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Des chercheurs découvrent la fontaine de jouvence

Ce titre peut sembler sensationnaliste, mais s’avère pourtant un bon indicateur de la vérité. En effet, des chercheurs de Harvard et de l’Université New South Wales publient les conclusions issues de leurs travaux et prétendent avoir découvert ni plus ni moins que la fontaine de jouvence!

On apprend des résultats de ces recherches, par ailleurs rapportés par Radio-Canada, qu’un procédé d’inversement du vieillissement testé sur des rongeurs aurait permis à ces derniers de « rajeunir » d’une année et demie.

Cette véritable boîte de Pandore semble prometteuse à bien des égards, surtout pour les amateurs de jeunesse éternelle, mais les chercheurs se gardent bien de faire des projections quant à la possibilité d’utiliser le procédé sur des humains.

Au-delà de l’immortalité ou de la jeunesse éternelle, les propriétés les plus concrètes pourraient toutefois consister en une amélioration de la qualité de vie lors du vieillissement chez l’homme, comme le croît le médecin Luc Bessette.

« Ce qui est intéressant, ce n’est pas la possibilité d’allonger la vie des gens, mais de leur permettre de vieillir plus correctement. On peut penser entre autres à repousser les souffrances des personnes atteintes de maladies dégénératives, comme le Parkinson ou l’Alzheimer. Si on pouvait permettre aux gens de vieillir jusqu’à 75, 80 ans et d’être malades seulement un an ou deux avant de mourir plutôt que 20 ans, ce serait une révolution », lance Bessette, réaliste mais confiant.

Quoi qu’il en soit, ces résultats réussis sur des souris nous propulsent aux portes de l’avenir, et en feront rêver plus d’un…

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Espoir majeur dans le traitement de la maladie d’Alzheimer

Santelog.com rapporte que des chercheurs des NIH (National Institutes of Health) affirment avoir réussi à inverser le processus de la maladie d’Alzheimer chez des souris, pavant ainsi la voie à de nouvelles possibilités de traitement.

C’est toute une nouvelle que cette percée, alors que la maladie d’Alzheimer fait encore et toujours des ravages partout sur la planète.

Les chercheurs auraient utilisé une molécule du nom de TFP5 pour bloquer le signal cérébral qui poserait problème dans les cas de cette maladie, ce qui aurait eu pour effet d’inverser les symptômes communs et de rétablir la mémoire.

Le tout est d’autant plus incroyable que les spécialistes parlent maintenant d’essais cliniques à court terme, c’est-à-dire des tests sur des patients humains.

On ne rapporte pas, ou très peu, d’effets secondaires sur les sujets rongeurs, et on souhaite bien entendu que le modèle soit identique sur l’être humain.

Il s’agit d’un espoir majeur pour toute la population, mais surtout pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie et ceux qui les entourent.

On attend maintenant avec impatience la suite des choses.

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Les réactions face au stress seraient influencées par les neurones

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont réussi à identifier un processus cérébral qui pourrait expliquer pourquoi certaines personnes réagissent mieux que d’autres en situation de stress.

Il s’agit en fait d’un système précis de circuits cérébraux qui déclenchent une réaction de résilience ou de susceptibilité accrue face à des éléments stressants ou angoissants.

On croit que ce système est celui qui peut mener certaines personnes vers des états dépressifs lorsque confrontées à des événements ou des épreuves difficiles. On croit donc que certaines nouvelles méthodes pourraient être appliquées dans le traitement de la dépression ou de l’anxiété chronique, notamment.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont reproduit ce système sur des souris, en augmentant ou en inhibant le processus en question. Pour y parvenir, on a créé un système précis par luminosité, qui ne dure qu’une fraction de seconde.

Les rongeurs ont alors réagi exactement comme on le prédisait. Les souris plus « fortes » ont sombré dans des états dépressifs lorsque placées en situation de stress, alors que les souris plus anxieuses ont semblé plus résilientes, soudainement.

Le Dr Ming-Hu Han, de la Mount Sinai School of Medicine de New York, explique : « Pour la première fois, nous avons démontré qu’un contrôle spécifique de certains circuits du cerveau peut changer immédiatement les comportements dépressifs ou anxieux, notamment avec notre méthode, en utilisant une lampe DEL ».