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Il est possible d’améliorer le QI des jeunes enfants

Des chercheurs américains ont combiné les résultats de plusieurs études portant sur le quotient intellectuel des enfants et ont tenté de voir quelles interventions produisaient vraiment des résultats.

« Notre but premier était de créer une base de données sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas pour rendre les gens plus intelligents. Mais notre but au sens plus large était de comprendre la nature de l’intelligence et de voir comment celle-ci peut être stimulée à chaque phase du développement chez les humains », ont expliqué les auteurs, selon Science Daily.

Les jeunes participants des études étaient ce que l’on considère comme « normaux », c’est-à-dire qu’ils n’avaient pas reçu de diagnostic de difficultés intellectuelles et s’attardaient sur des interventions à moyen et long terme.

Au terme de leur analyse, les chercheurs ont constaté que certaines méthodes fonctionnent vraiment. Parmi celles-ci, donner des suppléments d’oméga-3 aux femmes enceintes et à leur bébé augmentait le QI de 3,5 points.

Les preuves étaient par contre insuffisantes pour affirmer que d’autres suppléments de vitamines et minéraux, comme le fer, la vitamine B et le zinc, avaient un effet sur l’intelligence.

Les interventions où les parents lisaient avec leurs enfants et les faisaient participer à la lecture apportaient 6 points de QI.

Envoyer son enfant à une garderie de type « installation » augmentait le QI de 4 points, et si cette garderie faisait une intervention spécifique langage, plus de 7 points étaient gagnés.

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Les jeunes enfants ont des raisonnements complexes

Le journal Psychological Science publie les résultats d’une étude qui prouve que les enfants arrivent à un niveau de raisonnement complexe beaucoup plus tôt que la science ne le croyait auparavant.

Dans le cadre de l’étude, 1364 enfants ont été suivis de leur naissance jusqu’à l’âge de 15 ans. Les enfants étaient bien distribués au niveau du sexe, du milieu socioéconomique et de l’origine ethnique.

Ces enfants ont passé un test alors qu’ils avaient 4 ans et demi, puis lorsqu’ils étaient en première année, en troisième année, ainsi qu’à l’âge de 15 ans. Ce test mesurait, de manière adaptée à chaque âge, leur raisonnement analytique, leur fonctionnement de haut niveau, leur vocabulaire, leur mémoire à court terme et leur capacité d’attention. Le fonctionnement de haut niveau était défini comme la planification, la modulation des réponses, l’aptitude à passer d’une tâche à l’autre et l’attention.

Science Daily rapporte qu’il y avait une forte corrélation entre les bons résultats des enfants plus vieux et leurs habiletés lors du premier test, surtout en ce qui avait trait au vocabulaire et à leur capacité à moduler leurs réponses.

Les chercheurs ont ainsi établi qu’un bon fonctionnement de haut niveau à l’âge préscolaire était directement lié à des capacités de raisonnement supérieures à l’adolescence.

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Le QI ne mesurerait pas l’intelligence avec précision

Le QI, pour quotient intellectuel, est cette unité de mesure qui sert à déterminer la force de votre intelligence, qu’elle soit faible, moyenne ou au-dessus de la masse.

Utilisée depuis longtemps, elle plait à ceux qui ont de bons scores, alors que ceux qui obtiennent de moins bons résultats sont enclins à critiquer la méthode, on le comprendra.

Ceux-ci peuvent toutefois se réjouir d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par topsante.com, qui prétend que l’unité de mesure connue sous le nom de « quotient intellectuel » ne serait pas précise et ne permettrait pas de définir réellement l’intelligence globale d’une personne.

C’est que selon les chercheurs britanniques en tête de l’étude, il faudrait au minimum trois tests différents pour arriver à un résultat concret. Des facteurs comme la mémoire à court terme, le raisonnement et les compétences verbales, notamment, devraient aussi être pris en compte dans l’évaluation de l’intelligence.

De plus, des tests sur le cerveau effectués par l’équipe de chercheurs ont démontré l’existence de trois types d’intelligence qui s’appuient sur différentes zones cérébrales.

Pour eux, il faut revoir radicalement la façon dont on analyse l’intelligence humaine.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le magazine Neuron.

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L’intelligence visuospatiale concerne-t-elle votre enfant?

L’intelligence visuospatiale est déterminée par la capacité d’une personne à s’exprimer à l’aide d’images, dessinées ou mentales, plutôt que de s’exprimer verbalement ou par écrit. Ce sont des enfants qui semblent rêveurs, inattentifs et qui ont souvent des troubles de dyslexie.

Au Royaume-Uni, selon ce que rapporte femalfirst.co.uk, une nouvelle version du GL Assessment a été publiée aujourd’hui dans l’édition du Cognitive Abilities Test, mieux connu sous le nom de CAT. Cet outil de mesure de l’intelligence, sous toutes ses formes, est soumis aux enfants de 7 à 16 ans.

Ce qu’il détecte? Les futurs ingénieurs, architectes, designers, scientifiques et autres génies potentiels. Malheureusement, le système scolaire, et ce, dans le monde entier, sous-estime encore grandement ces capacités sous-jacentes.

Albert Einstein et James Watt étaient tous deux considérés comme des rêveurs, inaptes et ternes en classe. Pourtant, leurs découvertes ont révolutionné le monde. Surpris? Ils étaient simplement tournés vers l’apprentissage spatial, et donc capables de visualiser des schémas mentaux en 3D et en mesure de les reproduire.

Le CAT fournit également aux parents un guide pour les aider à comprendre ce type d’enfant, chez qui le potentiel est immense.

Pauline Smith, consultante principale en psychométrie et conceptrice du CAT4, insiste : « La réalité, contrairement à ce que pensent les enseignants et autres éducateurs, c’est que les plus grandes réussites proviennent des grands penseurs spatiaux, et non de ceux qui sont les meilleurs à l’école ».

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Le sport pendant la grossesse influence l’intelligence du bébé

Bien que l’activité soit conseillée lors d’une grossesse, il faut néanmoins consulter son médecin afin de ne pas transformer sa bonne volonté en danger pour l’enfant à naître. Les efforts doivent être modérés et respecter les limites de la mère.

Si l’on en croit les informations publiées sur le site Techno-Science, cette étude fait suite à une recherche précédente effectuée sur des ratons. À l’époque, il avait été démontré que les ratons nés de mères qui avaient été munies d’appareils pour courir régulièrement dans leur cage possédaient une plus grande densité neuronale dans les lobes temporaux.

Dave Ellemberg, codirecteur de l’étude de l’Université de Montréal, a expliqué : « Nous avons voulu savoir si c’était la même chose chez les humains, ce qui n’avait jamais été vérifié auparavant ».

Les résultats sont concluants. Les bébés, soumis à des tests auditifs de 8 à 12 jours après leur naissance, étaient beaucoup plus sensibles aux stimuli auditifs lorsque la mère avait pratiqué une activité physique régulièrement.

Il va de soi que ceci ne représente qu’un seul facteur étudié, mais comme le mentionne Dave Ellemberg, il n’y a pas de raison « de croire que cet avantage se limite à une seule fonction ».

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Les mères de 40 ans et plus font de meilleurs enfants

L’étude de l’University College London et du Birkbeck College avance également que les enfants nés de femmes quadragénaires ont moins de chances d’avoir besoin de soins hospitaliers et d’être victimes d’accidents ou de blessures. Ces mères seraient aussi plus portées que les jeunes à faire vacciner tôt leur bébé.

Adoptant des conversations plus « matures », les enfants des mères de 40 ans et plus auraient un vocabulaire plus riche et diversifié à un âge précoce et obtiendraient des résultats plus élevés à des examens de QI, selon des tests qui ont été effectués auprès de certains d’entre eux jusqu’à l’âge de cinq ans.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont observé 1100 enfants nés de femmes âgées de 40 ans et plus et 38 000 enfants nés de femmes plus jeunes en Grande-Bretagne, rapporte le Daily Mail.

Pour le Dr Alastair Sutcliffe, ces résultats démontrent du positivisme concernant les grossesses à un âge avancé, qui sont fréquemment pointées du doigt pour leurs risques physiques (infertilité, diabète, etc.), mais jamais valorisées pour leurs effets psychiques.

L’expert croit que les femmes de 40 ans ont de meilleures compétences parentales que les plus jeunes. Selon lui, malgré la fatigue qui les guette, elles peuvent être moins impulsives, plus calmes et mieux équipées avec leur bagage de vie.

Il ajoute que l’attente prolongée vers une grossesse désirée leur permet probablement d’apprécier davantage leur rôle maternel.

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Le poids avant la grossesse peut influencer l’intelligence des enfants

Des recherches antérieures ont démontré que l’obésité chez une femme avant la grossesse pouvait avoir un effet négatif sur les organes du fœtus comme le cœur, le foie et le pancréas.

Parce que le développement du fœtus est sensible aux caractéristiques physiologiques de la mère, des chercheurs de l’Université de l’Ohio ont tenté de savoir si l’obésité maternelle pouvait également affecter le cerveau du fœtus.

À la suite de tests en mathématiques et lecture réalisés sur 3412 enfants âgés de 5 à 7 ans, on a conclu que les enfants nés d’une mère obèse avaient une fonction cognitive plus faible.

En effet, ces petits ont obtenu en moyenne trois points de moins en lecture et deux points en moins dans leurs résultats de mathématiques à des examens généralement utilisés pour analyser la fonction cognitive des bambins.

Il a été démontré que les fillettes et les ainés d’une famille où la mère est obèse auraient des aptitudes cognitives légèrement supérieures aux garçons et aux enfants qui naissent en deuxième ou troisième, mais tout de même inférieures aux enfants nés de mères avec un poids santé.

L’enquête parue en ligne dans le journal Maternal and Child Health appuie également les études qui suggéraient que des facteurs socio-économiques (scolarité et salaire de la mère, milieu familial, etc.) jouent aussi un rôle sur les aptitudes cognitives de l’enfant.

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Don d’ovocytes : avoir un bébé asiatique coûte plus cher

Habituellement, chez nos voisins du sud, les couples qui ne peuvent pas avoir d’enfants naturellement et qui ont recours à la fécondation in vitro paient environ 6000 dollars pour avoir droit à un don d’ovocytes.
 
Toutefois, pour avoir accès aux ovocytes d’une femme asiatique, il semblerait qu’il faut tripler la mise et investir de 10 000 à 20 000 dollars pour rémunérer celle qui fera un don, écrit le Los Angeles Times.
 
D’où vient cet engouement pour les ovocytes asiatiques? Bien que les gens de l’Orient soient réputés pour leur grande intelligence, mais aussi pour leurs critères de beauté et ethnicité appréciés, ces éléments ne devraient « normalement » pas entrer en compte pour fixer le prix de l’ovocyte, mais les pratiques sont bien éloignées de ces principes, indique l’American Society for Reproductive Medicine.
 
Compte tenu de l’offre et la demande et du fait que les ovocytes asiatiques sont rares aux États-Unis, car les femmes asiatiques sont plus diplômées et mieux payées que la moyenne, donc moins susceptibles de chercher à vendre leurs ovocytes, le prix du don d’ovocytes est beaucoup plus cher.
 
L’article a été écrit en réponse au nombre croissant de couples asiatiques qui viennent aux États-Unis en 2012 dans le but d’avoir un enfant de leur race, dans le cadre de l’année du Dragon, considérée comme la plus chanceuse.
 
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L’angoisse serait un signe d’intelligence

Des chercheurs américains soutiennent que l’angoisse excessive aurait coévolué avec l’intelligence humaine.
 
En fait, selon ce que rapporte le Frontiers in Evolutionary Neuroscience, la sélection naturelle aurait fait en sorte, dans l’histoire, de conserver les personnes les plus angoissées, car par leurs craintes, elles sont mieux préparées pour faire face aux dangers et aux problèmes.
 
On a comparé les résultats de tests d’intelligence de 26 personnes excessivement angoissées à ceux de 18 personnes saines, pour constater que le premier groupe avait obtenu des résultats nettement meilleurs que le second.
 
Ce que l’on considère comme un défaut d’anxiété serait en fait bénéfique pour l’humain.
 
« Alors que les craintes exagérées sont considérées comme un signe de personnalité négatif, au contraire de l’intelligence qui est jugée positivement, l’angoisse aurait permis à notre espèce, au long de son histoire, d’éviter des situations dangereuses. Elle lui aurait permis de ne pas prendre de risques et de survivre dans certains cas », disent les auteurs des travaux.
 
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Un ordinateur aussi intelligent qu’un enfant?

Selon des scientifiques de l’Université de Californie Berkeley, ce ne sont pas nécessairement les ordinateurs qui rendent les enfants plus intelligents, mais plutôt l’inverse.

Les chercheurs croient qu’en exploitant les facultés cognitives de la matière grise des petits d’âge préscolaire et en les répliquant dans les ordinateurs, cela permettrait de rendre plus intelligents artificiellement les ordinateurs et de donner la chance à ces machines de penser comme des humains.

Il y aurait sûrement là une solution pour faire disparaître les difficultés et l’incertitude que l’ordinateur rencontre quotidiennement.

« Les jeunes enfants sont capables de résoudre les problèmes qui continuent de présenter un défi pour les ordinateurs, tels que l’apprentissage des langues et les relations causales », a déclaré Tom Griffiths, directeur du UC Berkeley’s Computational Cognitive Science Lab.

Plusieurs expériences avec des sucettes, des clignotants, des jouets musicaux et tournants et d’autres accessoires ont permis aux chercheurs de constater que de plus en plus de jeunes enfants sont aptes à faire des hypothèses, détecter des modèles statistiques, tirer des conclusions et s’adapter aux changements.

La programmation d’ordinateurs à l’image des facultés cognitives qu’ont les jeunes, selon une méthode de calculs et de statistiques appelée le Théorème de Bayes, et la poursuite des tests et des études avec des informaticiens et des philosophes dans un centre multidisciplinaire, dès ce printemps à l’Institut du campus, permettra d’approfondir cette recherche.