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Cancer du sein : un gel non invasif pourrait remplacer la médication

Son avantage : les effets secondaires, tels que la formation de caillots sanguins seraient moindre.

L’application du gel à base de tamoxifène, pendant 6 à 10 semaines, a réduit la croissance des cellules cancéreuses autant que le médicament par voie orale. C’est ce qu’ont démontré les résultats de cette recherche de Northwestern, parue dans la revue Clinical Cancer Research.
 
Le gel a été appliqué directement sur les seins des femmes atteintes d’une ou de plusieurs tumeurs cancéreuses. Absorbé à travers la peau et directement par le tissu du sein, le gel implique des niveaux moins élevés de médication dans le sang et diminue les risques de formation de caillots sanguins.
 
« Le gel minimise l’exposition du reste du corps et permet une concentration du médicament in situ, en évitant le risque de formation de caillots ou de développement de cancer de l’utérus », précise le Pr Khan de l’Université Northwestern Feinberg School of Medicine. 
 
Le nouveau gel pourrait dorénavant faire compétition à la médication orale et encourager les femmes effrayées par les effets secondaires incommodants à poursuivre leurs traitements, explique le site Santé Log.
 
Crédit photo : Monkeybusinessimages/Bigstock.com
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Un examen du côlon plus simple et aussi efficace pour les femmes

Les femmes de moins de 70 ans ont un risque plutôt faible de voir apparaître une grosseur anormale dans la partie supérieure du côlon, suggère une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ainsi, toujours selon les chercheurs de l’étude, plusieurs femmes pourraient opter pour des tests de dépistage du cancer du côlon plus simples, moins intrusifs et tout aussi efficaces.

Même si plusieurs autres types de tests sont offerts, et même si les spécialistes américains ne recommandent une colonoscopie que tous les dix ans pour les femmes âgées de 50 ans et plus (en plus d’autres tests sporadiques), il semble que le choix de prédilection dans le domaine demeure le plus invasif et onéreux.

Thomas Imperiale, un gastro-entérologue de l’Université de l’Indiana, met en garde contre ce choix. Selon lui, les gens croient trop aisément que de subir une colonoscopie est suffisant, et qu’aucun autre test n’est nécessaire.

Il explique : « Plusieurs personnes ne subissent aucun autre test de dépistage du côlon, car ils croient qu’une colonoscopie est suffisante et indispensable. Il existe d’autres avenues ».

Ainsi, il est suggéré d’en discuter avec son médecin, afin de trouver les meilleures solutions de dépistage pour vous.