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Les Canadiens dorment très mal

Il semble que les Canadiens ont bien du mal à dormir convenablement, surtout les femmes.
 
En fait, 40 % de la population dit avoir des troubles du sommeil et 13,4 % a eu un diagnostic d’insomnie.
 
Selon une étude dévoilée par une équipe de l’Université Laval, réalisée auprès de 2 000 personnes, les femmes auraient plus de mal à bien dormir que les hommes.
 
De plus, les problèmes semblent être plus nombreux dans la quarantaine et ils s’aggravent en vieillissant.
 
« Les jeunes adultes ont tendance à avoir de la difficulté à s’endormir. Plus tard, vers 40 ou 50 ans, ils ont de la difficulté à rester endormis. Et les aînés ont plutôt des problèmes de réveil précoce, vers 4 h, avec de la difficulté à se rendormir », déclare le chercheur Charles M. Morin.
 
Étrangement, on note aussi une différence entre les anglophones et les francophones. Ces derniers disent mieux dormir, mais sont aussi plus enclins à faire l’usage de somnifères.
 
Les résultats de cette étude seront présentés au congrès de l’Association mondiale pour la médecine du sommeil qui se tiendra à Québec ce week-end.

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L’insomnie touche près du quart de la population américaine

L’insomnie est sans doute l’un des maux du siècle. La revue Sleep mentionne que 23 % des Américains qui travaillent sont insomniaques. Cela touche plus les femmes (27,1 %) que les hommes (19,7 %).
 
Après avoir suivi 7 428 personnes, on conclut que l’insomnie coûte environ 63 milliards de dollars par année en perte de productivité.
 
« Ce problème est sous-estimé : les salariés ne manquent pas des jours de travail à cause de l’insomnie, mais ils vont travailler en étant fatigués, ce qui fait qu’ils sont moins productifs. Dans une économie très informatisée, le manque de sommeil ne peut avoir qu’un très grand impact sur la productivité », explique l’auteur principal des recherches, le Dr Ronald Kessler de la Faculté de médecine de l’Université Harvard.
 
Les résultats de ces travaux ont d’ailleurs surpris les chercheurs quant à l’impact de l’insomnie des citoyens.
 
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L’alcool perturbe le sommeil

Si vous croyez que boire de l’alcool avant de vous coucher vous aidera à avoir une bonne qualité de sommeil, vous avez tort.
 
Une étude dévoilée par le journal Alcoholism: Clinical and Experimental Research affirme que l’alcool vous permettra effectivement de vous endormir plus rapidement et peut-être de bien dormir durant la moitié de la nuit, mais vous pouvez ensuite souffrir d’insomnie, avoir un sommeil agité et vous réveiller beaucoup plus tôt que prévu.
 
Selon l’équipe de l’Université d’Akita au Japon, l’alcool avant d’aller dormir peut également causer des effets nocifs sur le système digestif et entraîner des maladies.
 
Donc, pour mieux dormir, mangez bien, faites de l’exercice et établissez une routine qui prépare votre corps à la détente et au sommeil qui suivra.

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Gardez la tête fraîche pour bien dormir

En gardant la tête au frais, il est possible de favoriser le sommeil, selon les résultats d’une recherche publiée dans le Telegraph.
 
Des chercheurs ont constaté que des personnes qui souffraient d’insomnie arrivaient à s’endormir et avoir un sommeil réparateur en portant un casque spécial contenant de l’eau froide.
 
On croit qu’en abaissant la température du cerveau, on ralentit ainsi son activité, favorisant donc le repos.
 
Il s’agirait d’un traitement potentiel à l’insomnie, mais sans les médicaments qui provoquent des effets secondaires et une accoutumance chez certaines personnes. De plus, cela est simple d’utilisation et réalisable à la maison.
 
Au repos, notre cortex frontal diminue son activité habituellement, mais chez les insomniaques, cette activité est plutôt accrue. Donc en abaissant la température, on ralentit l’activité.

On va maintenant tenter l’expérience sur un plus grand nombre de personnes afin de confirmer les données.

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Importante percée médicale pour les victimes d’un infarctus

Les personnes qui ont vécu un infarctus du myocarde souffrent fréquemment d’insomnie après l’incident. Alors que l’on croyait que cela était le résultat de l’infarctus, des chercheurs montréalais ont découvert que cela était plutôt dû à une atteinte au cerveau.
 
Les chercheurs Roger Godbout et Guy Rousseau, ainsi qu’un étudiant de l’hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, ont provoqué des infarctus sous anesthésie à des rats afin d’observer leur comportement par la suite.
 
Selon les résultats qui paraîtront dans la revue scientifique Sleep,un infarctus provoque une perte neuronale dans le tronc cérébral, ce qui entraînerait les insomnies.
 
Ceci va dans le même sens qu’une étude précédente qui démontrait un lien entre un infarctus et une dépression après l’incident, ce qui survient d’ailleurs dans 30 % des cas.
Cette découverte pourra donc ouvrir la voie à de nouvelles thérapies préventives et les médecins pourront éventuellement intervenir dès l’apparition des premiers symptômes d’insomnie et de dépression.
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De beaux rêves grâce au cardio

Selon Reuters, des experts admettent qu’un programme physique d’aérobie effectué pendant la journée vous permet de ne pas remuer et tourner dans votre lit le soir venu, mais ils ne savent pas vraiment pourquoi.

« Le fait est que nous ne savons pas vraiment pourquoi les gens nous disent que l’exercice les aide à mieux dormir », a déclaré David Davila de la National Sleep Foundation basée aux États-Unis.

« Si les personnes sont actives de façon normale, atteignant leurs objectifs en aérobie, il y a des chances qu’elles dorment la bonne période de temps dont elles ont besoin », a-t-il ajouté.

La conclusion est donc que l’aérobie permet d’offrir un soulagement à l’insomnie.

Une récente étude de l’Université Northwest de Chicago, en Illinois, a suivi 23 individus auparavant sédentaires, principalement des femmes de 55 ans et plus, qui avaient de la difficulté à dormir. Après avoir exécuté un programme d’entraînement pendant 16 semaines, qui comprenait du vélo stationnaire ou du tapis roulant, les participants avaient une meilleure moyenne de sommeil de qualité.

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Les médicaments contre l’insomnie et l’anxiété augmentent les risques de mortalité

Les médicaments contre l’anxiété et l’insomnie augmenteraient de 36 % les risques de mortalité, selon une étude québécoise d’une équipe de chercheurs de l’École de psychologie de l’Université Laval.
 
La Revue canadienne de psychiatrie mentionne que ces médicaments affectent la coordination et la vigilance, augmentant du même coup les risques d’accidents, de chutes ou de fractures chez les personnes âgées et de difficultés respiratoires plus importantes chez les personnes qui ont des problèmes pulmonaires.
 
Les travaux ont été effectués sur 14 000 Canadiens âgés de 18 à 102 ans et suivis de 1994 à 2007.
 
« Les médicaments pour traiter l’insomnie et l’anxiété ne sont pas des bonbons et il ne faut pas croire qu’il est anodin d’en consommer », mentionne la professeure Geneviève Belleville.
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Les cauchemars sont néfastes pour la santé

Une étude chinoise, l’une des plus vastes sur le sujet jusqu’à maintenant, établit un lien entre de nombreux problèmes de santé et les cauchemars fréquents ou chroniques.
 
Il semble qu’une personne sur 20 en souffre. Les mauvais rêves sont associés à l’insomnie, à la fatigue, aux maux de tête, mais également à un risque accru de dépression et d’anxiété.
 
Les problèmes de santé mentale, comme la dépression, sont cinq fois plus présents chez les personnes qui font des cauchemars régulièrement. Il est donc important de traiter le problème, mentionne le Daily Mail.
 
9 000 adultes ont participé à la recherche. 5,1 % faisaient des mauvais rêves au moins une fois par semaine. Les cauchemars étaient plus fréquents chez les femmes avec 6,2 %, alors que chez les hommes, le taux était de 3,8 %.
 
De plus, on a noté un lien entre la fréquence des cauchemars et les revenus ou le chômage. Les personnes à faible revenu ont 2,3 fois plus de chances de faire trois mauvais rêves ou plus par semaine, comparativement aux plus riches.
 
Parmi les cauchemars les plus fréquents, on note :
 
Une chute à 39,5 %
Être pourchassé à 25,7 %
Être paralysé à 25,3 %
Arriver en retard à un événement à 24 %
Voir une personne proche disparaître ou mourir à 20,9 %
Rêver de films d’horreur à 18,9 %
Ne pas parvenir à finir une tâche à 17,3 %
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Le manque de sommeil ne peut pas vraiment se rattraper

Des scientifiques affirment que le manque de sommeil est impossible à rattraper, même avec une longue nuit de sommeil.

Selon le magazine Science Translational Medicine, dormir est essentiel pour la santé et sa privation a des effets néfastes sur les performances physiques et intellectuelles.

En moyenne, un adulte a besoin de huit heures de sommeil par nuit. On parle de privation chronique pour ceux qui ne dorment que de 4 à 7 heures par nuit et de privation aiguë dans les cas où des personnes demeurent éveillées pendant 24 heures d’affilée.

Pour la nouvelle étude, on a suivi 5 hommes et 4 femmes en bonne santé dans un hôpital pendant 38 jours. Ils ont subi des tests de vigilance et d’attention. La plupart pouvaient récupérer une privation aiguë de sommeil en dormant 10 heures d’affilée.

Par contre, ceux ayant une privation chronique ont vu leurs performances se détériorer. Ceci était proportionnel pour chaque heure de sommeil perdue.

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Le manque de sommeil plus dangereux pour les femmes

Le journal SLEEP a publié une étude révélant que le manque de sommeil chez les femmes leur est plus dommageable que pour l’homme.

L’étude faite par des chercheurs de l’Université de Warwick et de l’University College de Londres, en Grande-Bretagne, a révélé que les marqueurs servant à identifier les risques d’un accident cardio-vasculaire, l’interleukine 6, sont plus bas chez la femme dormant 8 heures par nuit qu’une autre ne dormant que 7 heures.

Un autre marqueur, la protéine C réactive, est également utilisé et son niveau révèle les mêmes conclusions, notamment chez les femmes dormant moins de 5 heures par nuit, qui sont encore plus à risque.

La même étude a démontré que chez l’homme, les différences des niveaux enregistrés de ces marqueurs n’avaient pas un écart très grand, suggérant ainsi que le manque de sommeil chez les hommes est beaucoup moins nocif que chez les femmes.

Michelle Miller, professeure associée à l’école de médecine de Warwick et auteure principale de l’étude, ne peut qu’encourager les femmes à dormir au moins huit heures par jour à la suite de ces résultats.

Pas moins de 4 600 hommes et femmes âgés de 35 à 55 ans ont participé à cette étude.