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L’insomnie de maman affecte bébé

Une étude réalisée par le département de médecine de l’Université de Pittsburgh aux États-Unis et publiée dans le Psychosomatic Medecine Journal démontre l’importance pour les femmes enceintes de bien dormir durant leur grossesse.

Parmi les répercussions les plus couramment observées à la naissance chez les bébés ayant une maman insomniaque, les chercheurs ont observé un plus faible poids à la naissance, mais aussi diverses complications au système immunitaire.

Selon Science Daily, l’étude démontre aussi que ces problèmes sont amplifiés lorsque la mère souffre en plus de symptômes de dépression.

Le manque de sommeil accélèrerait la production de cytokines, des molécules qui interagissent avec les cellules. Même si ces molécules sont présentes habituellement, une trop grande production entraînerait des attaques par les cytokines de cellules saines. Il en résulterait chez les femmes enceintes une mauvaise circulation sanguine du placenta, ce qui perturberait le développement du bébé.

L’étude réalisée auprès de 170 futures mamans démontre que les troubles du sommeil ont plus d’importance lors des premières semaines de la grossesse. En effet, après 30 semaines, les différences de production de cytokines sont négligeables, puisque naturellement à cette période de la grossesse, le niveau de cytokines augmente chez les femmes enceintes.

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Mieux dormir après l’arrivée de bébé

Alors que votre sommeil est maintenant très affecté par l’arrivée de votre bébé, certains trucs peuvent vous aider à le maximiser. Sur le site de Female First, l’expert du sommeil Dr Nerina cite plusieurs habitudes à prendre pour combattre la fatigue typique aux nouveaux parents.

Premièrement, il est dit de faire du sommeil une priorité. Alors que le sommeil est entrecoupé chaque nuit, dormir durant le jour pourra déjouer les effets du manque de sommeil et même vous aider à mieux dormir le soir.

D’ailleurs, il parle aussi des siestes éclair. Il s’agit là de périodes d’environ 15 minutes pendant lesquelles vous n’êtes pas totalement endormi, mais très reposé.

Si vous vous réveillez pendant la nuit et n’arrivez plus à vous endormir, ne restez pas à tournoyer dans votre lit. Il suggère plutôt de vaquer à une occupation relaxante comme lire ou boire une tisane.

Le docteur Nerina rappelle aussi l’importance de décompresser avant l’heure d’aller au lit, d’éviter la caféine, l’alcool et les pensées préoccupantes! Si vous avez mille et une choses à ne pas oublier pour le lendemain, écrivez-le, ça vous empêchera de stresser.

Il maintient que faire de l’exercice, mettre un ventilateur pour ne pas entendre tous les petits bruits, boire beaucoup d’eau et faire des siestes quand c’est possible vous garantira un meilleur sommeil.

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Mieux dormir après l’arrivée de bébé

Alors que votre sommeil est maintenant très affecté par l’arrivée de votre bébé, certains trucs peuvent vous aider à le maximiser. Sur le site de Female First, l’expert du sommeil Dr Nerina cite plusieurs habitudes à prendre pour combattre la fatigue typique aux nouveaux parents.

Premièrement, il est dit de faire du sommeil une priorité. Alors que le sommeil est entrecoupé chaque nuit, dormir durant le jour pourra déjouer les effets du manque de sommeil et même vous aider à mieux dormir le soir.

D’ailleurs, il parle aussi des siestes éclair. Il s’agit là de périodes d’environ 15 minutes pendant lesquelles vous n’êtes pas totalement endormi, mais très reposé.

Si vous vous réveillez pendant la nuit et n’arrivez plus à vous endormir, ne restez pas à tournoyer dans votre lit. Il suggère plutôt de vaquer à une occupation relaxante comme lire ou boire une tisane.

Le docteur Nerina rappelle aussi l’importance de décompresser avant l’heure d’aller au lit, d’éviter la caféine, l’alcool et les pensées préoccupantes! Si vous avez mille et une choses à ne pas oublier pour le lendemain, écrivez-le, ça vous empêchera de stresser.

Il maintient que faire de l’exercice, mettre un ventilateur pour ne pas entendre tous les petits bruits, boire beaucoup d’eau et faire des siestes quand c’est possible vous garantira un meilleur sommeil.

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Les troubles du sommeil hausseraient les risques de cancer

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Islande trace un lien entre les troubles du sommeil et des risques accrus de développer un cancer.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne le cancer de la prostate chez les hommes, et le cancer du sein chez les femmes.

Selon Santé Log, on définit ici les troubles du sommeil par une difficulté persistante à s’endormir ou à rester endormi, ou encore une incapacité complète (insomnie).

On sait depuis longtemps que les problèmes de sommeil peuvent mener à différents problèmes de santé, mais la corrélation entre l’insomnie et le cancer est relativement une première.

Ces conclusions, publiées dans le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, ne font pas véritablement état des causes qui expliquent le phénomène, mais relatent les mesures prises pour mesurer la cause à effet.

Les chercheurs islandais ont analysé et suivi plus de 2000 hommes âgés de 67 à 96 ans, sur une période de cinq ans, qui devaient répondre à des questionnaires concernant leurs habitudes de sommeil.

On a ainsi pu tracer un lien entre le sommeil et certains diagnostics de cancer.

On doit cependant noter que l’augmentation des risques demeure relativement faible, et que l’âge des patients doit être pris en compte dans le calcul. 

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Le manque de sommeil affecterait plus les femmes que les hommes

Voici une étude sur le sommeil qui risque d’en faire réagir plus d’une, puisqu’elle semble à première vue un brin sexiste, mais attendez la suite…

Selon des chercheurs de l’Université Duke, les femmes auraient moins bon caractère que les hommes lorsqu’elles manquent de sommeil, alors que l’homme semble ne pas subir autant d’inconvénients en santé lorsqu’il dort peu.

Une plus grande susceptibilité, donc, ainsi qu’une vulnérabilité physique et psychologique sont observables chez la gent féminine lorsqu’elle n’a pas ses heures de sommeil règlementaires, rapporte Top Santé.

« Nous avons découvert que les femmes avaient plus de dépression, étaient plus colériques et irascibles le matin après le réveil », explique d’abord le Dr Breus, en tête de l’étude.

Mais attention, cela pourrait avoir un lien avec l’utilisation que les femmes font de leur cerveau durant le jour.

« Plus vous utilisez votre intellect pendant la journée, plus vous avez besoin de vous reposer la nuit. Les femmes ont tendance à être multitâches et elles mobilisent davantage leurs fonctions cérébrales que les hommes », ajoute le spécialiste.

L’étude, qui semblait d’abord préjudiciable aux femmes, se retourne finalement contre les hommes!

On suggère aux femmes irritables et qui manquent de sommeil de tenter l’expérience des siestes, d’une durée de 25 à 90 minutes maximum, pour un effet optimal.

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L’insomnie affecte également la santé cardiaque

Être incapable de trouver le sommeil, ou à tout le moins d’en trouver de qualité, n’influencerait pas que la santé psychologique, apprend-on par Santé Log.

Ces derniers rapportent une étude sur le sommeil en provenance de la Norvège, qui parle des effets de l’insomnie sur la santé cardiaque, notamment.

Les résultats, publiés dans l’édition du 5 mars de l’European Heart Journal, dévoilent des risques accrus de troubles cardiaques chez les gens qui éprouvent des problèmes de sommeil.

Des risques d’insuffisance qui seraient multipliés par quatre, si l’on en croit ces conclusions. Ce risque peut se traduire à court terme, ou plus loin au cours de la vie, semble-t-il, et c’est l’une des premières fois (sinon la première) que des chercheurs établissent une cause directe entre l’insomnie et la santé cardiaque.

C’est après avoir sondé et analysé plus de 50 000 patients que les experts norvégiens ont pu confirmer leur théorie initiale.

Les chercheurs de la Norwegian University of Science and Technology croient que ces recherches pourraient mener les praticiens à considérer le sommeil lorsqu’ils posent un diagnostic concernant le cœur, ou encore en prévention.

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Le manque de sommeil mènerait à de mauvaises habitudes alimentaires

Les gens qui dorment trop peu ont plus de risques de se tourner vers la malbouffe que les autres, croient des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, les gens aux prises avec des troubles de sommeil, ou qui en manque, seraient plus enclins à se ravitailler dans les restaurants de fast-food et même commander de plus grosses portions!

Ce sont des chercheurs suédois qui arrivent à de telles conclusions, à la suite des tests et analyses effectués sur 16 sujets masculins de poids « normal ».

On a d’abord vérifié les habitudes et les envies de ces sujets après des nuits de sommeil réparatrices de huit heures, en moyenne, avant de répéter le stratagème à la suite de nuits blanches.

Étrangement, les participants ont automatiquement choisi des portions plus grandes que d’habitude, eux qui avaient préalablement reçu un petit déjeuner en plus.

On croit donc que le manque de sommeil crée un besoin calorique plus élevé chez l’homme, ce qui peut également mener tout droit à l’obésité.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Le mois de février serait-il le plus difficile pour le sommeil?

Si vous avez des problèmes de sommeil comme l’insomnie, ou que vous arrivez à dormir, mais que le sommeil ne s’avère pas réparateur, il faudra peut-être pointer du doigt le mois dans lequel on se trouve.

En effet, selon une étude-sondage révélée par Top Santé, il appert que le mois de février serait le plus difficile pour les nuits de sommeil. C’est après avoir interrogé près de 21 000 répondants que les chercheurs anglais sont arrivés à cette conclusion.

Donc, nous dormirions plus mal en février, mais nous aurions aussi besoin de plus de temps pour sombrer dans les bras de Morphée, soit huit minutes de plus.

Plus encore, les pauvres gens qui souffrent déjà d’insomnie ou de problèmes à s’endormir auraient besoin de dix minutes supplémentaires avant de fermer l’œil!

On noterait déjà une amélioration dès les premiers jours du mois de mars.

Pour le professeur en tête de l’étude, Colin Espie, une partie de la réponse se trouve dans le froid, alors que les gens surchauffent leur chaumière afin de s’en protéger, ce qui nuit au sommeil de qualité.

Il semble également que les femmes soient davantage touchées par le phénomène.

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L’alcool nuit à la qualité de votre sommeil

Top Santé rapporte une étude qui démontre clairement que l’alcool nuit à la qualité du sommeil.

Bien sûr, boire quelques verres peut permettre de rejoindre le pays des rêves plus rapidement, mais ce n’est pas un gage de « bon sommeil », loin de là.

En fait, selon les spécialistes du London Sleep Center en tête de cette étude, l’alcool affecte les cycles du sommeil et ouvre la porte à une panoplie de troubles subséquents. Insomnie, sommeil agité, cauchemars, voilà des problèmes qui peuvent apparaitre à la suite d’une consommation d’alcool trop importante ou trop tardive.

Les sujets qui se sont prêtés au jeu de l’étude en question ont tous confirmé avoir ressenti des troubles du sommeil dans la deuxième partie de la nuit, et ce, peu importe la quantité ingérée. Cette dernière n’aurait pas vraiment d’incidence sur la qualité de vos nuits, et le fait que l’alcool semble donner un accès plus simple vers Morphée ne serait qu’une arme à deux tranchants.

Les experts londoniens concluent qu’il faudrait attendre environ deux heures avant d’aller au lit si l’on a consommé de l’alcool le soir même.