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Être plus instruit peut-il prévenir certains troubles de santé?

Top Santé rapporte des statistiques avancées par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui tendent à démontrer un lien entre la bonne santé et le niveau d’instruction.

Ces chiffres sont proposés dans le rapport Regards sur l’éducation, le 21e du genre, et font état d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure chance d’accéder à un emploi de qualité durant une crise financière, le rapport faisant bien sûr allusion à celle que le monde a connue depuis 2008.

Plus encore, l’OCDE trace un lien direct entre le niveau d’éducation d’un individu et d’éventuels troubles de santé. Par exemple, on note que plus une personne est instruite, moins elle a de chance d’être fumeuse ou encore d’afficher un surpoids ou d’abuser de l’alcool.

« Aujourd’hui, il est plus important que jamais de quitter l’école avec un bon niveau de qualification. Les pouvoirs publics doivent axer leurs efforts sur les mesures en faveur des jeunes, plus particulièrement des jeunes moins qualifiés, les plus exposés au risque de bas salaire », résume José Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE.

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Les plus instruits tournent le dos à la télévision

Les Canadiens qui regardent le moins la télévision seraient plus instruits que la moyenne de la population, et la moitié d’entre eux auraient de 18 à 34 ans. C’est ce que révèle un rapport de la firme Media Technology Monitor.
 
Le plus surprenant est sans doute de constater que le passage au numérique a probablement nuit à la télévision. Alors qu’à l’automne 2010, seulement 4 % de la population n’écoutait pas la télévision, ce pourcentage a atteint 7 % l’automne dernier, alors que le numérique a été adopté en septembre.
 
Il semble que de nombreuses personnes aient considéré que la mise à niveau de leur téléviseur pour obtenir les signaux n’en valait pas la peine.
 
Les gens qui écoutent le moins la télévision ont en général une formation universitaire au-dessus de la moyenne. Ils passent 25 % plus de temps sur Internet et sont beaucoup plus intéressés par la politique, les affaires et les arts que par les émissions de variétés, le sport et les questions sociales et de santé.