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Les livres sur l’intimidation que les mamans devraient lire

D’abord, le site parle du livre Queen Bees & Wannabes de l’auteure Rosalind Wiseman. Ce livre pourrait vous donner quelques pistes pour aider vos fillettes qui fréquentent l’école secondaire.

Puis, le livre Little Girls Can Be Mean, de Michelle Anthony et Reyna Lindert, s’adresse surtout aux parents de petites filles qui vont à l’école primaire.

No Kidding About Bullying, par Naomi Drew, ainsi que The Bully, The Bullied, and The Bystander, par Barbara Coloroso, sont destinés à tous les parents, peu importe l’âge de vos enfants.

Finalement, le livre Parent’s Guide to Preventing and Responding to Bullying, du docteur Jason Thomas, est également un bon outil pour les parents.

Rappelons que bien que des cas de cyberintimidation soient reportés, l’intimidation en personne reste la plus répandue. Une étude américaine a montré, plus tôt cette année, que 18 % des étudiants américains ont été intimidés verbalement, tandis que seulement 5 % on été cyberintimidé.

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La cyber intimidation moins répandue qu’on ne le croit

 

Selon les experts, elle devrait même être au centre des programmes de prévention.

« Les allégations des médias et des chercheurs selon lesquelles la cyber intimidation a augmenté dramatiquement et est maintenant le grand problème des écoles sont largement exagérées. […] Il y a très peu de preuves scientifiques qui démontrent que la cyber intimidation a augmenté durant les cinq ou six dernières années et cette forme d’intimidation est en fait le moins fréquent des phénomènes », explique le psychologue norvégien Dan Olweus.

Durant l’étude, 18 % des étudiants américains interrogés ont affirmé avoir été intimidés verbalement, tandis que seulement 5 % ont affirmé avoir été cyber intimidés.

Toutefois, Olweus soutient que la cyber intimidation ne doit pas pour autant être négligée.

L’étude a également démontré que la majorité des cyber intimidateurs avait été verbalement intimidé dans le passé.

Rappelons qu’avant l’âge de 12 ans, les enfants qui sont victimes d’intimidation sont quatre fois plus susceptibles que les autres de s’automutiler.

S’infliger des blessures et des dommages physiques peut se traduire par des entailles aux bras, se mordre, se brûler, se frapper certaines parties du corps, s’arracher les cheveux, rouvrir d’anciennes cicatrices et ingérer des produits toxiques.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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L’intimidation touche davantage les enfants avec des problèmes de comportement

Les élèves qui reçoivent une éducation spéciale concernant des troubles du comportement sont plus susceptibles d’être victimes d’intimidation que les autres élèves qui suivent un enseignement général. Ils sont également plus enclins à intimider d’autres élèves, selon une nouvelle étude américaine.

Cette recherche publiée dans The Journal of School Psychology met en avant la complexité de l’intimidation et les défis à relever pour résoudre ce problème, a déclaré l’auteure principale de l’étude, Susan Swearer, professeure de psychologie scolaire à l’Université de Nebraska-Lincoln.

Ces résultats brossent un tableau assez sombre pour les élèves handicapés en termes d’actions d’intimidation, a notamment indiqué Susan Swearer.

La recherche a suivi plus de 800 étudiants en éducation spécialisée et générale, âgés de 9 à 16 ans, dans neuf différentes écoles primaires, intermédiaires et secondaires. Plus de 38,1 % ont indiqué qu’ils avaient été intimidés par d’autres élèves.

« Une culture de respect, de tolérance et d’acceptation est notre seul espoir pour réduire l’intimidation chez tous les jeunes d’âge scolaire », indiquent les auteurs de l’étude.

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Équipez votre enfant contre l’intimidation

D’abord, on suggère de reconnaître que l’intimidation est très répandue et on recommande aux parents d’ouvrir l’oeil à des signes qui pourraient indiquer que l’enfant ne se sent pas bien dans son milieu scolaire, car plus de 70 % des jeunes disent avoir un jour été intimidés.

De plus, le site propose d’inscrire votre enfant à une activité qui le mettra en valeur aux yeux des autres. Il ne s’agit pas de faire faire du football à un enfant plus intellectuel, mais de lui trouver une activité qui lui permettra de s’épanouir.

Ensuite, vous pouvez encourager votre enfant à développer une habileté intéressante. C’est peut-être la clé de son bien-être. Cette habileté peut être un talent pour raconter des blagues, jongler ou encore faire des bracelets d’amitié.

Aussi, saisissez les occasions de le faire interagir avec ses camarades de classe.

D’autre part, expliquez à votre enfant que moins il semblera affecté par les moqueries, plus vite ses assaillants se lasseront.

Finalement, misez sur son estime de lui et faites-lui rencontrer d’autres enfants en dehors de son milieu scolaire.

Rappelons qu’il est primordial de miser sur l’estime de soi des enfants, intimidateurs ou intimidés. Les enfants impliqués dans des cas d’intimidation, à la fois comme victime ou comme agresseur, ont trois fois plus de chances d’avoir des pensées suicidaires au moment où ils atteindront 11 ans, selon une nouvelle étude de l’Université de Warwick.

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Intimidation : les enfants sont plus susceptibles de s’automutiler

Les filles seraient plus concernées que les garçons par ce comportement autodestructeur.

S’infliger des blessures et des dommages physiques peut se traduire par s’entailler les bras, se mordre, se brûler, se frapper certaines parties du corps, s’arracher les cheveux, rouvrir d’anciennes cicatrices et ingérer des produits toxiques.

Le comportement fatal peut même aller jusqu’au suicide par strangulation, révèle l’étude anglaise et américaine dans le BMJ.

Les chercheurs spécifient que les enfants victimes d’intimidation sont également souvent entourés d’éléments qui augmentent les risques d’automutilation, comme les mauvais traitements durant l’enfance (négligence, sévices, etc.), les histoires de famille perturbatrices, les problèmes affectifs et autres.

C’est en observant des jumeaux nés entre 1994 et 1995 et leur comportement six mois avant leur douzième anniversaire que les enquêteurs ont constaté que sur 2141 participants, 237 enfants étaient victimes d’intimidation.

Parmi ces derniers, 8 % avaient déjà commis un acte d’automutilation, contre 2 % dans le groupe jamais intimidé.

Les spécialistes croient que plus de programmes devraient être mis en place dans les écoles et cliniques pour soutenir les enfants pris dans cette détresse psychologique et les victimes de l’intimidation.

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Idées suicidaires pour les intimidateurs et leurs victimes

Les enfants impliqués dans des cas d’intimidation, à la fois comme une victime et un agresseur, ont trois fois plus de chances d’avoir des pensées suicidaires au moment où ils atteindront 11 ans, selon une nouvelle étude de l’Université de Warwick. 

Dans un article publié dans le dernier numéro du Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, les chercheurs ont constaté que ces enfants ont des risques très accrus de suicide ou d’automutilation.
 
Pour arriver à ces conclusions, l’équipe a examiné les données de 6043 enfants entre 4 et 10 ans et la prévalence des pensées suicidaires à 11-12 ans.
 
Les enfants qui intimident les autres, mais qui ne sont jamais devenus des victimes étaient également susceptibles d’avoir des pensées et des comportements suicidaires ou d’automutilation.
 
« Nos résultats suggèrent que le comportement lié au suicide est un grave problème pour les jeunes préadolescents : 4,8 % de cette population a rapporté des pensées suicidaires et 4,6 % a signalé un comportement suicidaire ou d’automutilation. Les praticiens de la santé devraient être conscients de cette relation entre l’intimidation et le suicide » a expliqué l’un des auteurs.
 
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Enfance : les bienfaits d’un meilleur ami

Pouvoir compter sur un meilleur ami permet à l’enfant de mieux confronter les expériences négatives et mauvaises.

C’est ce que révèle une étude de l’Université Concordia à Montréal, publiée dans la revue Development Psychology. Il semblerait que la présence d’un compagnon fiable durant l’enfance peut avoir un impact sur la santé psychique et physique des jeunes.

William Bukowski, professeur et directeur de la recherche, dit : « Quand un enfant se sent seul et qu’il doit faire face à une situation désagréable avec un enseignant ou un conflit avec un autre élève arguant, son taux de cortisol (hormone de stress) va augmenter et sa confiance en soi va diminuer. Cependant, lorsque l’enfant a un meilleur ami à qui il peut se confier et avec qui il se sent soutenu, l’inverse se produit ».

Un taux élevé de cortisol peut conduire à d’importants changements physiologiques, comme une déformation des os et une suppression immunitaire.

Pour arriver à cette conclusion, 55 garçons et 48 filles, en cinquième et sixième année, ont participé à l’étude qui consistait à examiner les sentiments et les diverses expériences de ces enfants, pendant 4 jours d’école.

Des études antérieures ont également révélé qu’avoir un meilleur ami durant l’enfance permettait de réduire les conséquences de l’intimidation et l’exil pour d’autres formes d’attaques personnelles.

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Un programme scolaire contre l’intimidation chez les enfants

Grâce à l’application de ce programme scolaire soutenu par le Département américain de l’éducation, les enseignants des écoles primaires ont signalé que le comportement de leurs élèves affichait moins d’actes d’agression, de taquineries et de rejet.

Bien que les résultats soient modestes et minimes pour une première expérience, les auteurs de l’étude américaine ont dévoilé au site Reuters Health qu’il ne fallait surtout pas attendre l’arrivée des enfants au secondaire pour les éduquer en matière d’intimidation, car il est souvent déjà trop tard.

Le programme, qui comporte quelques jours de formation pour les enseignants et le personnel scolaire, des affiches et du matériel, peut coûter environ 1000 $ à une école.

Après avoir recueilli des données d’enseignants pendant quatre ans dans différentes écoles qui utilisaient le programme ou non, les chercheurs ont constaté que des changements se sont produits dans les écoles pratiquant le programme. Selon eux, tout repose sur la façon dont la gestion et la discipline sont établies dans les écoles.

L’intimidation est devenue un problème de plus en plus saillant pour les enfants d’âge scolaire, et dans de rares cas, certaines victimes vont jusqu’à se suicider.

Une étude de Reuthers Health a démontré que l’intimidation au moyen de messages texte touchait 8 % des enfants en 2008 et ne cesse d’augmenter depuis les dernières années.
 

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Sondage : les parents ne protègent pas leurs enfants de l’Internet

Les enfants manquent d’accompagnement sur Internet. C’est clairement ce qui ressort d’un sondage réalisé l’été dernier par la firme Cefrio. Ce dernier a été rendu public le 13 décembre dernier à Montréal.

Des chiffres inquiétants révèlent que 80 % des parents d’enfants de 3 à 12 ans affirment que l’Internet peut être une source de danger en matière d’exploitation sexuelle des enfants. Cinquante pour cent des parents interrogés étaient prêts à confirmer que leurs enfants ont déjà eu accès à des images sexuelles ou violentes.

Un parent sur cinq croit que son enfant pourrait être en contact avec un cyberprédateur, ou encore être victime d’intimidation, mais 40 % des enfants de 10 à 12 ans ont tout de même une page personnelle sur un site de type Facebook.

De même, les trois quarts des enfants (et jusqu’à 90 % des 10 à 12 ans) sont actifs sur Internet. Souvent, dès l’âge de 3 ans, un contact est déjà créé avec les nouvelles technologies.

Cinquante pour cent des parents avouent ne pas discuter des dangers associés à l’Internet avec leurs enfants, et les trois quarts affirment ne pas utiliser davantage de logiciels de contrôle parental.

Sur cette dernière statistique troublante, les autorités et organismes d’aide rappellent aux parents qu’il est fortement conseillé de placer l’ordinateur au salon ou à la cuisine, afin d’y jeter un coup d’œil fréquemment.

N’hésitez pas à être présents quand vos enfants se créent un profil, activez les outils de contrôle parental et sensibilisez-les aux divers dangers et au caractère public d’un texto ou d’une image captée par webcam.

700 signalements de cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur Internet sont reçus chaque mois chez l’organisme Cyberaide.ca (associé au Centre canadien de protection de l’enfance). Imaginez à la grandeur de la planète…

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L’intimidation par messagerie texte

Si les enfants sont de plus en plus nombreux à posséder un téléphone cellulaire, un nombre grandissant sont aussi victimes de harcèlement par cette voie de communication.

On dénote un nombre croissant de cas d’intimidation par messagerie texte, selon une recherche publiée sur Pediatrics. Dans les faits, des enfants avaient reçu des commentaires méchants ou grossiers, voire des menaces, sur leur téléphone cellulaire.

Une autre forme d’intimidation par messagerie texte consiste à répandre des rumeurs rapidement en utilisant son téléphone cellulaire.

Toutefois, ce nouveau type d’intimidation en serait moins un basé sur la répétition, en comparaison avec la forme habituelle, soit face à face.

On a remarqué une augmentation du nouveau phénomène. Aux États-Unis, par exemple, 8 % des enfants l’ont vécu en 2008, et 6 % en 2009.

Si les chercheurs font remarquer ces faits aux parents, ils les encouragent malgré tout à demeurer calmes devant cette situation. Selon eux, confisquer le téléphone cellulaire de son enfant n’est pas une solution. On devrait plutôt demeurer vigilant.