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Une carence en iode chez la mère peut avoir des conséquences sur le cerveau du bébé

Selon le pédiatre de l’Académie de pédiatrie américaine, Dr Paulson, « les problèmes de développement du cerveau d’un bébé sont très subtils et ne sont pas susceptibles d’être remarqués rapidement, peu importe l’enfant ».

Moins d’une femme sur cinq prend des suppléments iodiques pendant la grossesse. Or, un manque d’iode peut avoir des conséquences à long terme sur le développement du cerveau du bébé.

« Les enfants qui ont souffert d’une carence en iode peuvent éventuellement avoir plus de difficultés d’apprentissage. C’est un problème pour la société dans son ensemble lorsque vous avez un grand nombre d’enfants qui n’ont pas atteint leur plein potentiel de développement », insiste le Dr Paulson.

Même après la grossesse, si la femme donne le sein, elle a tout intérêt à maintenir un apport suffisant en aliments riches en iode.

Top santé vous guide vers ces aliments, afin de prévenir toute carence : le poisson, les algues et les fruits de mer, les œufs, les produits laitiers, les épinards et le cresson.

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L’iode dans le pain est insuffisant pendant la grossesse

Publiée sur le site MedicalXpress, une étude menée par l’Institut Robinson de l’Université d’Adélaïde en Australie a démontré que la consommation de pain iodé n’empêchait pas les carences en iode auprès des femmes enceintes et leur bébé à naître.

L’auteure de la recherche, la professeure Vicki Clifton, mentionne que malgré que ce ne soit pas largement connu, l’iode est un élément nécessaire pour le bon développement du cerveau humain ainsi que pour celui des fonctions thyroïdiennes.

Elle explique : « En 2009, les producteurs de pain australiens ont mis en place un programme obligatoire exigeant l’utilisation de supplément d’iode dans le pain afin de renforcer son apport à la communauté. Notre étude visait à déterminer s’il y avait un impact positif sur les femmes enceintes ».

Malgré l’effort des producteurs, les résultats ont dévoilé une carence de l’élément chimique chez les participantes. Ceci dit, les chercheurs insistent auprès des futures mamans pour qu’elles ne se fient pas qu’à ce produit, qui leur donne l’impression d’obtenir les doses nécessaires.

Il est recommandé de prendre des suppléments d’iode afin d’éviter des problèmes de développement du cerveau du foetus, en plus de maintenir un niveau suffisant pour sa propre santé.

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Carence d’iode – à éviter pendant la grossesse

Parfois, les recherches font la lumière sur des résultats inattendus. Ceux-ci peuvent cependant s’avérer très utiles. Une étude australienne a récemment démontré qu’une carence en iode durant la grossesse entraînait des retards d’apprentissage chez l’enfant.

Ce sont 228 enfants qui ont été suivis dans leur développement scolaire. Toutes les mères avaient été suivies par la même clinique pendant leur grossesse, entre 1991 et 2001. C’est en voyant les résultats de tests de mathématiques des enfants que les chercheurs ont fait une corrélation entre la carence en iode et l’intelligence de ces derniers.

À partir de ces résultats, les autorités responsables ont émis une recommandation afin que les femmes enceintes australiennes soient mieux suivies afin qu’elles consomment suffisamment d’iode.

On retrouve cet oligo-élément dans les fruits de mer, mais aussi dans les algues et les poissons. Ce qu’on ne sait pas nécessairement, c’est que les viandes, les produits laitiers et les haricots verts contiennent aussi de l’iode. Vous pouvez également ajouter du sel de table, du soja et de l’ail à vos mets.

Sachez qu’une importante carence en iode peut réellement mener à des troubles mentaux sévères chez les enfants, puisqu’il agit directement sur certaines fonctions du cerveau. Il est donc essentiel à votre régime alimentaire pendant la grossesse.

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La carence en iode des adolescentes serait causée par une faible consommation de lait

Le lait a de nombreux bienfaits pour la santé. Malheureusement, il a aussi mauvaise presse, car certains croient qu’il est lié à une prise de poids, alors qu’il n’en est rien.
 
Cette fausse croyance a eu comme impact de diminuer considérablement la consommation de lait, surtout chez les adolescentes qui souhaitent ressembler à leurs idoles sveltes. Ainsi, cela provoque des carences en iode chez les jeunes filles, selon ce que croient des chercheurs qui se sont penchés sur la question.
 
Dans les dix dernières années, la consommation annuelle de lait est passée de 96 litres à 82 litres par personne, rapporte le Daily Mail.
 
Pourtant, le lait n’est pas seulement pour les enfants. Il est riche en nutriments et vitamines et il apporte notamment le calcium qui renforce les os. Un verre de lait de 200 ml comporte environ 134 calories, ce qui est nettement moins qu’une barre de chocolat.
De plus, il existe une panoplie de laits enrichis, biologiques et même de soya pour ceux qui seraient intolérants au lactose. Il faut toutefois éviter de consommer le lait cru, car n’ayant pas été pasteurisé, il est plus susceptible de contenir des bactéries nuisibles pour la santé.
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Bonne et mauvaise nouvelle concernant le sel

En ce moment, de nombreux pays tentent de réduire leur consommation de sodium. Au Canada, d’ici 2016, on souhaite que la population réduise son apport quotidien en sel de 3 400 à 2 300 mg.
 
Toutefois, le sel n’a pas que de mauvais côtés. Une récente étude parue dans l’American Journal of Hypertension révèle que l’iode du sel peut prévenir les problèmes de thyroïde chez les adultes et les retards de développement chez les enfants.
 
Le sel de table représente 11 % de l’apport quotidien en sodium chez les Canadiens, mais aussi 50 % des 150 microgrammes en iode dont le corps a besoin quotidiennement. On évalue donc maintenant le rôle joué par les sels iodés.
 
Si les recherches approfondies se confirment, on souhaite pouvoir modifier le niveau d’iode dans le sel afin qu’une petite quantité seulement soit bénéfique pour la santé. Avant d’emboîter le pas, les scientifiques souhaitent amasser plus de preuves.
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Le sel, pas si nocif pour le coeur

Une nouvelle recherche a causé la surprise en annonçant ses résultats : proscrire le sel de son alimentation serait pire pour le coeur que consommer trop de sel.

Le Dr Hillel W. Cohen et ses collègues se veulent toutefois prudents dans leurs conclusions en affirmant que les personnes consommant peu ou pas de sel ont 80 % plus de risques de souffrir d’une maladie cardiovasculaire, comparativement aux personnes qui consomment beaucoup de sel.

Pour en arriver à ces résultats, les scientifiques ont analysé les dossiers médicaux de 8 700 Américains âgés de plus de 30 ans.

Cette découverte médicale détruit donc le mythe voulant que le sel augmente l’incidence de haute pression et ainsi le risque de crise cardiaque.