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Une Québécoise explique pourquoi elle est dérangée par la nouvelle publicité de Maxi

Une Québécoise explique pourquoi elle est dérangée par la nouvelle publicité de Maxi, rapporte Le Sac de Chips

Rappelons que pour ce nouveau spot, Maxi s’est encore une fois reposé sur son porte-parole, Martin Matte, mais l’entreprise a également fait appel à un invité spécial (et inattendu) : le rappeur Koriass!

Pendant près deux minutes, on peut entendre les deux stars rapper sur une instrumentale très entraînante. Le thème de cette chanson tourne évidemment autour de l’épicerie et l’humour n’est jamais bien loin.

Si cette nouvelle publicité de Maxi a été saluée par les internautes, la chanteuse québécoise Raffy a été dérangée par ce qu’elle a vu et elle a expliqué ça dans une vidéo publiée sur son compte TikTok.

Selon elle, l’équipe marketing en charge de cette publicité s’est un peu trop inspirée d’une chanson créée par le musicien Banane. Une chanson qui avait été créée dans le cadre d’un concours organisé par Maxi. Un concours qu’avait remporté le chanteur.

« C’est correct de vouloir le refaire avec quelqu’un de plus connu, mais ce que je trouve dommage, c’est que le crédit va sur l’équipe de marketing comme quoi c’est donc ben écoeurant, encore un coup de génie, mais l’idée, la personne qui l’a eue deux ans avant, c’est Banane », déplore-t-elle.

Cette nouvelle publicité de Maxi ne passe tout simplement pas pour Raffy.

« Pour moi, c’est vraiment une question d’éthique. Ça se fait pas faire des concours pour ensuite prendre ton idée et la faire avec du budget sans même te donner le crédit », explique-t-elle. « Ils n’ont pas volé sa toune, mais tabarouette que le concept est similaire », affirme Raffy.

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Grands Titres

Olivier Primeau révèle la recette de sa pizza poutine et des internautes lui font une demande spéciale

Olivier Primeau est très actif sur les médias sociaux, ce n’est un secret pour personne. L’entrepreneur publie régulièrement de nouvelles vidéos, notamment sur son compte TikTok. Cette fois, il a révélé la recette de sa pizza poutine et des internautes lui ont fait une demande spéciale.

Qui n’aime pas la pizza ? Qui n’aime pas la poutine ? Qui n’aimerait pas une pizza poutine ? Il s’agit sans doute des questions qu’avait en tête Olivier Primeau lorsqu’il a pensé à combiner pizza et poutine dans un seul et même plat.

Celui qui est notamment à la tête de la pizzeria Slice Gang a partagé une vidéo où l’on peut voir les différentes étapes qui mènent à la création de la pizza poutine.

Pâte à pizza, sauce, frites et fromage font évidemment partie des ingrédients principaux.

Le résultat donne un plat imposant qui promet de vous rassasier.

Si de nombreux internautes se montrent très enthousiastes à l’idée d’essayer cette pizza poutine, certains d’entre eux ont fait une demande spéciale à Olivier Primeau et ils sont plusieurs à réclamer la même chose.

En effet, plusieurs internautes souhaitent avoir une succursale de Slice Gang là où ils habitent.

« Mets un slice gang dans rive sud », lui demande un internaute.


« mais cest pour quand le restaurant sur la rive sud », ajoute un autre internaute.


« plein de belle place pour un slicegang a Trois-Rivières », a commenté un autre internaute.


« Oli sa serait fun que tu ouvre un Slice Gang à Lachine !! », a écrit un autre internaute.


« ehhhhhh pardonnnn???? on veut ce restaurant à Québec/Lévis aussi!!!!! », a écrit une autre internaute.


Rappelons que pour le moment la seule succursale de Slice Gang se trouve à Sainte-Thérèse. 

Toutefois, certaines personnes seraient prêtes à faire un peu de route pour pouvoir tester cette pizza poutine.

« je serait le genre de personne à faire un roadtrip de 2h pour une patente dememe », a commenté un internaute.


Après avoir eu autant de réactions sur sa vidéo, Olivier Primeau va sans doute incorporer cette pizza poutine au menu de son restaurant.

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Potins

Jutra : TLMEP rajoute au malaise collectif

Le plateau de Tout le monde en parle a semblé dévier du sujet principal à plusieurs reprises lorsqu’il s’est attardé à l’affaire Claude Jutra, lors de son édition du dimanche 21 février.

Le défunt cinéaste maintenant accusé de pédophilie n’aura pas véritablement été au coeur du débat, alors que la soirée s’est davantage construite autour des excuses de Marc Béland et du procès des intentions de l’auteur Yves Lever.

Les excuses de Béland auront été trop longues et franchement hors propos, alors que les spectateurs s’attendaient à entendre davantage parler de Claude Jutra et de la suite des choses que des états d’âme d’un comédien et metteur en scène. Marc Béland a tout de même reconnu avoir vu « un jeune homme de son âge (20 ans)» alors qu’il habitait chez Claude Jutra, mais ne pas avoir saisi l’ampleur de ce qui se passait.

Mais c’est lorsque l’auteur de la biographie sur Claude Jutra, livre qui a tout déclenché le processus dans l’affaire Jutra, s’est retrouvé sur la sellette comme à son propre procès que les spectateurs ont semblé éprouver unanimement le plus grand malaise de la soirée. Twitter s’est notamment rapidement enflammé contre les attaques dirigées vers Yves Lever.

Encore une fois, de manière consciente ou non, le plateau de Tout le monde en parle aura dévié du sujet principal, un peu comme Louis Morissette précédemment concernant le blackface.

Guy A. Lepage aura au moins redressé brièvement la barque en lisant une lettre de « Jean », la première présumée victime ayant livré son témoignage et confirmé les penchants pédophiles de Claude Jutra à La Presse, un moment touchant… et dans le bon sujet. 

Car, le sujet demeure celui des horreurs vécues par les victimes et de la manière dont nous pourrions collectivement éviter le pire ou protéger les victimes de pédophilie à l’avenir.

On semble pourtant marcher sur des oeufs dans la colonie artistique montréalaise, et on semble préférer rappeler l’importance du cinéaste et de son oeuvre plutôt que les gestes infâmes qui lui sont reprochés. 

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Nouvelles quotidiennes

Google emmène les internautes en haut du plus haut bâtiment du monde

Avec le dernier projet en date de Google Street View, la firme californienne offre une vue panoramique, à 360 degrés, du haut de la tour Burj Khalifa à Dubaï.

Les personnes qui ont le vertige préfèreront sûrement cette expérience de visite virtuelle de la tour Burj Khalifa, un des bâtiments les plus impressionnants ayant été construits ces dernières années, qui trône à 828 mètres.

C’est la première fois que Google immortalise pour ses Street View Collections un bâtiment dans le monde arabe.

La prise de vues aura pris trois jours avec des appareils photo fixés sur des sacs à dos et des chariots. Les images haute résolution permettent d’avoir une vue panoramique à 360 degrés de l’intérieur du bâtiment et de l’espace extérieur.

Pour réaliser ce projet, les photographes sont par exemple montés sur les plates-formes des laveurs de vitres du 80e étage, se sont faufilés dans d’étroits passages à l’extérieur du bâtiment et ont capturé des images de plusieurs étages de ce monument dubaïote.

Parmi les temps forts de cette visite, on note l’étage habité le plus haut du monde (163e), la plus haute piscine jamais construite (76e étage) et la plate-forme d’observation la plus élevée, au 124e étage.

Plus tôt dans l’année, des sportifs recrutés par Google sont partis en randonnée dans le Grand Canyon pour prendre des photos de la Bright Angel Trail et du fleuve Colorado.

En 2011, la firme avait déjà créé l’événement en immortalisant l’Arctique canadien et la forêt amazonienne brésilienne.

Pour la vidéo dans les coulisses du tournage à la tour Burj Khalifa, cliquez ici.

Pour la visite virtuelle de la tour sur Google Street View, cliquez ici.

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Cinéma

James Franco fait appel aux internautes pour financer une trilogie autobiographique

James Franco se tourne vers le financement participatif pour concrétiser un nouveau projet artistique, Palo Alto Stories.

Acteur, réalisateur et professeur de cinéma, alternant sans cesse entre Hollywood et l’art et essai, James Franco espère recueillir 500 000 $ pour ce projet de trois longs métrages. Ils s’inspireront directement de son recueil autobiographique éponyme, paru en 2011 aux États-Unis. Quatre de ses élèves réaliseront les films dont il assurera la production.

Réflexion sur l’adolescence dorée californienne et le passage à l’âge adulte, Palo Alto Stories passe par le financement participatif pour finaliser un budget impossible à monter par voie traditionnelle.

Dans la note d’intention du film sur Indiegogo.com, James Franco accepte et confirme son statut de star. Il explique cependant que cela ne suffit pas pour convaincre les financiers de soutenir ces trois longs métrages art et essai, tournés à la suite.

Les bénéfices générés par Palo Alto Stories seront intégralement renversés à The Art of Elysium, structure associative qui encourage les artistes à s’impliquer auprès d’enfants malades.

Avec son projet, James Franco rejoint le cercle des professionnels du cinéma à l’assaut du financement participatif, à l’image du film Veronica Mars financé en un temps record par les nostalgiques de la série de Rob Thomas sur Kickstarter.com.

Franco a choisi Indiegogo.com, site concurrent en pleine progression grâce à une approche moins restrictive. Si l’acteur ne parvient à amasser 500 000 $ jusqu’à la date butoir du 17 juillet, il pourra tout de même conserver la somme versée par les internautes. Sur Kickstarter, dans un tel cas de figure, la campagne s’annule et les internautes retrouvent leurs mises.

Entretemps, l’acteur sera à l’affiche dans Homefront attendu en salles le 4 octobre prochain.

Pour découvrir le projet Palo Alto Stories de James Franco, cliquez ici.