appert qu’un traitement à base de HDL pourrait diminuer et prévenir les risques d’hémorragie à la suite d’un AVC.

Lorsqu’une attaque cérébrale survient et que celle-ci est causée par un caillot sanguin, le médecin traitant va tenter de dissoudre le problème avec une solution spéciale. Or, les risques d’hémorragie subséquente viennent brouiller les cartes.

Un problème qui pourrait être enrayé avec cette nouvelle façon de faire, croient les spécialistes de l’INSERM.

« La complication redoutée de l’injection intraveineuse de ce médicament est la survenue d’une hémorragie cérébrale avec aggravation neurologique pouvant aller jusqu’au décès dans 6 % des cas, ou sans aggravation neurologique visible dans 20 % des cas. Les HDL sont des particules chargées d’évacuer le mauvais cholestérol depuis l’intérieur des artères jusque vers le foie, où il est éliminé. Elles ont d’autres actions favorables : elles sont anti-inflammatoires, anti-oxydantes, anti-protéases, évitent l’infiltration des globules blancs dans la zone d’infarctus… »