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Nouvel espoir pour les bébés prématurés

On apprend sur Action Medical Research que des travaux de recherche ont cours pour mettre au point un nouveau test de détection de l’entérocolite nécrosante.

Mentionnons que cette maladie est en fait une ulcération et une nécrose (mort de cellules) touchant le côlon et l’iléon (la partie finale de l’intestin grêle). On évalue, au Royaume-Uni seulement, que 3 000 bébés sont atteints chaque année de cette maladie de l’intestin.
 
Près de 35 % de ceux qui en souffrent en décéderont. Le test en question permettrait de détecter plus tôt cette maladie de l’intestin touchant principalement les bébés prématurés. On évalue à 8 % le nombre de ces enfants qui la développeront.
 
Les autres personnes qui souffrent habituellement de ce mal sont celles qui sont atteintes d’un cancer.

Ainsi, en ayant un diagnostic hâtif de la maladie, les chances de survie des enfants seraient grandement améliorées. En ce moment, lorsqu’on arrive à reconnaître hors de tout doute l’entérocolite nécrosante, les bébés sont déjà très malades.

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Lien entre la dépression infantile et la maladie de Crohn

Selon un médecin de Children’s Hospital de Pittsburgh, Dr Arvind Srinath, il existerait un lien entre la maladie de Crohn et la dépression infantile, lisons-nous sur Med Page Today.

En fait, la dépression semble courante chez les enfants atteints de cette maladie qui se plaignent de douleurs abdominales, et ce, même si leur mal semble minime ou inactif.
 
La comparaison de données touchant 500 jeunes patients fonctionne tout à fait entre la dépression et cette maladie inflammatoire. Parmi eux, 23 % ont reçu un diagnostic de dépression. L’âge moyen du groupe était de 14 ans et autant de filles que de garçons en faisaient partie. On a aussi relevé que l’anxiété était tout autant reliée à la maladie de Crohn.

Dr Srinath recommande donc fortement à ce que l’on évalue les enfants atteints d’une maladie inflammatoire de l’intestin pour savoir le plus tôt possible lesquels souffrent d’une dépression ou en présentent les premiers signes.

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Risque d’une maladie de l’intestin à cause des antibiotiques

Les bébés à qui l’on administre des antibiotiques pour une otite seraient plus susceptibles de développer une maladie de l’intestin un peu plus tard dans leur enfance.

Nous pouvons lire dans l’American Journal of Gastroenterology les résultats d’une étude sur le sujet, laquelle a porté sur 36 enfants atteints soit de colite ulcérative ou de la maladie de Crohn.

Ces deux maladies sont les formes les plus virulentes de l’inflammation de l’intestin. Les enfants en question avaient un âge moyen de 8 ans et chacun d’entre eux était comparé à 10 enfants non atteints.

58 % des enfants malades avaient reçu des antibiotiques lorsqu’ils étaient encore poupons. En revanche, 39 % des 360 enfants non atteints par la maladie avait pris des antibiotiques au même jeune âge.

Aux États-Unis seulement, on estime à 1 million le nombre de personnes atteintes d’une maladie de l’intestin. Ce nombre tend malheureusement à augmenter selon un taux de 10 % par année.

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Les bactéries intestinales sont à l’origine de plusieurs maux chez les enfants

Des scientifiques ont comparé les bactéries intestinales de jeunes enfants de l’Union européenne et des régions éloignées du Burkina Faso. Ils ont découvert une différence assez importante qui expliquerait la disparité des maladies chroniques et de l’obésité.

En effet, selon le Proceedings of the National Academy of Sciences, les microbes vivants dans l’intestin peuvent entrainer un taux élevé d’allergies, de maux d’estomac chroniques, et même l’obésité, chez les enfants vivants dans les pays riches industrialisés.

L’alimentation y est pour beaucoup. Au Burkina Faso, par exemple, les enfants consomment peu de viande, notamment.

Ces résultats démontrent qu’il serait important de développer encore plus les produits avec probiotiques, afin de tenter de rééquilibrer la flore intestinale des individus.

Par le passé, plusieurs études ont lié ce type de bactéries à l’inflammation, et qu’elles affectaient aussi l’appétit.

Bien que les maladies infectieuses sont moins nombreuses dans les pays développés, on assiste à l’apparition de nouvelles maladies, ou plus d’allergies, de maladies auto-immunes ou inflammatoires de l’intestin, et ce, dès le plus jeune âge.

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Les coûts de la maladie coeliaque

Une récente étude, menée par des chercheurs associés à l’Université Dalhousie à Halifax, nous apprend que les patients atteints de la maladie coeliaque qui doivent suivre un régime sans gluten doivent débourser davantage quand vient le temps de faire l’épicerie.

En effet, 56 produits portant la mention « sans gluten » ont été comparés à des produits similaires contenant du gluten. Les premiers coûtent en moyenne 242 % de plus que les seconds, selon les nutritionnistes.

Pas surprenant que les patients souffrant de la maladie pressent les gouvernements d’agir pour corriger cette injustice.

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Les bébés allaités, protégés par leur maman

Une vertu supplémentaire s’ajoute à l’allaitement maternel, alors que la molécule CCR10 jouerait un rôle important dans l’immunité contre les infections intestinales chez les bébés allaités par leur mère.

Une équipe de chercheurs, provenant des universités Brigham Young, Harvard et Stanford, ont observé que les souris qui allaitaient avaient plusieurs cellules anticorps dans leurs glandes mammaires. Les souris, qui n’avaient pas la molécule CCR10, ne produisaient pas ce type de cellules.

« Pourquoi l’allaitement est si bon pour l’enfant? Parce que le lait maternel contient des anticorps qui protègent le nouveau-né des infections et des virus. Cette étude démontre le mécanisme derrière les molécules que l’on retrouve dans le corps de la mère et qui peuvent protéger l’enfant », a souligné l’auteur, le Dr Eric Wilson.

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La maladie de Crohn différente selon le sexe

Selon une équipe de l’Université de la Californie, à San Francisco, les symptômes de la maladie de Crohn sont plus violents chez les femmes que chez les hommes. Toutefois, les cas diagnostiqués chez ces derniers sont en hausse.

Cette affection d’étiologie inconnue se caractérise par une inflammation au niveau du système digestif, mais plus particulièrement dans les intestins. Parmi les symptômes, on observe des douleurs abdominales, de la diarrhée, des ballonnements. On peut traiter la maladie de Crohn par une médication ou une chirurgie.

Selon le Dr Melvin B. Heyman, auteur principal de l’étude, on ignore encore pourquoi cette maladie s’exprime de manière différente selon le sexe de la personne qui en est atteinte, mais cette découverte médicale permet d’envisager un meilleur traitement de la maladie.

Ainsi, parmi les 566 garçons et les 423 filles observés, l’équipe de Heyman a remarqué que le volume sanguin de l’échantillon féminin contenait moins d’albumine, ce qui présuppose un syndrome de malabsorption. De plus, les filles souffraient davantage d’irritations cutanées, un symptôme souvent associé à la maladie de Crohn et qui conduit fréquemment à la chirurgie gastrique lorsqu’il est observé.

Le Dr Heyman suggère toutefois que des recherches plus poussées dans ce domaine soient effectuées.