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L’industrie du boeuf veut irradier votre viande

C’est toute une nouvelle qui nous parvient de CTV News, alors que le réseau de nouvelles rapporte une idée avancée par l’industrie canadienne du bœuf qui risque de ne pas faire l’unanimité.

Les industries alimentaires spécialisées dans le bœuf souhaitent utiliser une technique pour enrayer définitivement le problème de la bactérie E. Coli qui frappe sporadiquement à travers le pays.

Une technique… par irradiation. On veut en effet bombarder la viande de bœuf d’une énergie similaire à celle déployée par les rayons X et ainsi tuer dans l’œuf (ou dans le bœuf) tout risque de prolifération de l’E. coli.

« L’irradiation de la nourriture est probablement la plus efficace des interventions qu’on n’a pas encore utilisées. Lorsque vous ajoutez l’irradiation, en plus du système de sécurité existant, on pourrait essentiellement éliminer toutes les maladies liées à l’E. coli dans les produits du bœuf », lance avec désinvolture Mark Klassen, de l’association militante.

Si cela peut choquer, on apprend du même coup que l’on mange déjà de la nourriture irradiée, puisque la technique serait déjà appliquée sur les pommes de terre, les oignons ainsi que les épices, entre autres.

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Le Canada envisage l’irradiation des aliments

Alors que la bactérie E. coli continue de faire des ravages en Europe, avec 29 morts et 2 900 malades, les autorités canadiennes débattent de la possibilité d’irradier les aliments qui entrent au pays.
 
Cette méthode consiste à exposer brièvement les aliments aux rayons gamma ou aux faisceaux d’électrons qui tuent la bactérie E. coli et la salmonelle. Une quarantaine de pays utilisent cette technique. Au Canada, on permet d’irradier les oignons, les pommes de terre et la farine.
En 2002, Santé Canada avait voulu allonger la liste, mais le peu de demandes en ce sens et l’impopularité de la méthode dans la population a fait en sorte que cela n’a pas été fait.
 
Aujourd’hui, les représentants fédéraux du secteur de l’agriculture discutent de sécurité alimentaire et la possibilité de procéder à l’irradiation de plus d’aliments a été soulevée.
 
Jusqu’à présent, aucun aliment au Canada n’a été contaminé par la bactérie E. coli. On compte un seul malade, un Ontarien qui a mangé de la salade lors d’un voyage en Allemagne.
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Du poulet sans bactérie

Des chercheurs de l’Université de l’Arkansas prétendent que l’ajout de la mixture d’acides organiques et d’extraits de plantes réduit considérablement les bactéries pathogènes dans les poitrines de poulet. De plus, s’il y a irradiation, c’est encore mieux!

Techniquement, les agronomes ont ajouté des acides acétiques, citriques, lactiques et tartriques, en plus des extraits de thé vert et des pépins de raisins, pour diminuer la présence des bactéries E coli et de salmonelle dans la viande blanche.

« Nous devons déterminer la plus petite quantité d’extraits de plantes que nous pouvons ajouter et le bon dosage d’irradiation pour qu’il y ait le plus d’effets bénéfiques », a mentionné Navam Hettiarachchy, qui supervise les travaux et affirme que l’irradiation modifie légèrement la couleur et la texture du poulet.

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L’irradiation pour contrer la listériose

Afin d’enrayer les bactéries dangereuses qui prolifèrent dans certains aliments, Santé Canada prévoit faire irradier le boeuf, le poulet, les crevettes et les mangues, selon ce rapporte le quotidien Le Devoir.

Cette opération consiste à exposer les aliments aux rayons gamma du cobalt 60.

En 2004, l’agence de santé fédérale souhaitait apporter une modification à la loi afin d’ajouter quelques aliments à la liste de ceux qui devaient être irradiés. Devant les nombreux cas de listériose, Santé Canada ressort ce projet, qui avait avorté en raison des craintes des consommateurs.

Des consultations publiques sur le sujet se tiendront dans quelques villes canadiennes, dont Montréal et Toronto.

Au pays, les fabricants peuvent déjà irradier les pommes de terre, les oignons, les farines, les épices et les aliments déshydratés.