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Un enfant sur trois qui souffre d’une allergie alimentaire est victime d’intimidation

Les chercheurs ont sondé 251 enfants allergiques ainsi que leurs parents. Ceux-ci ont répondu à des questionnaires portant sur l’intimidation en général, que celle-ci soit reliée ou non aux allergies, sur la qualité de vie et sur une possible détresse vécue par les enfants ou par leurs proches.

Presque la moitié des parents dont les enfants étaient victimes d’intimidation n’étaient pas au courant, et ce, même si leur enfant affirmait souffrir d’un niveau plus élevé de stress ainsi que d’une moins bonne qualité de vie.

« Les parents et les pédiatres devraient souvent demander aux enfants qui ont des allergies alimentaires s’ils sont victimes d’intimidation. Découvrir ce fait permettrait des interventions ciblées, ce qui pourrait mener à une réduction du stress et à une amélioration de la qualité de vie chez ces enfants qui doivent gérer leurs allergies alimentaires », a expliqué le Dr Eyal Shemesh, auteur principal de l’étude, selon Science Daily.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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Un enfant sur trois qui souffre d’une allergie alimentaire est victime d’intimidation

Les chercheurs ont sondé 251 enfants allergiques ainsi que leurs parents. Ceux-ci ont répondu à des questionnaires portant sur l’intimidation en général, que celle-ci soit reliée ou non aux allergies, sur la qualité de vie et sur une possible détresse vécue par les enfants ou par leurs proches.

Presque la moitié des parents dont les enfants étaient victimes d’intimidation n’étaient pas au courant, et ce, même si leur enfant affirmait souffrir d’un niveau plus élevé de stress ainsi que d’une moins bonne qualité de vie.

« Les parents et les pédiatres devraient souvent demander aux enfants qui ont des allergies alimentaires s’ils sont victimes d’intimidation. Découvrir ce fait permettrait des interventions ciblées, ce qui pourrait mener à une réduction du stress et à une amélioration de la qualité de vie chez ces enfants qui doivent gérer leurs allergies alimentaires », a expliqué le Dr Eyal Shemesh, auteur principal de l’étude, selon Science Daily.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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L’intimidation peut changer l’expression d’un gène lié à l’humeur

La revue Psychological Medicine publie les résultats d’une nouvelle étude qui tente d’expliquer pourquoi des expériences difficiles peuvent perturber la manière dont les individus réagissent au stress.

Dans le cadre de l’étude, 28 paires de jumeaux avec un âge moyen de 10 ans, dont un avait été victime d’intimidation et l’autre non, ont été analysées séparément.

Les chercheurs ont réalisé que chez les victimes d’intimidation, il y avait un changement dans la structure d’un gène qui régule la sérotonine, le neurotransmetteur responsable des humeurs et de la dépression.

L’auteure de l’étude, Isabelle Ouellet-Morin, a expliqué : « Plusieurs personnes croient que nos gènes sont immuables; toutefois, cette étude suggère que l’environnement, et même l’environnement social, peut affecter son fonctionnement. C’est le cas particulièrement pour les expériences d’intimidation vécues durant l’enfance, qui modifient notre réponse au stress et même le fonctionnement de gènes qui régissent nos humeurs », selon Science Daily.

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La médiation informatique pour résoudre les problèmes d’intimidation dans les écoles

Des chercheurs ont mené une étude auprès de jeunes de 12 et 13 ans dans différentes écoles d’Angleterre. Les comportements de ceux-ci lorsqu’ils étaient à l’ordinateur ont été étudiés pendant 6 mois.

Les jeunes qui utilisaient des logiciels incorporant les technologies les plus récentes de reconnaissance de la voix et des gestes avaient une opinion plus positive des autres étudiants. Ceux-ci faisaient beaucoup plus confiance aux autres et apportaient de meilleures idées pour éviter les problèmes d’intimidation.

Les avatars sont des représentations de soi-même, générées par un ordinateur. Avant cette étude, la communication par avatar était considérée comme moins efficace que la médiation par vidéo, mais de nouvelles technologies semblent avoir renversé cette tendance. En effet, les avatars peuvent maintenant répondre à des expressions faciales et des gestes, ce qui permet d’améliorer l’interaction sociale.

Les chercheurs considèrent que les avatars peuvent être particulièrement efficaces dans les cas d’intimidation, parce qu’ils protègent l’anonymat des utilisateurs.

Le Dr Jim Ang, auteur principal de l’étude, a expliqué que « les avancées technologiques pour les avatars ont un énorme potentiel de transformer la manière dont nous formons des liens et exprimons de l’empathie envers les autres. C’est une excellente plateforme pour intervenir auprès des jeunes, parce que ceux-ci sont très familiers avec ces technologies », selon Science Daily.

L’étude a été publiée dans Computers in Human Behaviour.

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Une analyse met en lumière les particularités de l’intimidation virtuelle

Une méta-analyse de 15 études sur le phénomène de l’intimidation virtuelle vient d’être publiée dans la revue médicale Behavioral Difficulties. Celle-ci révèle que cette nouvelle forme d’intimidation est maintenant largement répandue dans les écoles et présente ses caractéristiques particulières.

L’intimidation virtuelle obéit au même « abus de pouvoir systémique » que sa forme traditionnelle, mais est indirecte, et les moyens technologiques lui permettent même parfois d’être anonyme, ce qui ajoute au tourment des victimes.

 L’intimidateur voit rarement la réaction de sa victime, et est donc encore moins conscient des conséquences de son comportement. L’auditoire de l’intimidateur est aussi beaucoup plus vaste.

Les chercheurs s’attardent aux facteurs émotifs et comportementaux complexes qui entrent en jeu à la fois pour l’intimidateur et sa victime, affirmant par exemple que les cyberintimidateurs montraient un « désengagement moral » encore plus grand que celui des intimidateurs traditionnels.

Les enfants qui sont heureux à l’école risquent moins de devenir des victimes, ont également affirmé les chercheurs, selon Science Daily, sans toutefois élaborer sur les facteurs pouvant rendre les enfants moins heureux en milieu scolaire et les liens potentiels de ceux-ci avec l’intimidation.

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L’intimation entraine des conséquences à long terme

Selon une analyse réalisée par le Crime Victims’ Institute, avoir été victime d’intimidation est relié à problèmes de santé générale, des troubles de santé mentale, des problèmes de comportement, des troubles alimentaires, du tabagisme, de l’abus d’alcool et même des problèmes d’itinérance.

Les auteurs de l’analyse recommandent d’investir dans des programmes d’aide aux victimes ainsi que dans les programmes de prévention. Ces programmes devraient apporter une aide immédiate, à la fois physique et psychologique, aux victimes.

Même s’il s’agit d’une aide à court terme, l’auteure Leana Bouffard a souligné que « ce type d’investissement pourrait avoir l’avantage supplémentaire de réduire les effets nuisibles à long terme trouvés dans cette étude ainsi que dans d’autres. Ceci pourrait diminuer les coûts associés à la victimisation sur le système de santé et pour la société en général », tel que rapporté par ScienceDaily.

La présente analyse se base sur une étude à long terme menée sur un large échantillon représentatif des jeunes adultes américains. Parmi ceux-ci, 19 % disaient avoir déjà été victimes d’intimidation.

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Les intimidateurs sont beaucoup plus susceptibles de souffrir d’un problème de santé mentale

Pour le bien d’une étude menée aux États-Unis, les chercheurs ont analysé des données provenant de 63 997 enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans. Parmi ceux-ci, 15,2 % étaient identifiés comme des intimidateurs, tandis que 16,6 % avaient reçu au moins un diagnostic de problème de santé mentale.

Selon les données, 29,8 % des enfants souffrant d’un trouble de santé mentale avaient des comportements d’intimidation, comparativement à seulement 12,4 % de ceux qui n’avaient pas reçu un tel diagnostic.

Les problèmes de santé mentale les plus fréquents étaient la dépression, l’anxiété, le déficit d’attention ou l’hyperactivité, ainsi que le trouble oppositionnel avec provocation.

« Cette étude confirme ce que nous soupçonnions depuis longtemps », a avancé le pédiatre Benjamin Hoffman à Medscape. « Dans une relation d’intimidation, c’est l’intimidateur qui nous inquiète le plus. Bien sûr, nous nous préoccupons de la victime et des conséquences sur celle-ci, mais les facteurs qui poussent l’intimidateur à avoir ce comportement sont également très importants. »

Les résultats de l’étude ont été présentés au congrès de l’American Academy of Pediatrics.

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Aidez vos enfants avec le stress et l’intimidation

D’abord, soyez attentif à votre enfant. S’il se met à ne plus vouloir aller à l’école, à exprimer des craintes et des inquiétudes, il se peut qu’il y soit victime d’intimidation.

Puis, questionnez votre enfant à propos de son statut social. Cela permettra d’établir une bonne communication entre votre enfant et vous.

Aussi, soyez un modèle positif pour lui. Utilisez un langage approprié, apprenez-lui à dire non et dites-lui ce à quoi s’attendront les jeunes qui l’intimideront.

Ensuite, construisez la confiance en soi de votre enfant. L’intimidation affectera son estime de lui. Plus il aura une bonne opinion de lui-même, moins cette période sera difficile.

S’il a des grands frères ou des grandes soeurs, il se peut que l’enfant soit soumis à leurs moqueries et sera ainsi plus vulnérable à celles de ses camarades lorsque vous ne serez pas là. Prévenez donc l’intimidation à la maison.

Apprenez-lui également à gérer émotionnellement le stress et l’intimidation et restez en contact avec la direction et le personnel de l’école qu’il fréquente, au cas où.

Rappelons que les enfants ayant des troubles du comportement se font davantage intimider, mais reproduisent ces menaces à leur tour, selon une récente étude.

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Les enfants asthmatiques plus souvent victimes d’intimidation

Malheureusement, les moqueries se transforment facilement en harcèlement. Les conclusions émises lors du congrès de l’ERS (European Respiratory Society) abondent en ce sens, selon le site Quotidien du médecin.

L’étude, intitulée Room to Breath (De l’espace pour respirer), a été menée notamment par Will Carroll et ses collègues du Derbyshire Children’s Hospital au Royaume-Uni.

Selon Carroll, « il est nécessaire que les médecins parlent avec les jeunes patients asthmatiques du harcèlement à l’école ou ailleurs, ainsi que d’autres domaines de leur vie où l’asthme pourrait avoir un impact ».

Ce n’est pas une situation qui est unique à l’asthme. Tout enfant ayant une affection médicale particulière est sujet à l’intimidation. Les différentes raisons ont été listées lors de l’étude des 943 questionnaires émis lors de la recherche. Ceux-ci concernaient les enfants de plus de 7 ans.

Deux facteurs principaux ont été retenus. De l’un, le sentiment omniprésent de tristesse chez l’enfant, qui le rend plus vulnérable, ainsi que sa faible participation aux activités sportives. Ce sont là deux éléments qui pointent l’enfant du doigt bien malgré lui.

Bien entendu, plusieurs autres pistes doivent être étudiées plus en profondeur. Les parents surprotecteurs, par exemple, ont un effet aggravant sur la façon dont l’enfant se perçoit et doivent également être pris en compte.

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Les livres sur l’intimidation que les mamans devraient lire

D’abord, le site parle du livre Queen Bees & Wannabes de l’auteure Rosalind Wiseman. Ce livre pourrait vous donner quelques pistes pour aider vos fillettes qui fréquentent l’école secondaire.

Puis, le livre Little Girls Can Be Mean, de Michelle Anthony et Reyna Lindert, s’adresse surtout aux parents de petites filles qui vont à l’école primaire.

No Kidding About Bullying, par Naomi Drew, ainsi que The Bully, The Bullied, and The Bystander, par Barbara Coloroso, sont destinés à tous les parents, peu importe l’âge de vos enfants.

Finalement, le livre Parent’s Guide to Preventing and Responding to Bullying, du docteur Jason Thomas, est également un bon outil pour les parents.

Rappelons que bien que des cas de cyberintimidation soient reportés, l’intimidation en personne reste la plus répandue. Une étude américaine a montré, plus tôt cette année, que 18 % des étudiants américains ont été intimidés verbalement, tandis que seulement 5 % on été cyberintimidé.