Catégories
Uncategorized

Pourquoi intégrer le plus de nourriture possible entre l’âge de 4 à 6 mois?

Topsanté.com rapporte l’explication du professeur Tounian, chef du service de nutrition pédiatrique à l’hôpital Armand-Trousseau de Paris. « Avant quatre mois, le système digestif et immunitaire n’est pas prêt, et après 6 mois, l’organisme tolère moins bien la diversification. »

Si certains parents trouvent que l’introduction d’une myriade d’aliments entre 4 et 6 mois représente un défi, ou que c’est trop tôt, il y a divers moyens. Il s’agit « de faire goûter des aliments à l’enfant avant 6 mois », indique Tounian.

Il est donc possible d’ajouter une cuillère de compote ou de purée directement dans le lait si l’enfant prend le biberon.

Le professeur affirme même qu’il n’y a pas de danger en ce qui a trait aux œufs, mais ils doivent être cuits dur. Pour le sucre, il croit que « trop de parents sont inquiets pour le poids de leur enfant ». On peut donc l’intégrer sans culpabilité, à condition de ne pas en abuser.

Finalement, avec les aliments réputés pour être allergènes (œuf, arachide, poisson, fruits exotiques et noix), on les introduit un à la fois, puis on attend quelques jours avant d’en introduire un nouveau. Il ne faut pas les mélanger.

Par la suite, diversifiez et mélangez des aliments non allergènes pour faire plaisir aux papilles.

Catégories
Uncategorized

Les parents n’encouragent pas suffisamment leurs enfants à manger des légumes

L’étude avait pour objectif de vérifier la variété des aliments proposés aux enfants. Les résultats se sont avérés plutôt surprenants. L’enfant moyen n’aurait que 5 variations de repas à l’heure du souper.

Female First rapporte les 5 repas les plus répandus :

1- Spaghetti bolognais – 43 %
2- Saucisses et frites – 40 %
3- Rosbif ou autre viande rôtie – 37 %
4- Saucisses et purée de pommes de terre – 35 %
5- Doigts de poissons frits et croustilles – 35 %

Trois parents sur cinq ont avoué que l’alimentation de leurs enfants était très limitée. Cependant, seulement 23 % d’entre eux ont affirmé qu’ils avaient tenté d’élargir les préférences alimentaires de leurs jeunes.

Les enfants seraient surtout difficiles et pour la plupart, refuseraient simplement de manger des légumes.

L’un des chercheurs s’est dit très surpris que si peu de parents tentent de modifier les habitudes alimentaires des enfants. « Il n’y a pas de solution magique pour les enfants difficiles, mais introduire un nouvel aliment à la fois, en petite portion, peut alléger la difficulté. »