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Les adolescents populaires aussi peuvent souffrir d’intimidation

La contradiction, dans la nouvelle recherche, réside dans le fait que tout au long de l’ascension vers la popularité, le risque d’intimidation de l’adolescent s’accroît. Par contre, lorsqu’il est au sommet, le risque disparaît totalement.

Selon les dires de Robert Faris, professeur en sociologie à l’Université de Californie, les étudiants en quête de popularité représentent les victimes invisibles de l’intimidation. Sa partenaire de recherche, Diane Felmlee, abonde en ce sens.

« Contrairement aux stéréotypes indiquant que seuls les élèves effacés représentent des cibles pour leurs pairs, les adolescents relativement populaires sont également à haut risque. »

Medical News Today rapporte les statistiques du gouvernement américain, dévoilant que plus d’un étudiant sur 4 a vécu de l’intimidation dans les dernières années (entre 20 et 28 %).

Faris et Felmlee se sont basés sur les données récoltées auprès de 4000 adolescents dans 19 écoles secondaires de la Caroline du Nord.

Selon eux, les élèves plus populaires sont encore plus anxieux, en colère et dépressifs, puisqu’ils croient qu’ils ont plus à perdre, car ils « tombent de plus haut ».

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Patrick Bruel au secours de la cyberintimidation

Voici.fr rappelle que sur son dernier album, Lequel de nous, les fans n’étaient pas nécessairement d’accord avec le duo de Patrick Bruel et La Fouine. Cependant, le harcèlement en ligne constituait la pierre angulaire de leur collaboration.

Cette fois, le chanteur notoire prend part à une campagne et interprète un enseignant qui vient en aide à quatre jeunes, Lauren, Manon, Paul et Dimitri, dans un clip interactif. Pour l’occasion, Bruel s’est associé à e-ENFANCE.

Au cœur de la chanson, les jeunes peuvent se reconnaître à travers les histoires des quatre adolescents. Il est même possible de connaître leur histoire en cliquant au moment opportun. Des liens d’intérêt pour s’informer, dénoncer ou s’exprimer sont également dévoilés à la fin de la vidéo.

La vidéo peut être visionnée ici.

Patrick Bruel a terminé sa tournée à Paris le 30 mars, mais prévoit l’ajout de dates à Londres, aux États-Unis et au Canada.

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Patrick Bruel au secours de la cyberintimidation

Voici.fr rappelle que sur son dernier album, Lequel de nous, les fans n’étaient pas nécessairement d’accord avec le duo de Patrick Bruel et La Fouine. Cependant, le harcèlement en ligne constituait la pierre angulaire de leur collaboration.

Cette fois, le chanteur notoire prend part à une campagne et interprète un enseignant qui vient en aide à quatre jeunes, Lauren, Manon, Paul et Dimitri, dans un clip interactif. Pour l’occasion, Bruel s’est associé à e-ENFANCE.

Au cœur de la chanson, les jeunes peuvent se reconnaître à travers les histoires des quatre adolescents. Il est même possible de connaître leur histoire en cliquant au moment opportun. Des liens d’intérêt pour s’informer, dénoncer ou s’exprimer sont également dévoilés à la fin de la vidéo.

La vidéo peut être visionnée ici.

Patrick Bruel termine sa tournée à Paris le 30 mars prochain, mais prévoit l’ajout de dates à Londres, aux États-Unis et au Canada.

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La cyberintimidation a des conséquences plus graves que l’intimidation traditionnelle

Une nouvelle recherche basée sur une méta-analyse relevant les données de 284 375 participants été publiée dans la revue JAMA Pediatrics.

Le suicide est la cause principale de décès des adolescents à travers le monde. Aux États-Unis uniquement, environ 20 % des adolescents considèrent sérieusement le suicide et de 5 à 8 % font des tentatives chaque année.

Certains suggèrent que selon le pays et la nationalité, de 5 à 20 % des enfants sont victimes d’intimidation verbale, physique ou basée sur l’exclusion sociale. L’intimidation représente donc un risque très sérieux d’idées et de tentatives suicidaires.

Les chercheurs ont associé les idées suicidaires à la cyberintimidation dans 70 102 cas, sur les 34 études observées. Auparavant, on croyait que celle-ci était égale à l’intimidation traditionnelle, mais cette nouvelle perspective avance que les conséquences sont encore plus dommageables.

« Ils sont plus sévères parce que la cyberintimidation peut joindre un nombre beaucoup plus élevé de jeunes à l’aide d’internet, et les propos peuvent être sauvegardés en ligne. Par conséquent, les victimes peuvent retourner voir les propos dénigrants et revivre en boucle l’expérience. »

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Les garçons déprimés sont ceux qui se jugent trop minces

Ce ne sont pas que les filles qui se préoccupent beaucoup de leur poids. Mais chez les garçons, c’est tout le contraire. S’ils n’ont pas de « masse » suffisante, leur confiance se détériore encore plus que chez les adolescents obèses.

Les résultats de l’étude, mentionne MedicalNewsToday, sont attribuables à Aaron Blashill de l’équipe de psychologues du Massachusetts General Hospital et membre de la faculté Harvard Medical School.

Les garçons trop minces sont victimes d’intimidation et sont plus enclins à prendre des stéroïdes et à déprimer. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), on estime que 3,5 % des enfants et adolescents de 2 à 19 ans ont un poids sous la normale. Celui-ci, cependant, cache souvent un problème sous-jacent.

Ce sont 2139 garçons de 16 ans qui ont été suivis pendant 13 ans pour la recherche. Les facteurs évalués étaient les symptômes dépressifs, l’image corporelle et l’indice de masse corporelle (IMC).

Les garçons qui considéraient que leur poids était sous la normale – même s’ils étaient en réalité à un poids santé et plus – avaient le taux le plus élevé de symptômes dépressifs, ce qui persistait même à l’âge adulte.

Blashill demande aux médecins d’être attentifs aux adolescents qui sont dans cette situation, puisqu’ils sont plus déterminés à utiliser des méthodes drastiques comme les stéroïdes.

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Le cellulaire : outil d’intimidation 24 heures sur 24

Auparavant, l’intimidation se limitait souvent aux murs de l’école. De nos jours, non seulement il y a les médias sociaux, mais surtout, les cellulaires que nous mettons nous-mêmes entre les mains de nos enfants.

She Knows rappelle qu’il ne faut pas sous-estimer les risques associés aux messages texte. Des menaces sous le couvert de l’anonymat ou à travers un écran peuvent sembler inoffensives. Mais il existe de nombreux cas où les menaces sont mises à exécution.

« Nous avons cette fausse perception que si nous installons un contrôle parental sur l’ordinateur, nous protégeons nos enfants de la cyberintimidation », indique Neil Book, PDG de SMobile Systems, un fournisseur de solutions sécuritaires pour les cellulaires.

La réalité, c’est qu’ils n’arrivent plus à échapper à l’intimidation, précisément à cause du cellulaire, et le danger est bien réel. Votre rôle de parent est d’intervenir, que ce soit de façon préventive ou si vous suspectez de l’intimidation.

Des logiciels existent pour obtenir le contenu détaillé des textos, appels et sites internet consultés par votre enfant. Android, par exemple, offre le eBlaster. Renseignez-vous auprès de votre fournisseur. Vous aurez ainsi tous les rapports d’activités reliés à l’appareil.

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Les préoccupations des parents diffèrent selon la nationalité

L’étude dont il est question a été menée aux États-Unis, auprès de plus de 1000 parents avec des enfants âgés de 10 à 14 ans. Les chercheurs ont remarqué que bien que les dangers soient les mêmes, l’importance accordée à ceux-ci, lorsque la situation socioéconomique et la nationalité étaient tenues en compte, variait grandement d’un groupe ethnique à l’autre.

Ainsi, selon Medical News Today :

– Les parents de race blanche sont les moins concernés en ce qui a trait à la sécurité en ligne.

– Les parents asiatiques ou hispaniques sont ceux qui accordent le plus d’importance aux dangers reliés à la sécurité, sous toutes ses formes.

– Les parents de race noire étaient beaucoup plus préoccupés par la rencontre d’étrangers et l’exposition à la pornographie.

Sans tenir compte de la nationalité, les préoccupations parentales ont été classées dans l’ordre décroissant suivant : la rencontre d’un étranger, l’exposition à la pornographie, l’exposition à du contenu violent, intimidation (victime) et intimidateur (initiateur).

Selon les chercheurs, ces différences entre différentes nationalités posent problème, puisqu’il est difficile de mettre en place des méthodes de sensibilisation qui susciteront le même intérêt chez tous les parents.

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Les dommages de la surprotection des enfants

Alors que la négligence est manifestement nocive pour les jeunes, la surprotection serait encore pire.

PsychologyToday présente les résultats de l’étude sur le sujet menée par le Britannique Dieter Wolke, professeur au département de développement psychologique de l’Université de Warwick.

Il a démontré que, bien qu’il soit normal de vouloir les protéger, les enfants trop enveloppés sont plus empreints à l’intimidation que les autres, car ils ne savent pas se protéger eux-mêmes.

Les psychologues expliquent le phénomène en disant que les enfants négligés apprennent par eux-mêmes à gérer les problèmes et auront éventuellement plus de facilité à gérer de plus gros problèmes, tandis que les autres auraient tendance à tout simplement se laisser abattre.

Le Dr Wolke maintient que le but d’un parent est de faire de leurs enfants des gens compétents, autonomes et efficaces. Pour se faire, il est nécessaire qu’ils aient à gérer des situations conflictuelles.

Afin de vous assurer de donner les outils nécessaires à vos enfants pour les différentes embuches de la vie, il est donc suggéré de les encourager à entreprendre la résolution de problèmes par eux-mêmes et à développer l’esprit de négociation et leur intelligence émotionnelle.

Alors, évitez de tout faire pour eux, d’embellir la réalité et de leur épargner tous les conflits. Vous ferez ainsi d’eux de futurs adultes forts et indépendants.

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Julianne Moore fait une sortie contre l’intimidation

L’intimidation est l’un des thèmes évidents du célèbre ouvrage de Stephen King, Carrie, qui fait l’objet d’une réadaptation au cinéma, quelques décennies après le premier film.

L’une des vedettes de ce remake est Julianne Moore, qui semble ne pas avoir que le projet à cœur, mais aussi ce thème de l’intimidation, selon les propos rapportés par StarPulse.

L’actrice y va d’une sortie bien sentie sur le sujet dans le cadre de la promotion du film, et en profite pour sensibiliser les gens au phénomène. Moore croit que l’on peut tous faire notre part pour éviter ou diminuer la souffrance et les incidents liés à l’intimidation.

« L’une des choses que je dis toujours à mes enfants, et c’est lié au thème de Carrie aussi, c’est que la chose la plus dangereuse pour une personne est de se sentir isolée. Alors, je leur demande, s’il y a un nouveau ou une personne qui s’assoit seule, d’aller leur parler et de les inviter à jouer », lance une Julianne Moore convaincue.

Moore explique aussi qu’elle a beaucoup voyagé au cours de sa vie, et que non seulement cela lui permet de comprendre le phénomène d’isolation, mais de comprendre également que les réactions des autres sont souvent basées sur nos expériences, et qu’il est important de tenter de se placer dans la peau d’autrui et faire preuve de compassion.

Un superbe message, d’une actrice brillante qui se dit par ailleurs une fan incontestable de Stephen King.

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Julianne Moore fait une sortie contre l’intimidation

L’intimidation est l’un des thèmes évidents du célèbre ouvrage de Stephen King, Carrie, qui fait l’objet d’une réadaptation au cinéma, quelques décennies après le premier film.

L’une des vedettes de ce remake est Julianne Moore, qui semble ne pas avoir que le projet à cœur, mais aussi ce thème de l’intimidation, selon les propos rapportés par StarPulse.

L’actrice y va d’une sortie bien sentie sur le sujet dans le cadre de la promotion du film, et en profite pour sensibiliser les gens au phénomène. Moore croit que l’on peut tous faire notre part pour éviter ou diminuer la souffrance et les incidents liés à l’intimidation.

« L’une des choses que je dis toujours à mes enfants, et c’est lié au thème de Carrie aussi, c’est que la chose la plus dangereuse pour une personne est de se sentir isolée. Alors, je leur demande, s’il y a un nouveau ou une personne qui s’assoit seule, d’aller leur parler et de les inviter à jouer », lance une Julianne Moore convaincue.

Moore explique aussi qu’elle a beaucoup voyagé au cours de sa vie, et que non seulement cela lui permet de comprendre le phénomène d’isolation, mais de comprendre également que les réactions des autres sont souvent basées sur nos expériences, et qu’il est important de tenter de se placer dans la peau d’autrui et faire preuve de compassion.

Un superbe message, d’une actrice brillante qui se dit par ailleurs une fan incontestable de Stephen King.