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Nutrition

Alimentez-vous de façon à vous protéger du rhume et de la grippe

Everydayhealth vous rappelle qu’il faut renforcer votre métabolisme et manger des aliments riches en antioxydants et en zinc pour éloigner les virus du rhume et de la grippe.

Accroître la défense du système immunitaire

Saviez-vous que 70 % de votre système immunitaire se trouve dans vos intestins? Vous devez donc vous assurer que la culture microbienne est en pleine forme. Par conséquent, recherchez les probiotiques dans les aliments fermentés.

Dites « non » aux aliments préparés

Vous devez éviter les aliments « sucrés, transformés ou contenant du gluten, puisqu’ils diminuent de façon radicale votre fonction immune ».

Consommez des aliments aux propriétés anti-inflammatoires comme les aliments vert foncé, les baies, le saumon et les patates douces.

Comptez aussi sur un bouillon de poulet maison pour vos bases de soupes et ragoûts, puisqu’il apporte son soutien au système immunitaire.

Les bons gras tels que les amandes, le lait de coco et les avocats vous seront bénéfiques. Vous pouvez les combiner dans un smoothie et y ajouter des grains comme le chia.

Le zinc, quant à lui, se retrouve dans les épinards, les graines de citrouille, les huîtres et les haricots.

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Grossesse après 35 ans : risque moins élevé de malformation congénitale

Les malformations congénitales peuvent, sans y être restreintes, atteindre le cœur, le cerveau, les reins, les intestins et les os.

Les résultats de la recherche sont publiés dans le cadre de la rencontre annuelle de la Society for Maternal-Fetal Medicine.

Pour en arriver à la conclusion que le risque d’anomalies congénitales diminue avec l’âge de la femme enceinte, on a utilisé les résultats d’échographies de 2e trimestre récoltées chez plus de 76 000 femmes.  La comparaison des données s’est effectuée chez les femmes de moins de 35 ans et de plus de 35 ans.

Les scientifiques ont déterminé que le risque de malformations congénitales diminuait de 40 % avec les femmes enceintes de plus de 35 ans, sauf en ce qui a trait aux malformations cardiaques, où aucun changement n’a été noté.

Comme le mentionne la Dre Katherine R. Goetzinger, cette recherche apportera un peu de réconfort aux femmes qui souhaitent avoir un enfant plus tard dans leur vie, puisqu’elles se font toujours dire que les risques augmentent avec l’âge.

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Potins

Jennifer Lawrence a dû se rendre à l’hôpital

L’actrice de 23 ans, Jennifer Lawrence, a attendu plusieurs semaines avant de finalement se rendre à l’urgence de l’hôpital. Elle a raconté en détail sa visite chez le médecin lors de son passage à David Letterman hier soir (20 novembre).

« J’avais cette douleur atroce depuis au moins 3 semaines. » Des crampes intestinales qui lui ont même fait annuler quelques apparitions pour la promotion du film The Hunger Games: Catching Fire. « J’ai cru que j’avais un ulcère et je me suis rendue à l’urgence. »

Finalement, Lawrence a dû subir une endoscopie sous anesthésie. Elle a raconté avec humour à David Letterman son expérience. « C’est plutôt clair, quand on me rencontre pour la première fois, que je suis un cas sévère, un peu folle, alors je n’arrêtais pas : “Hein, c’est quoi ces trucs? À quoi ça sert?” » En riant, la star ajoute : « La dernière chose que j’ai dit avant de m’endormir c’est : “Je suis paralysée!” ».

Finalement, selon Film-News, la star a été diagnostiquée de troubles intestinaux plus simples qu’il n’y paraissait… de gros ballonnements, qui entrainaient des gaz douloureux. N’ayant pas peur du ridicule, Jennifer Lawrence en a ri en ondes avec Letterman.

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La grossesse modifie les microbes des intestins des femmes

Normalement, ces changements seraient associés à un syndrome métabolique, mais pour les femmes enceintes, ils sont plutôt bénéfiques, selon les experts de la Cornell University d’Ithaca, New York.

En fait, ces changements sont une façon pour le corps de se préparer à nourrir le fœtus et prendre soin du bébé après la naissance.

« Ces résultats suggèrent que nos corps ont coévolués avec le microbe et peuvent en fait les utiliser comme un outil pour aider à altérer le métabolisme de la mère pour supporter la croissance du fœtus », explique la PhD Ruth Ley, de la Cornell University.

Les symptômes du syndrome métabolique, comme le gain de poids et un catabolisme anormal du glucose apparaissent durant la grossesse. Toutefois, les experts ignorent encore pourquoi.

« Dans un contexte de grossesse, ces changements métaboliques sont bons pour la santé, parce qu’ils transforment les réserves d’énergie en tissus gras et aident au support du foetus », a indiqué Ruth Ley.

Rappelons qu’une personne qui n’attend pas d’enfant est atteinte du syndrome métabolique lorsqu’elle possède une combinaison de 3 risques particuliers — le faible poids à la naissance, une circonférence inférieure de la tête et le gène des parents atteints de surpoids ou d’obésité — ou plus pour la santé.

Chacun de ces facteurs peut augmenter le risque de contracter le diabète, une maladie cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Toutefois, le risque est grandement augmenté lorsque ces variables sont combinées.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Vos intestins peuvent en dire long

Les bruits émis par vos intestins peuvent en dire plus long que vous ne le croyez.
 
Il est normal que des bruits soient émis lorsque vous avez faim, car l’estomac se contracte et envoie des sucs gastriques dans les intestins.
 
Par contre, si vous avez en plus des ballonnements, des crampes, de la diarrhée et des excès de gaz, cela indique qu’il y a des problèmes gastro-intestinaux comme le syndrome du côlon irritable, mentionne la Mayo Clinic.
 
Si vos selles sont noires et goudronneuses, cela peut indiquer des saignements internes. Si vos selles sont plutôt claires et que votre urine est foncée, cela pourrait être le signe de calculs rénaux ou de troubles pancréatiques.
 
Certains malaises pourraient également indiquer une maladie de Crohn ou encore une occlusion intestinale partielle.
 
Les reflux gastriques peuvent être aussi caractérisés par un arrière-goût de métal dans la bouche.
 
En cas de doute, il vaudrait mieux consulter un professionnel de la santé qui pourra mieux identifier la cause de vos malaises.
 
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L’allaitement maternel donne à bébé un meilleur système immunitaire

Les universités de l’Illinois, de Miami et de l’Arkansas ont collaboré dans le cadre d’une étude qui a tenté de comparer les modes d’alimentation pour nourrissons (allaitement maternel ou artificiel) et leurs effets sur le système immunitaire des bébés.

Dans le Genome Biology, on apprend que le mode d’alimentation peut influencer le développement des bactéries et leurs interactions dans l’intestin du petit, tout comme il peut influencer le bon développement du système immunitaire du poupon.

L’allaitement maternel permettrait donc aux bébés d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle, étant ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes, explique le site SantéLog.

L’étude, qui a observé les gènes exprimés dans les cellules de l’intestin d’enfants âgés de 3 mois, nourris au sein ou avec une préparation pour nourrissons, a démontré qu’il existait une association entre l’expression des gènes dans les bactéries et les gènes du système immunitaire chez le bébé.

Les chercheurs précisent : « Les bébés nourris au sein avaient plus de bactéries à Gram négatifs que les bébés nourris au lait. Les bactéries à Gram négatifs ont des gènes qui, bien que classés comme “virulents”, peuvent activer le système immunitaire ».

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Une nouvelle explication à l’obésité infantile?

Plusieurs généticiens ont réussi à identifier deux nouveaux gènes de prédisposition à l’obésité chez l’enfant.

En effet, les gènes OLFM4 sur le chromosome 13 et HOXB5 sur le chromosome 17 interviennent dans les intestins. Ces derniers n’avaient jamais été impliqués dans l’obésité auparavant, mais voilà que les résultats de diverses études démontrent leur effet dans la revue Nature Genetics.

Cette découverte importante permettra notamment de mettre en place des démarches et des traitements préventifs pour les enfants détenant ces gènes les rendant plus susceptibles à l’obésité, songent les experts.

Une méta-analyse de 14 études génomiques, menée par des chercheurs de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie et cofinancée par les National Institutes of Health (NIH), a permis d’observer les données de la plus grande collection au monde d’ADN d’enfants atteints d’obésité commune.

Les études avaient pour sujet 5530 enfants obèses et 8300 autres non obèses provenant du Canada, de l’Australie, des États-Unis et de l’Europe.

« C’est l’étude génomique la plus importante jamais réalisée sur l’obésité infantile commune, à la différence d’études précédentes qui portaient sur des formes extrêmes d’obésité, principalement liées à des maladies rares », explique l’auteur principal, le Pr Struan F.A. Grant, directeur associé du Centre for Applied Genomics à l’Hôpital pour enfants de Philadelphie. « Nous avons manifestement identifié et caractérisé une prédisposition génétique à l’obésité infantile commune. »

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Nutrition parentérale chez les enfants : les bienfaits de l’éthanol

Chez les enfants atteints d’insuffisance intestinale qui ont besoin d’être sustentés par nutrition parentérale, utiliser de l’éthanol en remplacement de l’héparine pourrait réduire les infections sanguines liées au port du cathéter et réduire ses remplacements.

Cette suggestion provient d’une méta-analyse en pédiatrie publiée par le Dr Paul W. Wales et ses collègues de l’Hôpital pour enfants malades de Toronto.

« L’éthanol a deux effets souhaités d’une solution de blocage : il est antimicrobien et antifibrinolytique (pour le traitement de certaines hémorragies) », soulignent les auteurs dans leur article.

L’utilisation de l’éthanol pour prévenir les infections sanguines liées aux cathéters (CRBSI) a été introduite il y a plusieurs années, mais elle n’est toujours pas pratiquée en milieu médical. Selon les auteurs de cet article, il en est bien ainsi puisque même si les résultats de leur étude sont encourageants, des mesures de sécurité doivent encore être évaluées.

Les chercheurs ont étudié les données quantitatives à partir de quatre études rétrospectives impliquant 53 patients. Leurs conclusions ont démontré que l’utilisation de
l’éthanol réduit le taux de CRBSI puisque moins de changements de cathéters sont faits.

Sur 1000 changements de cathéters par jour, 5,07 remplacements ont été évités quotidiennement grâce à l’utilisation de l’éthanol au lieu de l’héparine.

Au cours des prochaines années, le rapport coût-efficacité de cette nouvelle méthode sera étudié.

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Bientôt un soulagement des troubles digestifs des petits prématurés

C’est bien connu, les bébés prématurés ont des poumons et un système digestif qui ne sont pas encore complétés. Ils ont donc plusieurs désagréments dès leur naissance, comme un ralentissement du transit et des ballonnements. Une étude rapportée par l’American Journal of Physiology donne toutefois un espoir pour soulager leur état.
 
Des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) viennent de mettre en lumière le rôle primordial que jouent les neurones cholinergiques dans la motricité intestinale.
 
C’est en observant des ratons que les scientifiques ont pu découvrir le rôle de ces neurones et comment fonctionnait la motricité. On constate que le fait d’augmenter les neurones cholinergiques provoque une libération accrue d’acétylcholine, le neurotransmetteur qui favorise l’activité de l’intestin.
 
Cette découverte pourrait donc mener à des traitements efficaces pour le bien-être des petits patients.
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Bientôt un soulagement des troubles digestifs des petits prématurés

C’est bien connu, les bébés prématurés ont des poumons et un système digestif qui ne sont pas encore complétés. Ils ont donc plusieurs désagréments dès leur naissance, comme un ralentissement du transit et des ballonnements. Une étude rapportée par l’American Journal of Physiology donne toutefois un espoir pour soulager leur état.
 
Des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) viennent de mettre en lumière le rôle primordial que jouent les neurones cholinergiques dans la motricité intestinale.
 
C’est en observant des ratons que les scientifiques ont pu découvrir le rôle de ces neurones et comment fonctionnait la motricité. On constate que le fait d’augmenter les neurones cholinergiques provoque une libération accrue d’acétylcholine, le neurotransmetteur qui favorise l’activité de l’intestin.
 
Cette découverte pourrait donc mener à des traitements efficaces pour le bien-être des petits patients.