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Le décalage horaire : l’une des causes de l’obésité

Les scientifiques de cette recherche ont associé le dysfonctionnement du rythme circadien (cycle de sommeil et d’éveil) à la perturbation de la bactérie intestinale.

Habituellement, le mécanisme du cycle de sommeil et d’éveil aide l’organisme à synchroniser les activités biologiques, informe Science World Report. Comme celui-ci est déphasé par le décalage horaire, l’altération de son rythme affecte directement la communauté microbienne du système digestif.

Par conséquent, des problèmes métaboliques peuvent apparaître et notamment mener à l’obésité. Selon les chercheurs, considérant le rythme déjà effréné que l’on mène, croiser fréquemment différents fuseaux horaires ne fait qu’exacerber le métabolisme.

Lors de l’expérience du dérangement du rythme circadien chez des rongeurs, ceux-ci prenaient non seulement du poids, mais l’altération microbienne engendrait aussi des symptômes du diabète.

« Cette découverte surprenante nous permettra sans doute de créer des traitements préventifs pour ces gens, afin de réduire les risques de complications », a expliqué Eran Elinay, auteur de l’étude publiée dans la revue spécialisée Cell.

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Pourquoi devriez-vous consommer des bananes?

Comme le mentionne Top Santé, la banane contient beaucoup d’énergie. Si vous la consommez mûre, son indice glycémique est plus élevé. C’est l’une des raisons qui fait en sorte que les sportifs l’intègrent à leur alimentation.

D’autre part, la banane représente un atout pour votre digestion, en plus de protéger votre flore intestinale et de diminuer votre cholestérol. Puisqu’elle comble votre appétit très longtemps et qu’elle a tant de bienfaits sur la digestion, elle vous aide aussi à perdre des kilos.

Si vous n’êtes toujours pas convaincu, sachez également que les bananes favorisent le sommeil grâce au tryptophane qu’elles contiennent.

Lorsque nous étions plus jeunes, nos parents nous interdisaient souvent de consommer une banane le soir, de crainte que ce soit trop « lourd » à digérer.

Cependant, si vous en consommez 1 heure avant le coucher, vous vous endormirez apparemment plus rapidement.

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Choisissez des aliments pour dorloter votre intestin

Top Santé vous propose d’intégrer de bonnes habitudes à votre alimentation quotidienne.

Aidez votre flore intestinale et réduisez les risques d’inflammation

Les aliments riches en amidons résistants, notamment contenus dans le pain de seigle, préviennent l’inflammation intestinale. Ajoutez à cela des probiotiques pour réguler votre flore intestinale jusqu’à 3 fois par jour en consommant du yogourt.

Donner un coup de main aux cellules intestinales

Les oméga-3 sont de fiers alliés pour votre intestin. Ils contribuent à conserver l’étanchéité des cellules et aident donc à leur bon fonctionnement.

Améliorer le système immunitaire par le système digestif

La glutamine, contenue entre autres dans la viande, le poisson, les fruits de mer et les œufs, aide la muqueuse de l’intestin et renforce son système immunitaire. Vous la retrouvez aussi dans les noix et les légumineuses.

Petits trucs pour dorloter votre intestin

– L’alcool, le tabac et le café sont vos ennemis jurés.

– Préférez les légumes cuits, ils sont moins irritants.

– L’amidon résistant aide aussi à réparer l’intestin. Consommez régulièrement des champignons et des bananes.

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Des nano-jus pour reconnaître diverses maladies des intestins

L’imagerie utilisée actuellement ne permet pas toujours de détecter les maladies affectant le petit intestin, entre autres le syndrome du côlon irritable. Même les rayons X et la scanographie ont leurs limites, rapporte Science World Report.

Des chercheurs de l’Université de Buffalo ont offert d’aider à développer une nouvelle méthode qui inclut des nanoparticules suspendues à l’intérieur d’un liquide. On les nomme les nanojuice (nano-jus).

Lorsque ceux-ci atteindraient le petit intestin, le médecin utiliserait un laser sans danger et non invasif afin d’obtenir une imagerie complète et en temps réel de l’organe interne.

« Les méthodes d’imagerie traditionnelles montrent l’organe et ses blocages, mais cette méthode vous permet de voir de quelle façon le petit intestin fonctionne en temps réel », explique l’auteur de la recherche, Jonathan Lovell. « Ceci permettra aux médecins de mieux prendre soin des personnes qui souffrent à ce niveau. »

La longueur moyenne du petit intestin chez l’humain est de 23 pieds, avec une paroi d’un pouce. C’est dans cette partie que la plus grande part de la digestion et de l’absorption se produisent.

L’étude a été publiée dans la revue Nature Nanotechnology.

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Un régime riche en fibres s’avère très efficace contre le diabète et l’obésité

MedicalNewsToday rapporte une étude qui confirme les bienfaits d’un régime alimentaire fort en fibres, notamment dans la prévention de certains troubles de la santé comme le diabète et l’obésité.

Si ces notions sont connues depuis longtemps par les spécialistes en santé et nutrition, il demeurait à démontrer le fait, puis à en expliquer la cause. Il semble que ce soit pratiquement chose faite, alors que des chercheurs français du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), en collaboration avec collègues basés en Suède, présentent les résultats de leurs travaux.

On apprend de ces derniers, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Cell, qu’une diète riche en fibres permet à l’intestin de produire des acides gras, et ce que les chercheurs appellent du « glucose synthétique ».

Relâchés plus tard dans la nuit ou entre les repas, ces éléments permettraient à l’intestin et au corps de déclencher une série d’actions qui protège contre le développement du diabète et de l’obésité, comme un plus grand sentiment de satiété, une dépense d’énergie accrue et une production moindre de glucose par le foie.

Des tests subséquents sur des souris ont confirmé cette théorie. Les rongeurs soumis à une diète plus riche en fibres démontraient une meilleure protection contre le diabète et une prise de poids moins grande que les autres.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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L’opération bariatrique pour enfant obèse, une intervention discutable

Selon le Dr Aaron S. Kelly, de l’Université Minnesota Medical School, « l’obésité sévère » représente désormais un risque qui atteint 6 % des enfants et adolescents. Ce qui l’inquiète, c’est que les solutions efficaces sont très limitées.

En fait, Kelly et ses collègues affirment que même après l’intervention chirurgicale au niveau de l’estomac ou des intestins, « ils demeurent toujours très obèses, sans amélioration notable du profil métabolique et cardiovasculaire ».

Malheureusement, les études relatives à la médication pour aider les enfants aux prises avec de l’obésité morbide sont encore embryonnaires. Notamment, deux nouveaux médicaments ont été mis sur le marché l’an dernier sans qu’aucune recherche sur la compatibilité avec les enfants ait été présentée. Il s’agit du Qsymia et du Belviq.

Dr Valentin Fuster, directeur du Mount Sinai Heart au Mount Sinai Medical Center de New York, abonde dans le même sens. Il a confié à MedPage Today qu’avant d’intervenir de façon chirurgicale, il faut se poser les bonnes questions. L’obésité morbide ne met pas seulement en cause le fait de trop manger. Plusieurs facteurs tels que la génétique, l’environnement et le comportement sont à considérer : « Dans la situation actuelle, il vaut mieux identifier plus tôt les enfants à risque de devenir obèses ».

Ainsi, si votre enfant a tendance à prendre du poids plus que la moyenne, n’hésitez pas à consulter votre pédiatre plutôt que d’en arriver à l’inévitable.

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La prune officiellement bénéfique pour le système digestif, selon l’UE

L’Union Européenne et son organisation principale en santé viennent d’officialiser les bienfaits de la prune, selon ce que rapporte Medical News Today.

Ce qui peut sembler une nouvelle plutôt banale est en fait le résultat d’un long combat de la part des producteurs de prunes basés en Californie, qui désiraient voir l’Europe faire la promotion du produit.

On sait que la prune permet une meilleure digestion et s’avère donc un allié de la bonne santé, sauf qu’on tardait à en officialiser les bénéfices sur le territoire européen. Cela aura donc pris six ans au California Prune Board avant de remporter son pari afin que son produit soit inscrit comme allié officiel de la santé dans l’UE.

« Il faut dire que les fonctions des intestins sont des sujets difficiles en Angleterre, alors il est difficile de bien communiquer les informations… Pour fonctionner normalement, on recommande 25 grammes de fibre quotidiennement, et 80 % des Britanniques n’en mangent pas ou pas assez », lance Jeannette Higgs d’un ton très sérieux.

Bien que cette officialisation soit tardive et semble un brin inutile, on rappelle l’importance pour le public en général d’avoir accès à des informations justes et véridiques, et donc l’importance de ne pas laisser n’importe quel produit s’afficher comme « officiellement bon pour la santé ».

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Une bactérie du lait au secours des gens qui souffrent de problèmes intestinaux

Plusieurs personnes souffrent de problèmes intestinaux, ce qui peut rendre la digestion plus qu’inconfortable, ou encore mener à des maladies plus graves comme celle de Crohn.

Un traitement efficace est peut-être en train de voir le jour, et il apparaîtrait sous la forme primaire d’une bactérie contenue dans le lait. C’est du moins ce que rapporte santelog.com, qui rapporte une étude effectuée par des chercheurs du CNRS.

Ces derniers, des Français, ont reproduit artificiellement une bactérie qui permettrait de soulager tous ceux aux prises avec ce genre de problèmes. L’ayant baptisée « bactérie bénéfique » aux fins de vulgarisation, les spécialistes sont optimistes de développer des traitements à la suite de cette création.

L’élément important de ces recherches est l’élafine, une protéine capable de soulager ou de guérir les maux intestinaux, mais encore fallait-il trouver le moyen de l’injecter directement dans l’intestin. L’équipe de chercheurs de Toulouse a donc recréé artificiellement la protéine, à partir de bactéries modifiées, pour l’associer au lait, simplement.

Les tests sur des souris ont démontré que le système fonctionne. L’avenir s’annonce donc prometteur dans la lutte aux troubles intestinaux, ainsi que contre la maladie de Crohn.