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Patrice Bélanger à la rescousse d’un candidat de Survivor Québec

Ghyslain, l’un des candidats clés de l’aventure Survivor cette année, de la tribu Nawa, nous a une fois de plus inquiétés et a dû avoir recours à l’intervention du médecin.

Rappelons qu’au cours des épisodes précédents, ce dernier avait été piqué par un scorpion, ce qui l’avait rapidement conduit au camp de base pour des observations plus approfondies.

Lors du dernier épisode, les deux tribus se sont affrontées lors d’une épreuve où les participants devaient se tenir le plus longtemps possible sur une barre sans tomber. Cette épreuve s’est déroulée dans des conditions difficiles, sous un soleil brûlant et une chaleur dépassant les 40 degrés, un défi qui a eu raison de Ghyslain.

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Après avoir fait une chute tête première dans l’eau, quelques minutes plus tard, il a visiblement été pris d’un important malaise, tombant à la renverse comme s’il allait perdre connaissance.

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Rapidement, l’animateur Patrice Bélanger et ses collègues sont intervenus pour le sortir de l’eau et le faire évaluer par le docteur de l’émission.

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Heureusement, son état s’est rapidement amélioré et Ghyslain a pu poursuivre son parcours dans l’aventure…

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Intervention préventive chez l’enfant pour éviter des adultes violents

Une étude collaborative entre quatre universités américaines, Duke, Pennsylvania State, Vanderbilt et Washington, a analysé 900 sujets pendant 19 ans pour arriver à cette conclusion.

L’objectif était de valider si une intervention appelée Fast Track Intervention (FTI) était efficace pour diminuer la prévalence de violence à l’âge adulte chez les enfants présentant les symptômes comportementaux agressifs.

Sur 10 000 enfants de 5 ans, 900 à risque élevé d’agressivité et de violence ont été séparés en deux groupes. L’un profitait de la thérapie FTI, alors que le second constituait le groupe contrôle.

Au terme du suivi, lorsque les jeunes étaient devenus des adultes de 25 ans, la FTI s’est avérée très concluante, indique Science World Report. Ceux qui avaient profité du programme avaient moins de dossiers criminels et d’incidences comportementales, ainsi que moins de troubles sociaux et de personnalité.

Le programme était constitué d’interventions régulières, tant à la maison qu’à l’école, basées sur le développement des aptitudes cognitives sociales et de la maîtrise des émotions.

Le succès de cette étude est sans précédent. Les résultats ont été publiés dans la revue American Journal of Psychiatry.

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Intervention préventive chez l’enfant pour éviter des adultes violents

Une étude collaborative entre quatre universités américaines, Duke, Pennsylvania State, Vanderbilt et Washington, a analysé 900 sujets pendant 19 ans pour arriver à cette conclusion.

L’objectif était de valider si une intervention appelée Fast Track Intervention (FTI) était efficace pour diminuer la prévalence de violence à l’âge adulte chez les enfants présentant les symptômes comportementaux agressifs.

Sur 10 000 enfants de 5 ans, 900 à risque élevé d’agressivité et de violence ont été séparés en deux groupes. L’un profitait de la thérapie FTI, alors que le second constituait le groupe contrôle.

Au terme du suivi, lorsque les jeunes étaient devenus des adultes de 25 ans, la FTI s’est avérée très concluante, indique Science World Report. Ceux qui avaient profité du programme avaient moins de dossiers criminels et d’incidences comportementales, ainsi que moins de troubles sociaux et de personnalité.

Le programme était constitué d’interventions régulières, tant à la maison qu’à l’école, basées sur le développement des aptitudes cognitives sociales et de la maîtrise des émotions.

Le succès de cette étude est sans précédent. Les résultats ont été publiés dans la revue American Journal of Psychiatry.

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Interventions inefficaces pour l’abus de drogues ou médication

Comme le rapporte Science World Report, depuis 1992, ce type d’abus a augmenté de 118 % chez la population américaine uniquement.

Les résultats de l’équipe du Dr Richard Saitz de la Boston University School of Public Health ont été publiés dans la revue JAMA.

En tout, 528 patients adultes, tous dépendants à la marijuana, la cocaïne ou les médicaments sous prescription, ont été séparés de façon aléatoire en 3 groupes.

Le premier recevait uniquement les coordonnées des ressources pour recevoir de l’aide, le second groupe était accompagné par une consultation de 10 à 15 minutes (entrevue de négociation), et le dernier avait une rencontre plus étoffée de 30 à 45 minutes (entrevue de motivation).

Après 30 jours, on a constaté qu’aucune intervention prévue dans la stratégie initiale n’avait fonctionné, même avec la prise de médication abusive.

« L’utilisation de médication à des fins inappropriées est particulièrement complexe », explique Dr Saitz. « On doit déterminer si les symptômes sont en cause (anxiété, douleur)m ou si le patient recherche l’euphorie ou une alternative à la drogue. »

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Intervention chez l’enfant, moins d’agressivité à l’âge adulte

La recherche a débuté avec une équipe dirigée par le psychologue et scientifique Justin Carré de l’Université Nipissing en Ontario, au Canada. Elle a été publiée dans la revue Psychological Science.

Le programme Fast Track enseigne des aptitudes cognitives sociales aux enfants, telles que la régulation émotionnelle et la résolution de problèmes sociaux. Les résultats ont démontré une diminution de l’agressivité et du comportement antisocial chez les enfants et adolescents.

La raison, selon Medical News Today, réside dans l’altération d’un mécanisme biologique spécifique. Celui-ci étant lié à la modification de la réactivité de la testostérone à la provocation sociale.

En tout, 63 candidats ont participé à cette étude. Ils ont été choisis dans différentes écoles à Dunham, en Caroline du Nord. Tous des hommes afro-américains, ils étaient âgés de 5 à 17 ans au début de la recherche. La moitié d’entre eux a profité du programme Fast Track.

Huit ans après la première intervention, les spécialistes ont déterminé le niveau d’agressivité des candidats à l’aide d’un jeu. Il s’est avéré que ceux qui avaient reçu l’enseignement Fast Track présentaient moins de testostérone, et donc moins d’agressivité.

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Le traitement public des troubles de la fertilité serait bénéfique

Que le gouvernement et le système public de santé s’occupent des traitements de fertilité et de fécondation in vitro auxquels ont recours des milliers de femmes est une bonne chose, selon une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est ce que rapporte Radio-Canada, qui reprend une étude en provenance de l’Université de l’Alberta, qui avait pour but d’évaluer les impacts d’une intervention publique en matière de traitement de l’infertilité.

Pour les chercheurs de l’Université de l’Alberta, l’intervention de l’État dans l’accompagnement de ces femmes désireuses d’avoir un enfant permettrait des traitements moins risqués et plus ciblés, ainsi qu’une réduction des frais généraux.

On parle d’une économie possible variant de 50 à 100 millions pour l’Alberta  si la province se lançait dans l’aventure publique, en plus d’un nombre réduit de naissances prématurées et de complications.

L’étude fait grand bruit dans les villes albertaines qui souhaitent voir le système public augmenter son soutien aux femmes et aux parents désireux d’avoir un enfant.

On estime à 16 % le nombre de citoyens canadiens aux prises avec des problèmes d’infertilité.

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L’opération bariatrique pour enfant obèse, une intervention discutable

Selon le Dr Aaron S. Kelly, de l’Université Minnesota Medical School, « l’obésité sévère » représente désormais un risque qui atteint 6 % des enfants et adolescents. Ce qui l’inquiète, c’est que les solutions efficaces sont très limitées.

En fait, Kelly et ses collègues affirment que même après l’intervention chirurgicale au niveau de l’estomac ou des intestins, « ils demeurent toujours très obèses, sans amélioration notable du profil métabolique et cardiovasculaire ».

Malheureusement, les études relatives à la médication pour aider les enfants aux prises avec de l’obésité morbide sont encore embryonnaires. Notamment, deux nouveaux médicaments ont été mis sur le marché l’an dernier sans qu’aucune recherche sur la compatibilité avec les enfants ait été présentée. Il s’agit du Qsymia et du Belviq.

Dr Valentin Fuster, directeur du Mount Sinai Heart au Mount Sinai Medical Center de New York, abonde dans le même sens. Il a confié à MedPage Today qu’avant d’intervenir de façon chirurgicale, il faut se poser les bonnes questions. L’obésité morbide ne met pas seulement en cause le fait de trop manger. Plusieurs facteurs tels que la génétique, l’environnement et le comportement sont à considérer : « Dans la situation actuelle, il vaut mieux identifier plus tôt les enfants à risque de devenir obèses ».

Ainsi, si votre enfant a tendance à prendre du poids plus que la moyenne, n’hésitez pas à consulter votre pédiatre plutôt que d’en arriver à l’inévitable.

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Une étude importante pour réduire les décès à l’accouchement

L’étude, qui a été menée avec succès par Sohni Dean et Zulfigar Bhutta, de la Aga Khan University à Karachi, met en lumière des interventions à mettre en place et à déployer auprès des femmes enceintes de milieux défavorisés ou même de classe moyenne.

La partie n’est pas encore gagnée, mais les chercheurs ont fait un travail de moine pour déterminer les mesures à prendre pour réduire les décès liés à l’accouchement. Les résultats détaillés sont sur le site PLoS Medicine. Il s’agit de la plus importante étude sur les soins préventifs prénataux à ce jour.

La priorisation des éléments à considérer comme un danger potentiel de décès a fait l’objet d’un long débat pour en venir à un consensus. Désormais, il reste à éduquer les femmes sur les risques associés à une grossesse problématique. Pour ce faire, Dean et Bhutta ont recommandé d’intégrer ces nouvelles mesures de prise en charge à la formation de tous les travailleurs de la santé. Ce sont eux qui sont les mieux placés pour accompagner les futures mères.

Les recommandations visent la prévention, notamment en faisant la promotion de l’espacement des naissances, la diminution des grossesses chez les adolescentes et, bien évidemment, l’environnement sans fumée pour les futures mamans.

Joel Ray et ses collègues de l’hôpital St Michael à Toronto accueillent cette initiative avec enthousiasme. Ils reconnaissent le travail colossal qui a été fait pour déterminer avec justesse une méthode d’accompagnement préventive et espèrent que ces mesures seront rapidement mises en place.

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Potins

Angelina Jolie de retour sur le tapis rouge

C’était un grand soir hier (2 juin) pour la première londonienne du film World War Z qui met en vedette Brad Pitt. L’acteur était non seulement accompagné de ses fils Maddox et Pax, mais aussi de sa fiancée, Angelina Jolie. Celle-ci effectuait donc son premier tapis rouge depuis l’annonce de sa double mastectomie.

Rappelons que le 14 mai dernier, l’actrice dévoilait dans un long texte dans le New York Post qu’après avoir effectué un test génétique révélant qu’elle avait de gros risques de développer un cancer du sein, elle avait décidé de subir une double mastectomie préventive, en février, et qu’elle avait ensuite eu une intervention pour des implants mammaires en avril.

Depuis, elle était en convalescence à Los Angeles, rapporte People.

Hier soir, elle s’est présentée aux côtés de son conjoint et disait se sentir bien. Elle se disait également reconnaissante de tout l’appui qu’elle avait reçu, et heureuse d’avoir soulevé des discussions à ce sujet.

Brad Pitt a encore une fois témoigné de toute son admiration pour sa conjointe. « Je crois qu’elle est une femme incroyable. Elle n’était pas vraiment nerveuse de m’accompagner ce soir, elle était si émue. Nous avons été tous émus par les réactions. Nous n’avions pas réalisé ou ne savions pas à quel point les gens ignoraient leurs options. Ils ne savaient pas que ce test existait. Nous avons été touchés par les réactions », mentionne Pitt.

Le film World War Z prendra l’affiche le 21 juin prochain.

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Plus de chance de survivre à son opération lors d’un jour ouvrable?

Santé Log rapporte un phénomène aussi surprenant qu’inquiétant, alors que des chercheurs britanniques affirment avoir décelé des variations de statistiques des chances de survie selon le jour d’une intervention.

Ainsi, les chercheurs de l’Imperial College croient pouvoir affirmer qu’il est plus risqué de se faire opérer durant le week-end. On parle même d’une hausse de 9 % des risques par jour, à mesure que la fin de semaine approche.

Les conclusions des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le fameux BMJ Open et risquent de faire jaser la communauté médicale ainsi que les patients.

Les raisons avancées pour expliquer « l’effet week-end » sont la réduction du personnel lors des fins de semaine en centre hospitalier, la baisse d’énergie et de concentration des médecins sur place, qui sont de surcroît souvent des praticiens avec moins d’expérience…

On croit donc que le lundi serait la journée idéale pour se faire opérer, alors que les chances de survie diminueraient à mesure qu’approche le vendredi.

Une équipe de médecins canadiens, basés à Toronto, vient de confirmer l’existence d’un « effet week-end », comme quoi le phénomène ne se limite pas à l’Angleterre.