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Bébé et cie

Faites votre part pour empêcher l’intimidation

À l’adolescence, même si vos enfants ont l’air de dédaigner votre présence, la réalité veut qu’ils aient tout de même besoin de votre soutien. Certains ne savent pas comment l’exprimer, alors que d’autres refusent de l’admettre.

À vous, donc, de démontrer votre amour inconditionnel en demeurant « branché » avec vos jeunes, entre autres en ce qui a trait à l’intimidation. Voici quelques suggestions de Parenting Squad.

– Commencez par montrer l’exemple en adoptant un comportement approprié et respectueux envers autrui.

– Enseignez-leur l’empathie. Celle-ci est un outil pour désamorcer l’agressivité naturellement.

– Assurez-vous de créer un environnement chaleureux et plein d’amour à la maison.

– Même s’ils semblent ne pas vous écouter, ils tendent l’oreille. Continuez vos leçons sur l’importance de ne pas empiéter ou manipuler les sentiments des autres.

– Votre enfant vous soumet un problème. Plutôt que d’exposer la solution, demandez-lui ce qu’il compte faire. Il doit apprendre à trouver des solutions lui-même, dans le respect de chacun.

– Apprenez à connaître leurs amis et, dans la mesure du possible, rencontrez les parents de façon officieuse. Vous détecterez mieux l’environnement de chacun et aurez une idée des gens que vos enfants côtoient.

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Potins

Selena Gomez attaque ses intimidateurs

Selena Gomez en a assez d’être intimidée sur les réseaux sociaux, mais refuse de se laisser abattre. La star décide plutôt de dévoiler sa vision des choses et contre-attaquer au cours d’une entrevue où elle ne mâche pas ses mots.

Qualifiant ces intimidateurs de « grandes personnes moins accomplies », Gomez n’a pas l’intention de quitter le web, même si elle se dit victime de commentaires désobligeants constants, rapporte BANG Media International.

« Je me fais attaquer par des adultes tout le temps. Ce sont de grandes personnes et je ne comprends pas. Ça me mystifie. J’aimerais pouvoir m’assoir avec eux et leur demander ce qu’ils faisaient à 15, 18 ou 21 ans. Je peux vous garantir que ce n’est pas la moitié de ce que j’ai accompli. C’est dur. Il y a eu des moments où je les ai laissés m’atteindre, mais je refuse de les laisser gagner. Je veux être capable de connecter avec mes fans. Je suis impliquée », explique l’artiste en entrevue à E!.

Selena Gomez est en effet bien présente sur de nombreux réseaux sociaux, notamment Twitter, Facebook et Instagram, mais avoue hésiter constamment avant de publier des photos ou ses pensées en ligne. Il s’agit probablement d’une bonne chose.

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L’intimidation entre frères et soeurs, une autre réalité

Un nouvel article publié dans la revue scientifique Pediatrics et rapporté par Science World Report révèle les résultats de la recherche menée par Dieter Wolke et son équipe.

Un adolescent intimidé par des frères ou sœurs plusieurs fois par semaine a deux fois plus de risques d’être déclaré dépressif lorsqu’il devient un jeune adulte. Il a aussi deux fois plus de risques de s’automutiler.

« Les formes d’intimidation où les victimes se retrouvent dans la cour d’école ou au travail ont été bien documentées, mais cette étude met en lumière une forme cachée de menaces », indique Wolke.

Près de 7000 enfants de 12 ans ont répondu à un questionnaire sur l’intimidation fraternelle. En tout, 786 jeunes en étaient victimes. Un suivi auprès d’eux à 18 ans a démontré que 12,3 % étaient en dépression, 14 % s’étaient automutilés dans l’année en cours, et 16 % souffraient d’anxiété.

Selon le chercheur, il est essentiel que les parents interviennent et établissent des « règles claires » quant aux conflits au sein de leur famille.

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Les repas familiaux éloignent les conséquences de la cyberintimidation chez l’adolescent

Ce type d’intimidation est devenu une préoccupation grandissante à travers le globe. Or, les adolescents qui en sont victimes sont souvent difficiles à cerner, et les conséquences émotionnelles et psychologiques sont extrêmement destructrices.

Des experts de l’Université McGill à Montréal ont réussi à démontrer que les adolescents qui partagent régulièrement des repas en famille sont plus enclins à échanger et s’ouvrir sur le sujet. Par ailleurs, ces moments privilégiés augmentent le bien-être du jeune.

« Un adolescent sur cinq est victime de cyberintimidation », souligne Frank Elgar, chercheur à l’Institut de santé mentale Douglas. « Il est essentiel de trouver les facteurs de protection pour les jeunes qui y sont exposés. »

En tout, 20 385 adolescents du Wisconsin ont été observés, informe Science World Report. En comparant l’intimidation traditionnelle à celle en ligne, les experts ont découvert que la nouvelle forme d’intimidation est plus dévastatrice que celle « face à face ».

« Nous avons découvert que les troubles comportementaux et émotionnels ainsi que l’utilisation de drogue sont de 2,6 à 4,5 fois plus fréquents dans le cadre de la cyberintimidation. »

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La cyberintimidation créé de la peur dans les écoles

La cyberintimidation est devenue une plaie ouverte qui cause des traumatismes émotionnels et psychologiques similaires à l’intimidation physique.

Une récente étude, mentionne Science World Report, démontre que si l’intimidation classique est celle que craignent le plus les étudiants, l’intimidation en ligne a créé une nouvelle source de crainte dévastatrice.

Pour l’équipe de la Sam Houston State University, il est clair qu’il ne faut pas sous-estimer les conséquences de cette nouvelle forme de victimisation des jeunes. Les minorités visibles craignent encore plus que les autres d’être la cible de cette méthode d’intimidation.

Parmi les 3500 étudiants de 12 à 18 ans interrogés, 7 %  (près de 250) vivaient de l’intimidation en ligne. Celle-ci était déterminée par des propos insultants ou blessants, de fausses informations sur eux, des courriels, des messages instantanés, des textos ou lors de jeux en ligne.

L’intimidation traditionnelle, cependant, était encore 4 fois plus présente avec un taux de 29 % (plus de 1000).

À la différence de l’intimidation physique, cependant, l’intimidation en ligne peut survenir 24 h/24.

L’étude a été publiée dans la revue Security Journal.

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Cauchemar chez les jeunes, souvent signe d’intimidation

Selon les chercheurs de l’Université de Warwick, au Royaume-Uni, il y a moyen de prévenir les troubles psychologiques sévères, conséquences avancées de l’intimidation. On parle notamment d’anxiété, de dépression, d’épisodes psychotiques et même du suicide.

Les résultats de l’étude, présentés lors de la rencontre annuelle des Pediatric Academic Societies (PAS) à Vancouver, au Canada, démontrent une corrélation entre les cauchemars et terreurs nocturnes et une précédente intimidation.

« Les cauchemars sont relativement communs durant l’enfance, alors que les terreurs nocturnes sont expérimentées par près de 10 % des enfants », rapporte Suzet Tanya Lereya. « Ces périodes agitées pendant le sommeil peuvent indiquer une détresse excessive chez l’enfant. »

En tout, 6438 enfants ont répondu à un questionnaire à 8 ans, 10 ans, puis 12 ans. Parmi les répondants de 12 ans, 24,2 % avaient des cauchemars, 9,3 % des terreurs nocturnes, et 12,6 % étaient somnambules.

Au terme de l’étude, on a découvert qu’à l’âge de 12 ans, les enfants les plus à risques de parasomnies avaient été victimes d’intimidation, et certains l’étaient encore.

Selon le Dr Wolke, professeur de psychologie du développement, les parents devraient garder l’œil ouvert et profiter de l’occasion pour discuter avec leur enfant.

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Les enfants moins exposés à la violence qu’auparavant

Les données ont été récoltées entre 2003 et 2011 et ont été comparées avec celles compilées dans les années 1990. Parmi les 50 façons représentant une exposition à la violence, les sondages de 2003, 2008 et 2011 ont établi que 27 d’entre elles ont diminué de façon significative.

Entre autres, les agressions impliquant des armes ou des blessures ou agressions par des proches ou de la famille, ainsi que l’intimidation physique et émotionnelle, puis le harcèlement et l’agression sexuelle.

D’une part, les spécialistes expliquent cette baisse grâce à l’augmentation de la prise de médication chez les gens avec des troubles psychiatriques chez les jeunes, ainsi que la technologie.

Selon eux, les jeunes ont beaucoup moins de contacts face à face dus aux médias sociaux, ce qui, contrairement à de nombreuses autres recherches, indique qu’il y a moins d’occasions d’incidents violents.

Le Dr John R. Lutzker affirme cependant que ces sondages fournissent peu de données réelles quant aux causes de ce déclin, rapporte Medical News Today.

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L’intimidation en baisse chez les jeunes Américains

Les campagnes de sensibilisation et la mobilisation globale de la population en matière d’intimidation semblent porter leurs fruits, à tout le moins de l’autre côté de la frontière.

The National Library of Medicine rapporte en effet une baisse générale du phénomène de l’intimidation chez les adolescents, aux États-Unis, depuis les dix dernières années.

L’étude proposée repose sur des sondages complétés auprès d’étudiants entre 1998 et 2010, et suggère que l’intimidation verbale et physique est en forte baisse. On parle même d’une réduction du phénomène de moitié, surtout chez les garçons.

« Au cours des récentes années, il y a eu plus d’attention accordée aux efforts anti-intimidation, comme des programmes et des politiques scolaires. On espère que ces efforts de prévention et l’attention additionnelle accordée au problème puissent être la raison de ce déclin », explique l’auteure de l’étude, Jessamyn Perlus.

Pendant ce temps au Québec, d’autres recherches semblent suggérer un effet contraire, mais de nouvelles études seront nécessaires pour offrir un véritable constat de la situation québécoise et canadienne.

Les résultats de l’étude rapportée ont été publiés dans l’American Journal of Public Health.

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L’intimidation laisse des traces tout au long de la vie

Une nouvelle étude rapportée par La Presse trace un bilan très sombre du phénomène de l’intimidation et des séquelles à long terme qui s’y rattachent.

Il s’agit de la première recherche exhaustive du genre à analyser les impacts de l’intimidation sur un individu tout au long de sa vie. Ce sont des chercheurs du King’s College de Londres qui se sont penchés sur le dossier, en analysant les cas de 7771 enfants tout au long de leur vie… jusqu’à l’âge de 50 ans.

Une étude spectaculaire, en somme, qui demandait d’abord aux parents d’enfants touchés par l’intimidation entre l’âge de 7 et 11 ans de fournir des informations relatives à leur expérience.

Selon le Dr Ryu Takizawa qui pilote l’étude, les résultats sont clairs : un individu victime d’intimidation à un jeune âge se verra confronter à des obstacles sociaux et économiques plus importants au cours de sa vie.

Plus encore, ces sujets ont démontré plus de problèmes de santé que les autres, notamment à l’approche de la cinquantaine. Même chose sur le plan psychologique, alors que l’on note un risque accru de dépression, d’anxiété et de suicide.

Même l’aspect cognitif des sujets de l’étude a semblé en souffrir au cours de l’analyse, ce qui fait dire aux observateurs que l’intimidation n’est pas un phénomène à prendre à la légère.

Heureusement, la sensibilisation au phénomène est bien entamée, mais il reste encore pas mal de travail à faire.

Les conclusions de l’étude du Dr Takizawa ont été publiées dans l’American Journal of Psychiatry.

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Potins

Andrew Garfield a été victime d’intimidation à l’école

Aujourd’hui acteur de renommée, Andrew Garfield, 30 ans, affirme qu’il ne pourra jamais oublier ce qu’il a subi à l’école. Par contre, il est « reconnaissant » que ce soit arrivé.

La vedette de The Amazing Spider-Man 2 a d’ailleurs commencé à lire des bandes dessinées de superhéros au même moment. Il a confié au journal Daily Mail : « J’aime dire que je suis reconnaissant à mon intimidateur, puisque sans lui, je ne serais pas rendu là je suis maintenant ».

« Je croyais que la sensibilité était une faiblesse, mais je réalise qu’elle peut être une réelle force. Aujourd’hui, je célèbre ma sensibilité. »

Garfield, qui fréquente sa covedette Emma Stone, explique qu’il ne mentionne pas le nom de son agresseur, puisqu’il ne veut pas qu’il soit publiquement humilié. « Je sais maintenant que ça existe partout, et je comprends désormais ce qui crée des intimidateurs. Ils ont eux-mêmes été intimidés. »

Conscient des méthodes d’aujourd’hui (cyberintimidation), l’acteur espère que « les parents réalisent ce à quoi leurs enfants ont accès ».