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Les interactions entre médicaments et suppléments à éviter

Les gens qui consomment des médicaments d’ordonnance sont de plus en plus nombreux, et la mode des suppléments alimentaires atteint son paroxysme. S’il n’y a aucun problème dans le fait que les gens se soignent ou s’occupent de leur organisme, certains peuvent survenir lorsqu’on mélange les deux.

C’est ce qu’affirme une étude chinoise que rapporte santelog.com. Ainsi, les spécialistes s’inquiètent d’un nouveau phénomène lié aux interactions entre médicaments et suppléments alimentaires, comme les vitamines en capsule.

Les chercheurs chinois ont étudié 54 articles et 31 études afin de déterminer les effets néfastes possibles de ces interactions. De façon plus précise, on cible les gens traités pour des problèmes neurologiques et cardiovasculaires, ainsi que les consommateurs de médicaments et suppléments contenant du millepertuis, du magnésium, du calcium, du fer ou du ginkgo.

Les résultats tendent à confirmer les craintes de l’équipe de chercheurs. Quelque 882 interactions potentiellement risquées ont été dénombrées. Les principes actifs warfarine, insuline, digoxine et ticlopidine sont des éléments cernés, et il faudrait éviter de les mélanger avec des suppléments.

Des contre-indications sont aussi émises dans le cas de la graine de lin, de l’échinacée et de la yohimbine.

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La méthode DIR pour aider les interactions positives d’enfants autistes

Il s’agit d’une thérapie à facettes multiples basée sur la compréhension personnelle et adaptée à chaque enfant. Elle incorpore chaque action comme un jeu afin d’aider l’enfant à se détendre.

Il est reconnu que l’enfant autiste a de la difficulté dans ses interactions sociales, en raison d’une hypersensibilisation des sens en rapport avec des facteurs spécifiques de chaque enfant.

Ainsi, pour l’un ce seront les bruits environnants, alors que pour d’autres, ce seront les textures, les éléments visuels ou les odeurs. Lorsque ce ou ces facteurs sont trouvés, la méthode DIR se concentre sur l’élément déclencheur de vives réactions.

En éliminant les causes de ces réactions, les thérapeutes du Milton & Ethel Harris Research Initiative, à l’Université York, espèrent réduire la durée quotidienne de stress auquel fait face l’enfant autiste.

La recherche rapporte, à titre d’exemple, le cas d’un enfant de 6 ans, Asif Bhurgri, qui allait tout naturellement vers les gens. Il démontrait un vif intérêt pour l’interaction, mais se figeait dès qu’il arrivait face à son interlocuteur.

Les thérapeutes ont finalement réalisé que le jeune Asif fixait un point du visage, puisque trop d’éléments visuels s’offraient à lui dans son environnement immédiat. En retirant tous les éléments dérangeant, dans une salle vide, Asif a ainsi réussi à se concentrer sur sa mère et à interagir directement avec elle, ce que sa mère a trouvé extraordinaire.

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Une exposition interactive au Science Museum de Londres

(Relaxnews) – Google invite les internautes du monde entier à participer à des expériences interactives à travers une exposition temporaire au Science Museum de Londres, à partir du jeudi 19 juillet et jusqu’à l’été 2013.

Grâce à la plateforme en ligne Chrome Web Lab, il est possible de parcourir cette exposition et d’interagir sur cinq animations particulières.

Lancé en version bêta, Web Lab se compose dans un premier temps d’une série de cinq expériences interactives exposées au Science Museum de Londres. Pour interagir sur les animations en place, il faut se rendre sur le site Chromeweblab.com.

Parmi les expériences proposées, Orchestre Universel permet aux internautes de créer ensemble de la musique, jouée ensuite sur des instruments robotisés qui se trouvent au sein du musée.

L’entrée de l’exposition, au Science Museum de Londres, est gratuite. Cette expérience doit durer jusqu’à l’été 2013.

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Le foetus interagit dans le ventre de la mère

Les futures mamans seront heureuses d’apprendre que leur enfant à naître présente déjà des comportements sociaux.

C’est ce qu’ont pu démontrer Umberto Castiello et une équipe de chercheurs italiens avec la technologie de l’échographie 3D en couleurs.

Monsieur Castiello a donc observé cinq paires de jumeaux dans le ventre de leur mère. Il a porté une attention particulière aux mouvements de leurs mains.

Il semble donc que les jumeaux entrent en contact volontairement entre eux, non pas uniquement par réflexe ou accidentellement. Les mouvements dirigés vers l’autre jumeau étaient plus lents que les autres.

Ainsi, ces mouvements étaient planifiés, ce qui signifie qu’ils avaient un réel but social. Ces actes prenant part au développement moteur ont été observés dès le quatrième mois de grossesse.

Finalement, les chercheurs dénotent le développement et la maturation du système nerveux central qu’aura l’enfant lorsqu’il sera né.

Il serait donc possible d’espérer, à la lumière de ces résultats, qu’une femme apprenne dès ce stade de la grossesse si l’enfant à naître présentera un trouble du comportement.

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Le babillement en dit plus que l’on croit

Les tout-petits qui babillent devraient toujours être écoutés par leurs parents, comme nous l’apprend le New York Times.

Les premiers sons que fait un bébé seraient la clé de son développement du langage. Ses babillements sont non seulement un incontestable précurseur du langage, mais aussi un indicateur de son développement cognitif et socio-affectif.

Une récente étude de l’Université de Memphis a démontré que passé sept mois, l’enfant a dès lors un babillement canonique, comprenant des syllabes. C’est à ce moment que l’intervention du parent est importante, car il répond au son émis par le mot correspondant.

De plus, une autre étude, celle-là de l’Université de Washington, a aussi fait la lumière sur le sujet. Un bébé serait capable de reconnaître les différents sons avant même de pouvoir les reproduire.

Ainsi, lorsqu’un tout-petit commence à émettre des babillements, il s’entraîne à reproduire les sons avec sa langue et sa bouche, pour en écouter le résultat.

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Une hormone influence l’interaction des parents avec leurs enfants

De nombreuses études avaient jusqu’à maintenant démontré que l’hormone de l’amour et de la confiance, l’ocytocine, agissait sur les femmes, les hommes et les enfants.
Cette fois, une étude rapportée par le Biological Psychiatry mentionne que cette hormone influence les comportements propres à chacun des parents envers leurs enfants.
 
Pour cette recherche, on a étudié 160 nouveaux parents dont c’était un premier enfant. On les a évalués après six semaines et après six mois.
 
On constate une augmentation de l’ocytocine, ce qui définirait le style d’interaction spécifique de chacun avec l’enfant. Ainsi, chez la mère, cette hormone la rend plus aimante et elle regarde plus tendrement son enfant, alors que chez le père, l’ocytocine rend son contact plus stimulant, encourageant à l’exploration.
 
À la lumière de ces observations, il est donc très important que les deux parents puissent interagir avec l’enfant dès la naissance.
 
« Ces différences peuvent refléter l’impact des attentes culturelles quant aux rôles spécifiques des parents, mais elles peuvent également indiquer les effets des circuits distincts de l’ocytocine dans les cerveaux masculin et féminin », explique le Dr John Krystal.