Déjà avant d’entamer un traitement contre l’hépatite C, certains patients sont déprimés, mais l’International Journal of Interferon, Cytokine and Mediator Research rapporte que les risques de dépression chez les patients sont accrus de 10 à 40 % avec le traitement par interféron.
Les interférons pégylés combinés avec les antiviraux donnent un taux de guérison durable et aident à soulager les douleurs musculaires et articulaires, en plus de réduire aussi la fatigue. Seulement, les risques de dépression et de pensées suicidaires sont accrus.
Le problème est que les antidépresseurs ne fonctionnent pas toujours pour aider les patients.
Il est donc important d’avoir un suivi médical adéquat afin de maximiser les chances de guérison et permettre aux patients de bien vivre sans être déprimés.