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La qualité de l’activité physique plus importante que la quantité

« La qualité est plus importante que la quantité » est un adage vieux comme le monde, et il semble qu’il s’applique également en matière de santé et d’activité physique, rapporte Top Santé.

En effet, selon une nouvelle étude américaine, cibler et varier le type d’exercice et miser sur l’impact de ceux-ci serait plus bénéfique pour la santé que de miser sur la répétition et la durée.

Pour arriver à ces conclusions, les auteurs de l’étude du Skidmore College de Saratoga Springs ont analysé les réactions de trois groupes de sujets volontaires. L’un des groupes ne devait simplement rien faire, le second devait miser sur un programme d’activité physique très intense et fréquent (quatre fois par semaine), alors que le troisième devait varier les types d’exercice et de programmes, mais de façon moins répétée.

Vous aurez deviné que le troisième groupe a bénéficié davantage de ce type de programme, tout en gagnant du temps précieux sur une base hebdomadaire.

« Pour être en bonne santé, il ne faut pas simplement faire plus de sport, mais pratiquer une gamme d’exercices appropriés qui sont bénéfiques et réellement utiles à la forme physique. Mais les résultats de l’étude suggèrent la nécessité de réévaluer les directives de santé dans le monde. En effet, leurs recommandations s’appuient aujourd’hui sur le temps passé à faire de l’exercice par semaine, et non sur les types d’activités physiques pratiquées », résume Paul Arciero, directeur de l’étude.

En ce moment, l’OMS suggère 150 minutes d’activités physiques dites « modérées » par semaine, ou 75 minutes d’activités très intenses.

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Gérer la colère des petits n’est pas toujours de tout repos

Les enfants de 2 à 3 ans piquent parfois des colères très intenses. Elles font partie de leur mode d’expression, de leur transition entre les pleurs et la parole pour vous signifier leur mécontentement.

Selon Top Santé, ce comportement peut s’étirer jusqu’à 6 ans. Armez-vous donc de patience!

Quelques trucs :

Les hurlements : Il ne faut pas se laisser aller nous-mêmes à la réaction vive. L’enfant teste les limites, et il faut demeurer ferme. Les cris sont inacceptables et ont une conséquence.

L’intensité de la crise : Il importe d’isoler l’enfant, de le retirer de la situation dès que la crise est trop importante. L’enfant ne doit rien obtenir tant qu’il n’est pas calme.

Le défoulement : Jeter des objets par terre ou frapper ne doit pas non plus être toléré, mais il est nécessaire de rappeler la raison et les règlements. Offrez une alternative, comme un oreiller pour frapper et, par exemple, des poches (jeu de poches) pour qu’il les jette à ses pieds. Il ne brisera rien et ne blessera personne ainsi.

En public : Vous devez conserver la même réaction qu’à la maison. Faites abstraction des regards indiscrets. Retirez l’enfant de la situation (magasin, médecin, épicerie) et expliquez le bon comportement à adopter.

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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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20 minutes d’activité intense pour éviter le diabète chez les enfants obèses

L’obésité et le diabète sont non seulement bien souvent reliés, mais l’obésité est désormais considérée que l’une des maladies principales aux États-Unis. Au cours de cette étude, ce sont 222 jeunes de 7 à 11 ans qui ont accepté de participer.

Le groupe de jeunes a été divisé en 3. Le premier groupe ne changeait rien à son cadre de vie, le second groupe devait suivre un programme d’exercice intense de 20 minutes, et le dernier testait les bienfaits d’un programme d’exercice quotidien de 40 minutes.

Les résultats, publiés dans le Journal of the American Medical Association, démontrent que 20 minutes d’exercices intenses quotidiennement, sur une période aussi courte que 3 mois, réduisent considérablement le risque associé au diabète de type 2.

Quant au groupe qui pratiquait une activité intense pendant 40 minutes, les bienfaits étaient plus notables, il va de soi. Cette période d’exercice permettait d’attaquer la masse graisseuse, mais pas seulement en surface. La graisse abdominale profonde, plus dangereuse pour la santé, était également réduite.

Cependant, la Dre Catherine Davis, psychologue de la santé à l’Institute of Public and Preventive Health à l’Université des Sciences de la santé de la Géorgie, insiste sur l’intensité de l’activité : « Ce n’est pas tant la durée que la constance de l’intensité de l’activité qui affiche le meilleur résultat ».

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L’exercice physique peut empêcher la fertilité des femmes

L’exercice physique, comme une marche quotidienne, est bon pour la femme qui désire devenir enceinte. Cependant, si l’on ne veut pas retarder les chances de conception, il faut éviter le vélo rapide, la natation, la gymnastique, la course et les autres activités à effort extrême plus de cinq heures par semaine.

L’entraînement physique intense est à proscrire chez les femmes de poids normal (IMC moins de 25) qui veulent être enceintes. Selon des études antérieures, l’activité physique intense peut perturber le cycle menstruel, conduire à une absence d’ovulation et même à l’absence de menstruations. Il peut également nuire à l’implantation lorsqu’un ovule fécondé se fixe à la paroi de l’utérus.

Pour celles qui ont un surplus de poids ou qui sont obèses, pour des raisons inexpliquées et encore plus ou moins claires, l’activité physique vigoureuse n’a pas d’impact sur la fertilité.

L’obstétricien et gynécologue Dimitrios Mastrogiannis de l’École de médecine universitaire à Philadelphie explique cette donnée au fait que les tissus adipeux chez la femme obèse produisent plus d’œstrogènes, et ce, peu importe le mode de vie.

Toutefois, le spécialiste tient à préciser que « l’exercice est une bonne chose. Il est lié à moins de risque de maladie cardiovasculaire, de cancer et de diabète. Il permet aussi de meilleures grossesses, un travail plus facile, moins de douleur et moins de naissances induites. Les femmes non obèses, selon cette dernière étude, devraient toutefois s’en tenir à de l’exercice aérobique modéré, si elles veulent améliorer leurs chances de tomber enceintes ».

Les chercheurs de cette récente étude de l’École de santé publique de l’Université de Boston ont observé le mode de vie de 3628 Danoises de 18 à 44 ans qui tentaient de concevoir un enfant avec un partenaire stable, sans traitements de fertilité.

Les résultats de l’étude, qui n’a pas prouvé un lien de cause à effet, ont été publiés dans le journal Fertility and Sterility.

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L’exercice physique, de préférence intense et moins long

Les experts viennent de découvrir qu’une activité physique intense, pratiquée pendant quelques minutes et entrecoupée de courts temps de repos, est plus bénéfique qu’une activité pratiquée régulièrement de façon modérée.
 
On recommande maintenant quatre séances d’entrainement intenses entrecoupées de trois minutes chacune. Cette façon de faire est suffisante pour vous faire perdre le souffle, mais ne vous épuisera pas.
 
Selon cette nouvelle découverte, en se gardant en forme de cette façon, on ressentirait beaucoup plus de bénéfices en moins d’une heure qu’en une semaine complète.
 
Le jogging est une activité modérée selon l’étude. En choisissant le mode intensif entrecoupé de pauses, on double notre endurance. De plus, on développerait des muscles plus forts et solides. Notre oxygénation serait augmentée de 10 % et notre vitesse de 5 %.
 
Les athlètes de haut niveau pratiquent souvent ce genre de méthode, mais on la recommande maintenant à la plupart des gens.
 
Déjà, certains s’emballent et disent qu’il faut revoir tous les messages qui incitent les gens à bouger. Pourtant, d’autres experts affirment qu’il n’y a pas assez de données pour préconiser une méthode ou une autre. De toute façon, selon eux, l’important est de bouger, peu importe ce que l’on choisit comme entrainement, tant que cela nous convient.