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Des chercheurs réussissent à « inverser » l’obésité chez des souris

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des chercheurs sont parvenus à « inverser » le processus qui mène à l’obésité chez des souris, en isolant et en manipulant une protéine de l’organisme.

Ainsi, selon ce qu’explique santelog.com, les chercheurs d’une équipe internationale ont réussi l’exploit en favorisant la production de la tyrosine protéine kinase-2 (que nous appellerons Tyk2 pour plus de clarté).

La Tyk2 est une enzyme qui permettrait la régulation du poids et donc de l’obésité. Ces théories et observations ont été publiées dans la plus récente édition du magazine scientifique Cell Metabolism.

Le fait d’avoir réussi ce tour de force chez les rongeurs laisse croire qu’ils pourraient reproduire le « traitement » aussi chez l’humain.

C’est la découverte du « tissu adipeux brun » actif chez l’adulte qui a mené à ces conclusions, puisque l’on croyait depuis longtemps que ce type de tissu n’était actif que chez les bébés.

Une corrélation entre ce tissu adipeux et la Tyk2 a ensuite été énoncée, puis maintenant prouvée, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées par les chercheurs.

Le professeur Andrew Larner a bon espoir de voir cette enzyme produire d’excellents résultats, et même un jour peut-être inverser carrément le phénomène d’obésité.

D’autres tests et études sur le sujet sont à venir.

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Les cellules souches à la rescousse du coeur

Si le débat des cellules souches continue de faire rage, il faut avouer que les plus récentes découvertes dans le domaine sont fort prometteuses.

Difficile de repousser le concept du revers de la main lorsqu’on constate que le principe pourrait sauver des milliers de vies, et Santelog.com rapporte une nouvelle percée importante, qui touche cette fois la cardiologie.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont en effet annoncé qu’ils pourraient parvenir à « réparer » un cœur malade grâce aux cellules souches, en transformant des cellules plus vieilles et usées par de toutes nouvelles.

Publiées dans la plus récente édition du Journal of the American College of Cardiology, ces conclusions risquent de créer une onde de choc dans le domaine médical.

Les chercheurs soulignent également le fait que, contrairement à une transplantation cardiaque, ce procédé élimine toute possibilité de rejet de la part du patient.

Le professeur Milica Radisic explique : «Nous pourrons bientôt créer des tissus meilleurs pour réparer les lésions telles que celles causées par les anévrismes ou les crises cardiaques ».

Ce principe d’inversement des cellules est qualifié de véritable « fontaine de jouvence » par les auteurs de ces recherches.