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Hollywood PQ Potins

Marc-André Grondin: «Je ne me suis pas battu contre le vedettariat, mais je ne l’ai pas entretenu»

Marc-André Grondin était sur le plateau de Sucré Salé pour une entrevue avec Mélanie Maynard, où son rapport au vedettariat a été discuté. Un terme qu’il ne semble pas apprécier particulièrement, préférant se concentrer sur le succès auprès de ses pairs et sur une bonne éthique de travail plutôt que d’être connu de tous.

Il a d’ailleurs mentionné qu’à l’époque, au début de sa carrière, il avait été victime d’intimidation en raison de ses apparitions télévisées et du fameux terme «vedette».

«Quand j’étais au primaire, moi je faisais du téléroman, que mes amis ne regardaient pas. Leurs parents regardaient ça (…) On me collait l’étiquette de vedette, puis c’était négatif», dévoile le comédien.

«À l’école?», demande Mélanie.

«Oui, oui, oui… J’étais bullié beaucoup, puis c’était: La vedette, la vedette. Donc, c’est pour ça aussi je pense que quand il y a eu C.R.A.Z.Y., je ne me suis pas battu contre le vedettariat, mais je ne l’ai pas entretenu du tout», ajoute avec vulnérabilité Marc-André.

Capture TVA

Par la suite, Maynard a évoqué une entrevue de 2006 avec lui, soulignant que les commentaires à son sujet à l’époque étaient peu flatteurs:

«Moi, je t’ai eu en entrevue en 2006 pendant C.R.A.Z.Y., puis je me rappelle que toute l’équipe disait: Ah, vous allez voir Marc-André Grondin n’est pas facile. C’est vrai qu’il y a eu un moment où on a pris ta timidité pour une espèce de fermeture.»

Capture TVA

«C’était genre il y a Roy Dupuis, puis il y a moi! Les deux ténébreux qui ne veulent pas faire d’entrevues (…) Ce n’est pas que je ne veux pas faire d’entrevues, c’est que je ne fais pas d’entrevues pour rien», termine Grondin qui, visiblement, souhaite être reconnu pour son talent.   

Même si Marc-André n’aime pas les entrevues, celle-là se sera avérée fort intéressante en compagnie de Mélanie!

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Habsolument Fan

Félix Séguin en a assez de se faire insulter par les internautes!

Être une personnalité publique n’est pas toujours de tout repos. Particulièrement quand ton travail est d’être en compétition directe avec Pierre Houde, le plus respecté des descripteurs de matchs du Canadien au Québec.

Félix Séguin en sait quelque chose, lui qui tente depuis plusieurs années de faire sa place dans la paysage télévisuel des Québecois sur la chaîne TVA Sports.

Descripteur lui aussi des matchs du CH, il est constamment victime de la haine et des commentaires désobligeants des spectateurs sur les réseaux sociaux.

Cette fois il a décidé que c’en était assez et a brisé le silence pour dévoiler sa réalité de tous les jours et l’abus verbal qu’il peut subir. Dans une publication sur les réseaux sociaux, il avait ceci à dire aux internautes.

« Salut tout le monde,

Décrire des matchs de hockey, c’était le rêve de toute ma vie et ce l’est encore après 22 ans de métier. J’aime ça et je suis chanceux parce que des gens dans mon industrie me font confiance.

Cependant, se faire insulter, se faire injurier et gérer les commentaires diffamatoires et irrespectueux sur les réseaux sociaux et les sites Internet clandestins (des sites gérés par des gens qu’on ne voit jamais et que personne ne connaît), ça fait suer en…

Je ne parle pas ici des gens que je côtoie dans la vie de tous les jours (épicerie, aréna, parc, école, garderie, etc). Non, ceux-ci sont courtois et respectueux. Je parle plutôt de ceux qui se cachent derrière leur téléphone et qui se croient tout permis et qui ne sont jamais punis pour leurs inconduites.

C’est un très faible % mais ce sont toujours eux qui font le plus de bruit. Nous sommes plusieurs à être dans le même bateau.

Aujourd’hui, Vincent, que je ne connais pas, m’a rejoint. Il m’a touché droit au coeur. Il m’a dit de belles choses sans être en accord avec mon opinion sur les Canadiens tout ça dans le plus grand respect (voir les photos plus bas de notre échange).

Ce que je vous invite à faire, prenez le temps d’écrire à une personnalité publique que vous aimez et dites-lui que vous l’aimez. Vous allez faire une différence. Ainsi, les « trolls » seront enterrés par votre dose d’amour.

Life is good.

Felix »

– Félix Séguin

Il a de plus ajouté à sa publication le message respectueux d’un internaute qui a voulu débattre de façon civilisée avec lui, question de démontrer à tous qu’il y a moyen d’être en désaccord avec quelqu’un sans nécessairement lui manquer de respect.

Voyez la publication au bas.

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Ton petit look

J’ai été victime de manipulation affective

(CHRONIQUE)

C’est tout juste à la fin de mon secondaire que j’ai rencontré cet ami de façon vraiment banale. Un ami d’amis avec qui je me suis découvert quelques intérêts communs. En apprenant à le connaître, j’ai fini par être très touchée par sa vulnérabilité. J’étais loin de me douter que cela me nuirait un jour.

Cet ami n’a pas tardé de me faire savoir qu’il s’imaginait être en couple avec moi, alors que l’on se connaissait depuis peu de temps. Je n’ai pas vraiment su comment réagir sur le coup tellement son speech était enflammé. Le « non » n’est pas sorti tout de suite, car j’avais le pressentiment que quelque chose de terrible se produirait si jamais je le disais. Je n’étais alors pas capable d’expliquer pourquoi. Je crois qu’en fin de compte, j’avais peur de lui donner encore plus de détresse, et je ne savais pas comment gérer cela. Je tentais malgré tout de lui faire comprendre que ce n’était pas réciproque de mon côté, mais pour lui, le refus ne semblait pas être une option valide.

Il avait trouvé en moi la confidente no. 1. Me parlait de ses déceptions amoureuses, de son sentiment d’incompréhension. Puis, il m’a parlé des femmes qui ne lui avaient jamais donné sa chance, des femmes qui ne savent pas ce qu’elles veulent, des femmes qui s’amusent à faire souffrir, des femmes-agaces. Son discours était toujours le même: c’était la faute des femmes, mais pour lui j’étais « différente » de celles qu’il avait connues.

J’ai malgré tout vécu mes choses de mon côté et j’ai commencé à sortir avec un autre gars. Il l’a su et m’a fait part de son immense détresse, du fait que j’aurais dû le prévenir, que ça lui avait donné le goût de se suicider* et qu’il allait certainement le faire. Je ne savais pas comment me placer en entendant ses mots. Je me sentais coupable et pleine de honte. Il me disait que je lui avais donné de faux espoirs. Je sentais que je devais me rattraper pour le mal que je lui avais fait.

Peu de temps après, il est sorti avec une de mes amies. Ça s’est mal passé et ça a mal fini, le confortant encore plus dans ses pensées dévalorisantes sur les femmes.

C’est un événement anodin sans aucun rapport avec cette histoire-là qui m’a fait sonner une cloche, ou plutôt une sonnerie d’alarme. Un soir où nous nous étions rencontrés chez moi, il s’est amusé à cracher dans le jardin de mes parents. Je m’étais fâchée et lui ai fait savoir que c’était impoli. D’après lui, j’exagérais énormément.

Après ce petit événement qui me paraissait sans profondeur, il a parti une véritable campagne de salissage à mon nom auprès de nos amis communs, déclarant que j’étais une « conne frustrée » et que si je ne m’excusais pas, il ne me parlerait plus jamais. Je l’ai évité pendant plusieurs semaines jusqu’à ce que la vapeur retombe de son côté et que les choses redeviennent comme avant. Sa détresse au quotidien était pour moi une excuse suffisante pour l’accepter à nouveau dans ma vie, d’autant plus que je me disais que j’avais certainement exagéré pour l’histoire du jardin.

Les choses sont plus ou moins redevenues comme avant pendant quelques mois, mais la goutte a fait déborder le vase quand, pour une raison que j’ignore, il a recommencé à dire des choses contre moi dans mon dos. À partir de là, j’ai cessé d’accepter de telles choses de sa part et j’ai choisi de me protéger. Il a essayé de me parler à de nombreuses reprises, mais je ne tolérais plus ce qu’il me faisait. J’ai compris qu’il utilisait un chantage affectif pour accéder à ce qu’il voulait, sans considérer mes propres besoins.

Depuis, il m’est arrivé parfois de faire face à de fortes réactions après avoir dit « non ». À bien des reprises, j’ai ressenti de fortes pressions pour changer d’avis. Dès que l’on ressent un malaise, il est important de ne pas s’invalider et de ne pas céder aux envies de l’autre. Si nous devons répéter plusieurs fois nos attentes envers une relation ou que l’on commence à se résigner sous la contrainte, c’est peut-être parce que l’on est à un point où ça ne sert à rien de parler et qu’il est préférable de s’éloigner.

*Si une personne menace de se suicider ou de vous faire du mal, composez le 911.

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Potins

Taylor Swift presque anéantie par Kim Kardashian

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La chanteuse vient d’accorder une rare entrevue de fond au magazine Vogue dans son édition de septembre.

Taylor Swift revient sur des événements qui sont survenus il y a trois ans. À l’époque, Kim Kardashian, suivi par plus de 61 millions de personnes sur Twitter, s’en était pris à la chanteuse de 29 ans.

Kim Kardashian avait traité de « serpent » (snake) la chanteuse dans une série de twits très incisifs. Elle ajoutait qu’elle était « terminée ».

« Ce fut une humiliation de masse, avec des millions de personnes qui emboitaient le pas. C’est une expérience très isolante », confie la vedette.

« Je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de gens qui puissent comprendre ce que ça fait d’avoir des millions de gens qui vous détestent et le disent ouvertement.

Elle ajoute : « Lorsque quelqu’un dit que vous êtes terminée, ce n’est pas une émission de télé, c’est un être humain. Vous envoyez un message de masse à cette personne en lui disant de se taire, de disparaitre, ou, et ça peut être perçu ainsi, de se suicider. »

Kim Kardashian avait publié ces twits violents après la parution de la chanson Famous de Taylor Swift. Elle y chantait « I made that b**ch famous ». 

On comprend à la lecture de l’entrevue que la chanteuse a vécu difficilement cet épisode d’intimidation.

« J’ai eu à restructurer ma vie, car je sentais que j’avais perdu le contrôle. Je dois faire de la musique parce que c’est ma seule façon de préserver ma santé mentale. »

Cet état d’âme s’est retrouvé dans le disque Reputation de Taylor Swift paru en 2017.  

Photo : Vogue

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Divertissement

Céline Dion révèle avoir souffert d’intimidation

La chanteuse a confié au magazine Allure qu’elle ne se trouvait pas particulièrement jolie lorsqu’elle était jeune. D’autres enfants avaient des propos désobligeants à son endroit.

« Lorsque j’étais jeune, j’avais des problèmes avec mes dents, j’étais très très maigre, je ne me sentais pas jolie. J’ai été intimidée à l’école », se rappelle la star de la musique pop.

Mais la petite fille de Charlemagne a trouvé la force en elle pour changer les choses.

« Je ne me suis jamais sentie vraiment belle, ou très en contrôle. Lorsque vous ne vous sentez pas en contrôle, cela vous pousse à trouver votre voie. C’est à ce moment que j’ai utilisé ma voix pour chanter. Maintenant, j’ai ce qu’il faut pour élever mes enfants, pour prendre des décisions. »

Aujourd’hui âgée de 51 ans, Céline Dion a même été choisie par une marque de cosmétiques comme ambassadrice de beauté

« C’est un miracle », affirme la vedette. « Je n’aurais jamais cru que L’Oréal Paris m’aurait demandé un jour de devenir leur ambassadrice ».

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Avec la maturité et maintenant bien outillée. Céline Dion n’a aucunement peur de vieillir.

« Je ne voudrais pas revenir à mes 17 ans. Tous les âges sont magnifiques, mais je ne regarde pas en arrière, je vais vers l’avant. Et j’ai déjà hâte à mon prochain anniversaire », confie la femme sûre d’elle.

Photo : Cover Images

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Potins

Rafaëlle Roy s’attaque à la cyberintimidation

Le weekend dernier, Rafaëlle Roy se défendait auprès d’un internaute sur sa plateforme Instagram. Ce dernier l’accusait d’imposer sa vision végane à ses utilisateurs, alors que l’ancienne finaliste de La Voix n’avait pour but que de conscientiser les gens sur les conséquences d’une alimentation basée principalement sur la protéine animale.

Cette fois, un autre utilisateur des réseaux sociaux s’attaque à la chanteuse pour avoir demandé de boycotter le groupe Black Taboo au Festival d’été de Québec, où ils étaient en spectacle le 11 juillet dernier.

Rafaëlle Roy via Instagram

Rappelons qu’elle est loin d’être la seule à l’avoir fait suite à la publication d’un communiqué du Comité des femmes de l’Université de Laval qui exposait les paroles du groupe. Ces paroles glorifient des actes criminels et misogynes, et c’est là que repose la controverse.

L’internaute était visiblement mécontent du message de Rafaëlle, partagé la semaine dernière, et il lui a fait savoir en écrivant plusieurs messages haineux sur Instagram et Facebook. La jeune chanteuse a donc décidé d’utiliser sa plateforme pour l’exposer dans sa story.

« Puisqu’il semble totalement assumer ses paroles, je lui offre ma plateforme », écrit-elle avant de publier des captures d’écran montrant les messages de l’internaute.

Elle termine en revenant sur une bataille qu’elle a déjà couverte, soit la cyberintimidation, qui n’a pas sa place nulle part. Elle rappelle que la méchanceté n’engendre que du négatif, et qu’il ne faut pas se laisser emporter par elle.

« Continuons de briller – notre plus grande victoire est notre indifférence face à leur opinion et surtout notre bonheur », ajoute-t-elle sur une note optimiste.

Comment ne pas être d’accord? Love is love!

Rafaëlle Roy via Instagram

Rafaëlle Roy via Instagram

Rafaëlle Roy via Instagram

Rafaëlle Roy via Instagram

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Potins

Intimidation : Emily Blunt craint pour ses filles

Si tous les efforts sont mis en place dans beaucoup d’écoles dans le monde pour enrayer l’intimidation, il reste encore beaucoup de choses à faire pour y parvenir complètement.

Ceux qui ont subi de l’intimidation le savent très bien, tout comme ceux qui sont maintenant devenus parents.

L’actrice Emily Blunt est l’une de ces personnes, et s’inquiète pour le sort de ses enfants.

« Comme chaque mère, je m’en fais irrationnellement à propos de mes enfants et je veux juste m’assurer qu’ils sont en sécurité et pris en charge et pas taquinés. Mais la taquinerie et l’intimidation font simplement partie de tout ça », explique Emily Blunt lors d’une entrevue accordée au Daily Mirror.

L’actrice de 35 ans révélait avoir souffert elle-même d’intimidation à cause d’un problème de bégaiement lorsqu’elle était jeune, un problème avec lequel elle doit toujours parfois composer, dévoile-t-elle lors de son entretien.

Emily Blunt est la maman deux filles, Hazel et Violet, âgées respectivement de deux et quatre ans, en compagnie de son mari, l’acteur John Krasinski.

Crédit photo : BANG/BIG

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Nouvelle campagne contre l’intimidation pour Jasmin Roy

À l’arrivée du temps des Fêtes, Jasmin Roy juge que le moment est opportun de discuter avec nos jeunes du fléau de l’intimidation, particulièrement celui qui nous touche en ligne, rapporte le Journal de Québec.

Pour l’occasion, l’une des personnalités fortes dans la lutte contre l’intimidation au Québec propose une nouvelle campagne publicitaire contre l’intimidation, juste à temps pour Noël et pour favoriser les discussions familiales.

Jasmin Roy croit que le climat actuel, après l’affaire Weinstein et les nombreuses dénonciations de la part d’actrice et de femmes de plusieurs milieux contre le harcèlement sexuel, est également un facteur qui rend le timing d’une telle campagne propice, afin que l’on s’occupe des jeunes filles et des adolescentes, davantage à risque de harcèlement et de harcèlement en ligne.

La campagne sera lancée dès aujourd’hui (10 décembre), selon cette même source.

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Jasmin Roy et Emilie Bierre s’unissent contre l’homophobie

Jasmin Roy n’a pas fini de lutter contre l’intimidation et l’homophobie dans les écoles.

Comme nouvelle mesure, il interprète avec Emilie Bierre la pièce Ils dansent, qui raconte la véritable histoire d’un couple de pingouins gais dans un zoo. Le message derrière la chanson est que l’homosexualité est parfaitement naturelle, mais pas l’homophobie.

C’est donc cette dernière, pas les relations entre personnes de même sexe, qui est contre nature.

L’objectif de la vidéo est pédagogique.

C’est via la Fondation Jasmin Roy qu’elle sera montrée dans les écoles pour engager une conversation entre les enseignants et leurs élèves. Les jeunes pourront ainsi apprendre que c’est chez pas moins de 1500 espèces animales qu’on a pu observer des relations homosexuelles, mais on n’a vu un comportement homophobe chez aucune d’entre elles. 

« Il est important de soutenir les écoles avec des outils pédagogiques positifs qui leur permettent d’éduquer les jeunes à bien connaître la réalité des communautés LGBT afin de créer des milieux bienveillants pour tout le monde », souligne avec justesse Jasmin Roy pour expliquer les motivations de sa fondation.

On peut dire que la chanson tombe à point puisque, le 17 mai prochain, c’est la Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie, des attitudes discriminatoires qui sont toujours bien présentes, comme le rappelle l’animateur : 

« Les injures homophobes telles que fif et tapette font encore partie, en 2017, des injures les plus prononcées dans les milieux éducatifs. »

Par ailleurs, ce n’est pas la première fois que la Fondation Jasmin Roy et Emilie Bierre s’unissent. La jeune actrice avait déjà participé à une autre vidéo il y a quelques années.

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Selena Gomez victime d’intimidation au Disney Channel

C’est au tour de Selena Gomez de revenir un peu dans le passé afin de parler de certains problèmes d’intimidation dont elle a été victime plus jeune.

Ce n’est cependant pas son école secondaire qui semble remonter en premier lieu à la surface de la mémoire de Selena Gomez lorsqu’elle aborde le sujet de l’intimidation, mais plutôt le célèbre Disney Channel.

C’est en marge d’une entrevue avec le New York Times, et en abordant la question de son acquisition des droits du roman Thirteen Reasons Why de Jay Asher, qui aborde le suicide d’une jeune étudiante à la suite d’intimidation fréquente, que l’interprète de Kill Em With Kindness s’est confiée.

« Je pense qu’il a compris que je savais ce que ça signifie d’être intimidée. J’ai été à la plus grosse école secondaire du monde, qui s’avère être le Disney Channel. Ma mère a aussi eu à affronter l’intimidation, j’ai entendu ses histoires en grandissant, elle est très ouverte à propos de ça », lance Gomez.

La chanteuse et actrice de maintenant 24 ans doit par ailleurs toujours faire face à de l’animosité et de l’intimidation, cette fois en ligne, à travers la « magie » des réseaux sociaux.

« J’efface l’application (Instagram) au moins une fois par moi sur mon téléphone », ajoute Selena Gomez.

L’adaptation de Thirteen Reason Why fera son entrée sur Netflix le 31 mars prochain, rapporte le Us Weekly.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com