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Soyez vigilants car les policiers vous auront particulièrement à l’oeil dans les prochains jours

Les conducteurs qui bloquent les intersections achalandées seront dans la mire de la police de Montréal au cours de la prochaine semaine.

Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a annoncé qu’il mènerait une opération qui vise à protéger les cyclistes et les piétons en empêchant les voitures d’avancer prématurément aux intersections.

Les policiers mèneront cette opération aux heures de pointe du matin et de l’après-midi près du pont Jacques-Cartier.

Les automobilistes qui seront surpris à bloquer les intersections en s’avançant trop tôt pourraient recevoir un billet d’infraction pouvant aller de 110 $ à 175 $. En ce qui concerne les conducteurs qui traversent aux feux rouges, ceux-ci perdront également trois points d’inaptitude.

Bien que le but principal de l’opération soit d’empêcher les voitures de bloquer la circulation, les autorités souhaitent aussi empêcher les collisions entre piétons, cyclistes et voitures.

Comme l’a indiqué Krisztina Baloch du SPVM, de plus en plus de personnes se rendent au travail à pied ou en vélo: «Le problème est persistant, donc nous avons fait beaucoup d’interventions ici et donné quelques contraventions. Mais malheureusement, il y a encore des intersections bloquées par les voitures. On veut changer les comportements, car le printemps est déjà là, et on va avoir plus de piétons et de cyclistes dans la rue.»

Le SPVM a rappelé qu’il y avait une campagne de sensibilisation au sujet de cette opération, dont des publicités qui sont diffusées à la radio.

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Le sport dans la ville : et les enfants?

Les rues passantes sont bénéfiques pour la santé des adultes, car elles les poussent à demeurer plus actifs, à se rendre au travail ou dans les magasins à pied, par exemple. Toutefois, cette même réalité urbaine ne serait pas bonne pour la santé des enfants, apprend-on sur Medical News Today.

Selon une recherche de la Queen’s University, la grande circulation automobile et les nombreuses intersections décourageraient les enfants à faire de l’activité physique et à jouer à l’extérieur.

Après avoir analysé des données géographiques comparatives, on a en effet remarqué que les enfants vivant au sein de quartiers achalandés avaient tendance à accuser un niveau inférieur d’activité physique que ceux qui grandissaient dans des quartiers plus calmes.

Un exemple de cette situation est le fait de pouvoir jouer au hockey dans la rue : la possibilité de pratiquer ainsi un sport est directement reliée au niveau d’activité physique d’un enfant.

Ainsi, plus la circulation automobile augmente, plus l’exercice physique est porté à disparaître, à moins que l’on ait accès à une impasse, au bout de la rue.