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Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux humains

Grande première : des chercheurs américains ont réussi l’impensable, soit de « connecter » deux cerveaux humains à l’aide d’une interface.

L’équipe, basée à l’Université de Washington et menée par Rajesh Rao, confirme être parvenue à envoyer un signal d’un cerveau humain à un autre, rapporte Santé Log.

La réussite est d’autant plus impressionnante qu’elle n’implique aucune technique invasive au cerveau, mais utilise plutôt les possibilités d’Internet et de l’informatique.

Ainsi, Rao est parvenu à « commander » son collègue, Andrea Stocco, qui se trouvait à l’autre extrémité du campus. Recevant l’ordre envoyé par Rao, Stocco déplace alors sa main sur un clavier d’ordinateur, sans l’avoir demandé!

On avait récemment confirmé la possibilité de transmettre des informations du genre d’un cerveau à l’autre sur des rongeurs, mais à l’aide d’électrodes implantées directement dans une zone cérébrale.

Cette fois, un simple dispositif placé sur la tête aurait permis cette première, un succès aussi intriguant qu’inquiétant, de l’aveu même des deux pionniers.

D’autres tests et recherches seront complétés afin de voir quelles sont les limites de cette technologie absolument renversante.

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Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux à l’aide d’une interface

Attention, la nouvelle qui suit risque de vous renverser. On nage ici en pleine science-fiction, comme quoi ceux qui croient que l’avenir est en fait maintenant ont peut-être tout à fait raison.

C’est Santé Log qui rapporte cette nouvelle étonnante expliquant que des chercheurs de l’Université Duke ont réussi à connecter deux cerveaux par le biais d’une interface, permettant ainsi l’échange d’informations cérébrales à distance.

On parle d’un système « d’ordinateurs biologiques » dans la publication des résultats de ces tests futuristes, parus dans l’édition du 28 février du Nature Scientific Reports. On n’a pour l’instant réussi la manœuvre que sur des rats, mais les tests sur ces rongeurs se sont avérés plus que concluants.

Outre ses aspects intéressants en matière de transfert de données, on croit également que cette découverte permettrait à certaines personnes paralysées de retrouver une certaine capacité motrice.

Lors des essais, le premier rongeur se trouvait au Brésil, et le deuxième en Caroline du Nord.

« Nos études précédentes sur les interfaces cerveau-machine nous avaient convaincus que le cerveau du rat est beaucoup plus plastique que nous l’imaginions », lance le professeur Michel Nicolelis, de Duke.

Il reste à voir s’il sera possible de transposer cet incroyable modèle chez l’homme.