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Des plantes qui aident à dormir

Les problèmes et troubles du sommeil sont de plus en plus fréquents en cette ère de stress global, mais il existe des solutions autres que la médication plus lourde, comme les « pilules pour dormir ».

C’est du moins ce qu’avance topsante.com, qui propose des solutions alternatives aux médicaments d’ordonnance.

Il semble qu’il soit possible de favoriser le sommeil (de qualité) par des choix alimentaires intelligents, mais aussi en ajoutant certaines plantes qui renferment des propriétés adéquates pour enrayer les troubles du sommeil ou encore l’insomnie.

On parle d’abord du houblon, ce qui ravira les amateurs de bière… sauf que l’on parle en fait d’infuser des feuilles de houblon dans l’eau bouillante. Infusez une dizaine de minutes, puis buvez une tasse entière avant d’aller au lit.

Vient ensuite la fameuse valériane, dont les propriétés sont connues depuis longtemps. On apprend cette fois que la plante permet de faire baisser la tension artérielle et de ralentir le rythme du cœur.

Pour finir, la passiflore permettrait de réduire les angoisses et le stress, des ennemis mortels pour le sommeil. Cette fleur est utilisée depuis le début de notre civilisation, par les premiers Indiens d’Amérique.

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Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.

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Des remèdes naturels contre l’insomnie

On estime que le tiers des adultes souffrent d’insomnie à un moment ou à un autre de leur vie. Chaque année, ce sont des milliers et des milliers de médicaments puissants pour vaincre ce trouble du sommeil qui sont prescrits, mais ils viennent souvent avec leur lot d’effets secondaires.
 
Le Daily Mail rappelle qu’il existe des moyens naturels, sans effets secondaires, pour tenter d’avoir un sommeil réparateur.
 
C’est le cas des cerises, par exemple. Une étude passée avait révélé que de boire un verre de jus de cerises non sucré le matin et le soir pouvait améliorer le sommeil. Ce petit fruit contient de la mélatonine qui régule le cycle du sommeil.
 
La valériane est également reconnue depuis la Grèce antique comme plante médicinale pour traiter l’anxiété, les tensions musculaires et soulager l’insomnie légère.
 
Même chose pour les fleurs de la passion, qui ont un effet apaisant sur le niveau d’anxiété, ce qui peut aider à faciliter le sommeil.
 
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La peur du noir encore à l’origine de bien des problèmes d’insomnie

La phobie de l’obscurité est un facteur méconnu de l’insomnie, d’autant plus que pour de nombreux adultes, c’est difficile à admettre.
 
Bien que les traitements contre l’insomnie soient efficaces, tous les gens n’y répondent pas de la même manière. En outre, les chercheurs mentionnent que lorsque ce trouble du sommeil est causé par la peur du noir, il doit être traité différemment.
 
L’étude menée par la Ryerson University à Toronto, et présentée lors du congrès Sleep de l’Associated Professionnal Sleep Societies, a mesuré ce facteur de l’insomnie par le clignement des yeux des personnes en réponse à des bruits soudains durant la nuit.
 
Ceux qui n’ont pas cette phobie et qui ne sont pas insomniaques n’ont eu aucune réaction. Chez les autres, la réaction était d’autant plus intense que l’obscurité était profonde.
 
Cette observation peut mener à de nouvelles thérapies pour les personnes qui ont peur du noir, afin de conduire à de meilleurs résultats.
 
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L’hypertension serait liée à l’insomnie

Les insomniaques auraient tendance à avoir une pression artérielle plus élevée que ceux qui profitent de bonnes nuits de sommeil.
 
L’étude présentée lors de la Sleep Conference à Boston a suivi 5314 insomniaques, dont les résultats ont été comparés à ceux d’un groupe témoin ayant un sommeil normal.
 
Les gens devaient répondre à un questionnaire sur leurs habitudes de sommeil, leur mode de vie, leurs symptômes d’insomnie ainsi que la présence et la sévérité de l’hypertension.
 
Ensuite, on a étudié la prévalence de l’hypertension chez les insomniaques.
 
Plus une personne se réveille durant la nuit ou met du temps à s’endormir, plus son hypertension est élevée.
 
Maintenant, les chercheurs doivent savoir si c’est l’insomnie qui cause l’hypertension ou encore l’hypertension qui cause l’insomnie. Les données ne sont pas encore assez claires pour tirer des conclusions à ce sujet.
 
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L’insomnie aggrave les acouphènes

Une étude du Henry Ford Hospital à Detroit, dont les résultats ont été présentés lors de la rencontre annuelle du Combined Otolaryngological Spring à San Diego, démontre une forte association entre la sévérité des acouphènes et l’insomnie.
 
« Les acouphènes impliquent des processus cognitifs, émotionnels et psychophysiologiques, ce qui peut entraîner une augmentation du sentiment de détresse du patient. Les troubles du sommeil, dont l’insomnie, chez ces patients diminuent leur tolérance aux acouphènes », explique la coauteure de l’étude, Dre Kathleen L. Yaremchuk.
 
Bien que l’on ignore les causes physiologiques exactes des acouphènes, certains facteurs peuvent les aggraver ou favoriser leur apparition, comme des sons trop forts, des bouchons de cire, des infections, un traumatisme au cou, la fibromyalgie et autres.
 
De plus, les acouphènes liés à l’insomnie entraînent également une dégradation physique et émotionnelle.
 
« Le traitement des patients souffrant d’acouphènes est difficile. Un patient avec acouphènes chroniques présente une image clinique qui peut inclure l’anxiété, la dépression, l’ennui ou une détresse émotionnelle autodéclarée. Et l’une des plaintes les plus fréquentes de ces patients est de parvenir à trouver le sommeil », ajoute la Dre Yaremchuk.
 
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Les femmes sont plus touchées par les troubles du sommeil

Une étude de l’Institut de veille sanitaire (InVS) en France révèle que les troubles du sommeil affectent beaucoup plus les femmes que les hommes.
 
L’étude complète sera dévoilée plus tard cette année, mais pour le moment, on apprend que 39 % des femmes avouent avoir des troubles du sommeil, contre 29 % des hommes.
 
De plus, en vieillissant, les problèmes seraient de plus en plus fréquents. Pourtant, une récente étude affirmait que l’on dormait mieux avec l’âge.
 
12 636 personnes de plus de 16 ans ont été interrogées pour cette recherche. D’après les résultats, l’agitation serait fréquente durant trois nuits par semaine pour le tiers des participants.
 
Une personne sur cinq associe ces troubles à la fatigue et à une somnolence excessive durant la journée.
 
Rappelons que dernièrement, une étude dévoilait que les troubles du sommeil finissaient par affecter nos performances. Ils peuvent également grandement affecter la santé. Il est donc très important de s’en soucier.
 
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Il est préférable de ne pas dormir après un événement très traumatisant

Une nouvelle étude publiée dans le Journal of Neuroscience dévoile des résultats contraires à des travaux précédents. Auparavant, on mentionnait qu’après un événement traumatisant, le fait de dormir permettait d’estomper les émotions négatives.
 
Après avoir évalué la réponse émotionnelle de 106 personnes auxquelles on avait montré des images de scènes traumatisantes, la moitié est allée dormir, et l’autre non.
 
« Non seulement le sommeil a protégé ces souvenirs, mais il a également protégé la réponse émotionnelle que les sujets lui avaient apportée », explique la neurologue et coauteure de l’étude, Rebecca Spencer.
 
Par contre, lors d’événements particulièrement traumatisants, mieux vaut rester éveillé. D’ailleurs, le corps lui-même se met dans cet état de défense et vous aurez du mal à trouver le sommeil.
 
Avant de prendre des somnifères, la Dre Spencer recommande plutôt de vivre cette période d’insomnie afin que les souvenirs et les émotions négatives ne se figent pas.
 
Attention toutefois de ne pas tomber dans un cercle vicieux. Le manque de sommeil à long terme n’est nullement recommandé. On parle seulement ici de faits réellement négatifs et marquants, comme un accident.
 
« Ce n’est pas parce que vous avez eu une mauvaise journée qu’il faut rester éveillé. Nous avons besoin de garder certains faits et certaines réponses émotionnelles en mémoire pour savoir quoi éviter. Ces souvenirs sont riches d’enseignements. »

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L’insomnie augmente réellement les risques de crise cardiaque

Le journal Circulation publie une nouvelle étude qui confirme la conclusion de recherches précédentes à moins vaste échelle : l’insomnie augmente bel et bien les risques de crise cardiaque.
 
Des chercheurs norvégiens ont suivi 52 610 personnes et ont constaté que les risques de crise cardiaque étaient augmentés de 27 à 45 %, selon le type de problème de sommeil dont les gens souffrent.
 
Trois grands symptômes du sommeil ont été établis. Le premier est d’avoir du mal à trouver le sommeil presque tous les jours dans le dernier. Il augmenterait les risques de crise cardiaque de 45 %.
 
Si vous avez eu une grande difficulté à rester endormi toute la nuit dans les trente derniers jours, les risques sont accrus de 30 %.
 
Finalement, si vous avez du mal à vous sentir revigoré au réveil plus d’une fois par semaine, vos chances de faire une crise cardiaque grimpent de 27 %.
 
Les problèmes de sommeil peuvent souvent être traités assez facilement. Il est donc impératif d’en parler à son médecin afin de trouver une solution.
 
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L’insomnie pourrait être héréditaire

Une équipe de l’Université Laval mentionne que l’insomnie pourrait être héréditaire. En fait, une personne qui a au moins un membre insomniaque dans sa famille a 67 % plus de risques de souffrir d’insomnie.
 
Ces chances sont multipliées par neuf si trois membres de la famille souffrent d’insomnie.
 
Selon Le Soleil, le professeur Charles M. Morin, de l’École de psychologie de l’Université Laval, et son équipe ignorent si cela serait dû au fait que le processus physiologique interfère avec le sommeil ou encore à une prédisposition à l’anxiété.
 
« Les conclusions de notre étude suggèrent qu’une intervention psychologique précoce pourrait être bénéfique aux personnes provenant de familles où l’insomnie chronique sévit », dit le professeur Morin.
 
3 500 personnes ont répondu au questionnaire téléphonique et postal à trois reprises et quatre personnes sur dix disaient avoir au moins un insomniaque dans leur famille.