Étiquette : intimidation

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Agissez avant que votre enfant devienne un intimidateur

La première étape, selon SheKnows, lorsque votre enfant développe une attitude qui tend vers l’intimidation, est de prendre des notes de la situation. 

Ensuite, si vous vous sentez dépassé, il faut demander de l’aide sans tarder. Parlez au professeur, au directeur, à d’autres parents ou à un spécialiste (psychologue ou autre intervenant).

Voici pourquoi vous devez agir rapidement, selon helpguide.org, si votre enfant tend vers l’intimidation :

– Il a plus de risque de sombrer dans la drogue ou l’alcool lorsqu’il sera adolescent ou adulte.

– Il sera plus enclin au vandalisme, aux bagarres et au décrochage, éventuellement.

– Il a plus de chance de devenir abusif envers ses partenaires de vie et ses propres enfants.

Portez donc attention aux éléments suivants, qui vous mettront la puce à l’oreille :

– Il se montre rapidement violent avec les autres, verbalement et/ou physiquement.

– Il visite le bureau du directeur fréquemment.

– Il possède de nouvelles choses ou de l’argent, alors que cela ne provient pas de vous.

– Il n’accepte pas la responsabilité de ses actes.
 
– Il a des amis qui intimident les autres.

– Il ressent le besoin d’être le meilleur dans tout et de toujours gagner.

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Est-il important d’élever des enfants qui s’affirment?

Les parents croient souvent à tort que l’affirmation est agressive. En réalité, elle est très recommandée, puisqu’elle montre aux enfants comment reconnaître leurs droits et les encourage à les protéger. Il s’agit d’un mode de communication qui n’est ni faible ni agressif. En plus, l’affirmation permet de reconnaître et de respecter les droits d’autrui.

Le principal avantage de l’affirmation de soi est la confiance développée par les enfants qui reçoivent cette éducation. Par la suite, ils sont en mesure de se défendre face à l’intimidation et n’ont pas peur du rejet ou de l’opinion des autres.

L’affirmation de soi a plusieurs formes. Il peut s’agir d’un élève qui demande à un enseignant de réviser une erreur de note sur un examen plutôt que de se taire et d’accepter. Ce peut aussi être votre fille qui se fait bousculer et dépasser à la cafétéria, mais qui répond : « La file est juste derrière moi. Inutile d’essayer de passer devant, nous avons tous faim, attends ton tour ».

Le simple fait de dire non à répétition à des jeunes qui incitent votre enfant à faire des activités illicites représente une excellente affirmation de soi.

Cette aptitude à faire respecter ses droits et à respecter ceux d’autrui servira toute une vie. Il s’agit donc d’un bel outil dont vous devriez faire cadeau à vos enfants.

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Faire sa part pour enrayer l’intimidation

Il faut d’abord apprendre à cerner les comportements d’intimidation et être prêt à y faire face, tel que l’indique le HuffPost.

 
Quoi faire

Identifiez la réelle intimidation — Certains comportements, bien que cruels et mal intentionnés, sont des réactions spontanées, et non de l’intimidation. Il faut faire la différence.

Ouvrez-vous aux jeunes – Il faut leur montrer que nous sommes attentifs, même si nous sommes débordés! Un simple sourire, dire bonjour en mentionnant le nom du jeune ou mentionner que votre porte est toujours ouverte.

Gardez l’œil ouvert – Plus vous dirigerez votre attention vers les comportements inappropriés, plus facilement vous les repèrerez.

Intervenez avec peu de mots – Votre présence, encore plus que vos mots, aura déjà un impact sur l’intimidateur. Le simple fait de mentionner que vous n’avez pas intérêt à voir cette situation se reproduire est efficace.

À éviter

Ignorer la situation en passant à côté sans rien faire ou en niant que vous en êtes témoin.

Aggraver la situation. Si vous demandez au jeune « Est-ce que ça va? Est-ce qu’il t’intimide? », vous envenimerez la situation, car l’enfant n’osera pas se confier. Adressez-vous directement à l’intimidateur.

Stéréotyper les intimidateurs. Il faut se remémorer que même les enfants de bonne famille peuvent développer de mauvais comportements. Évitez de juger trop rapidement un jeune, mais surtout, gardez en tête que l’habit ne fait pas le moine.

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Trop de temps d’écran réduit les capacités intellectuelles des enfants

Comme le mentionne SheKnows, il y a plus de 30 ans, il n’y avait que Sesame Street et son pendant francophone, Passe-Partout, qui constituaient des émissions de télévision éducatives pour les enfants.

Aujourd’hui, toutes les chaînes de télé se disputent les cases horaires pour abreuver les jeunes d’émissions de toutes sortes. Sans compter que désormais, nous avons les tablettes et iPod qui maximisent le temps passé devant les écrans.

Or, selon la Dre Rita Eichenstein, spécialisée en développement psychologique et en neuropsychologie, le phénomène de l’abrutissement devant l’écran influence directement la pensée de l’enfant. « C’est principalement dû au caractère passif du visionnement à l’écran. »

C’est une étude canadienne, menée auprès de 2000 enfants de 2 ans et demi, qui mentionne que chaque heure de trop passée devant la télévision indispose les enfants d’âge préscolaire à effectuer la transition vers la maternelle. Les chercheurs ont noté que plus les enfants étaient exposés à la télévision, pires étaient leurs aptitudes mathématiques, leur vocabulaire et leur attention.

De même, ceux-ci avaient des capacités physiques réduites, et un risque beaucoup plus élevé de subir de l’intimidation à la maternelle.

Pour l’article complet, suivez ce lien.

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La beauté est un facteur important de réussite

Il semble que le temps ne puisse changer certaines choses, même au contraire. Ce serait le cas notamment de l’impact de la beauté dans notre société, et dans la réussite personnelle de chacun.

Particulièrement dans les contextes sociaux et professionnels, rapporte Santé Log, qui reprend une étude de L’Université Notre-Dame.

Cette dernière a tracé un lien entre le marché du travail et des affaires avec celui d’une école, là où les moins attirants physiquement paient souvent le gros prix pour cette caractéristique non volontaire.

Selon les chercheurs de Notre-Dame et leurs associés, Timothy Judge en tête, l’intimidation professionnelle existe bel et bien, et rien n’indique un ralentissement du phénomène.

Outre l’intégration facilitée par la beauté, cette dernière permet également une meilleure estime de soi et, donc, de meilleures chances de réussite professionnelle.

Un travail de sensibilisation reste à faire en cette ère souvent superficielle, croient les chercheurs.

L’étude en question a été publiée dans le magazine Human Performance.

emble que le temps ne puisse changer certaines choses, même au contraire. Ce serait le cas notamment de l’impact de la beauté dans notre société, et dans la réussite personnelle de chacun.

Particulièrement dans les contextes sociaux et professionnels, rapporte Santé Log, qui reprend une étude de L’Université Notre-Dame.

Cette dernière a tracé un lien entre le marché du travail et des affaires avec celui d’une école, là où les moins attirants physiquement paient souvent le gros prix pour cette caractéristique non volontaire.

Selon les chercheurs de Notre-Dame et leurs associés, Timothy Judge en tête, l’intimidation professionnelle existe bel et bien, et rien n’indique un ralentissement du phénomène.

Outre l’intégration facilitée par la beauté, cette dernière permet également une meilleure estime de soi et, donc, de meilleures chances de réussite professionnelle.

Un travail de sensibilisation reste à faire en cette ère souvent superficielle, croient les chercheurs.

L’étude en question a été publiée dans le magazine Human Performance.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’impact des agressions entre frères et soeurs

Alors qu’elles peuvent être perçues comme quelque chose de tout à fait normal et même bénéfique aux yeux de certains, les agressions entre frères et sœurs ont des répercussions plus graves qu’on pourrait le croire.

Une récente étude menée à l’Université du New Hampshire et publiée dans l’édition de juillet du journal Pediatrics démontre les dommages causés par de telles situations.

En fait, les séquelles seraient semblables à celles vécues lors de l’intimidation causée par des pairs, phénomène largement médiatisé depuis quelques années maintenant, à la suite du suicide de plusieurs jeunes.

Concernant les résultats de l’étude ayant analysé le cas de 3599 enfants de 1 mois à 9 ans, la Dre Corinna Jenkins Tucker de l’UNH déclare : « Même les enfants n’ayant rapporté qu’un seul incident marquant présentaient plus de détresse de santé mentale que les autres. Notre étude démontre que peu importe le type d’agressions et la fréquence de celles-ci, il n’y a rien de bénin, et ce, que ce soit chez les jeunes enfants ou les adolescents ».

En résumé, que ce soit des agressions verbales, physiques, avec ou sans « arme », aucun incident ne devrait être considéré comme faisant simplement partie de la relation entre frères et sœurs, et il faut en discuter sérieusement avec les enfants, peu importe leur âge.

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Charlie Sheen ne se fait pas d’amis chez les spécialistes de crottes de chien!

TMZ nous apprend que l’école Viewpoint de Calabasas, en Californie, a reçu le soutien de ces compagnies, qui lui ont offert leurs services à la suite de l’appel aux armes de Charlie Sheen.

Rappelons que la semaine dernière, l’acteur a fait appel à ses millions de fans, les invitant à enduire l’école de crottes de chien parce que, selon lui, cette dernière n’aurait pas mis un terme à l’intimidation que subissait sa fille, Sam, l’année dernière.

L’incident a refait surface alors que des défenseurs de l’école auraient cloué une note de menace à l’aide d’un couteau devant la demeure de la jeune fille de 9 ans.

Un représentant de la compagnie Yodish*t.com, qui vous permet d’envoyer de la crotte par courrier à vos amis, dit avoir suspendu tout envoi vers les écoles de Los Angeles, à la suite d’une explosion des demandes.

D’autre part, un représentant de la compagnie Doody Calls, spécialisée dans la collecte d’excréments canins, déclare son engagement à nettoyer l’école si les fans de Sheen se mettent à l’œuvre.

Depuis, l’acteur se serait rétracté, prétendant qu’il s’agissait d’une simple métaphore.

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Les enfants ayant subi de l’intimidation peuvent avoir des conséquences à long terme

Le journal JAMA Psychiatry publie une étude qui remet en question la notion indiquant qu’une fois la situation réglée, les enfants ne ressentent plus les effets négatifs de l’intimidation.

Des chercheurs ont suivi 1 470 enfants âgés entre 9 et 13 ans à partir de 1993, incluant plus de 1 270 jusqu’à l’âge adulte. Parmi ceux-ci, 421 enfants (26 %) ont rapporté avoir été victimes d’intimidation au moins une fois. Le taux était le même entre les garçons et les filles. Environ 200 enfants (9.5 %) disaient avoir été des intimidateurs, et 86 s’étaient retrouvés dans les deux rôles.

Une fois adultes, ceux qui avaient été victimes d’intimidation, et ceux qui étaient à la fois agresseurs et victimes, couraient un risque beaucoup plus élevé d’avoir des problèmes psychiatriques, incluant la dépression, l’anxiété, les troubles de panique, l’agoraphobie, les idées suicidaires ou le trouble de personnalité antisociale.

« L’intimidation est un problème potentiel, à la fois pour les intimidateurs et pour les victimes. On tend parfois à croire que l’intimidation est normale et pas très importante chez les enfants, mais en fait, il s’agit d’un tourment majeur qui peut avoir des conséquences très sérieuses pour les individus, » a expliqué l’auteure, la Dre Jane Costello, tel que rapporté par Science Daily.

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Comment stopper le phénomène de l’intimidation

Les deux besoins émotifs les plus fondamentaux chez les enfants sont le sens de l’appartenance, et le sens de la signification.

L’appartenance, c’est le fait de se sentir comme faisant partie d’un groupe, que ce soit une famille, une classe ou une communauté.

La signification, c’est le fait de se sentir comme un membre à part entière de ce groupe, quelqu’un en mesure d’y participer, d’indépendant, qui est en contrôle.

Favoriser ces deux besoins n’est pas nécessairement compliqué. Cela commence par accorder aux enfants une dose suffisante d’attention positive, ainsi que de former avec eux un lien émotionnel, entres autres en se plongeant dans leur propre monde.

Une fois que cela est maîtrisé, les adultes peuvent commencer à travailler avec eux sur l’empathie, le respect, les stratégies d’adaptation, ainsi que sur la résolution de problèmes.

Il s’agit d’une « formation sociale » que les parents et les intervenants doivent appliquer eux-mêmes, et apprendre de façon délibérée.

Les enfants doivent également savoir que certains comportements, comme le fait de s’en prendre à un autre enfant, les taquineries excessives, le manque de respect, le harcèlement et l’humiliation sont absolument inacceptables.

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Les enfants gentils sont plus heureux

Le journal PLoS ONE a publié les résultats d’une nouvelle étude s’attardant aux manières d’augmenter le bonheur chez des enfants âgés de 9 à 11 ans.

400 écoliers de Vancouver ont donc participé à un programme où ils devaient mesurer leur niveau de bonheur et noter des personnes de leur classe avec qui ils voudraient travailler.

Les enseignants ont ensuite demandé à la moitié d’entre eux d’accomplir des gestes gentils, par exemple de partager leur goûter ou de donner un câlin à leur mère lorsque celle-ci était stressée. L’autre moitié devait plutôt noter les endroits plaisants qu’ils avaient visités, comme le parc.

Après quatre semaines, les enfants ont évalué à nouveau leur bonheur, et ont une deuxième fois noté les camarades avec qui ils voudraient travailler. Les deux groupes d’enfants ont dit être plus heureux, mais ceux qui avaient fait des gestes gentils ont sélectionné un plus grand nombre de personnes.

L’auteure de l’étude, Kimberly Schonert-Reichl, a indiqué que l’intimidation tendait à s’intensifier à cet âge. « En demandant aux enfants de pointer les autres élèves avec qui ils aimeraient travailler, les enseignants peuvent créer un esprit d’équipe dans la classe et réduire la possibilité qu’il s’y passe de l’intimidation », a-t-elle expliqué, selon Science Daily.