Des chercheurs américains ont étudié le cas de 676 enfants d’âge scolaire pour tirer ces conclusions. Leurs résultats sont parus dans le Journal of American Medical Association.
Toutes les mères de ces enfants ont fait partie d’un programme durant leur grossesse, faisant en sorte qu’elles ont ingéré de l’acide folique et du fer sur une base régulière.
Il en est ressorti que le fer et l’acide folique influenceraient positivement l’intelligence des enfants. De plus, ils feraient en sorte que les petits sont mieux organisés et qu’ils ont de meilleures aptitudes motrices.
Faire en sorte que les mères des pays en voie de développement prennent ces compléments durant leur grossesse aurait un grand impact sur l’éducation future de leurs enfants.
Le fer est essentiel au développement du système nerveux central.
Rappelons que selon l’Organisation mondiale de la santé, deux milliards de personnes souffrent d’une déficience en fer, ce qui en fait la carence la plus commune sur la planète.