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Un antioxydant pourrait améliorer la qualité de vie des enfants autistes

De 60 à 70 % des enfants autistes sont facilement irritables, et trouver un traitement pour l’autisme fait partie des priorités des chercheurs, incluant Antonio Hardan, médecin et auteur principal de la nouvelle étude pilote réalisée par l’École de médecine de l’Université de Stanford et de l’Hôpital pour enfants Lucile Packard.

Pour aider le comportement des enfants autistes, ce sont des antipsychotiques de deuxième génération qui sont administrés aux enfants. Les antipsychotiques peuvent provoquer des effets secondaires importants comme le gain de poids, un risque de diabète plus élevé et la production de mouvements involontaires.

Testé pendant 12 semaines auprès de 31 enfants souffrant d’autisme, le supplément d’antioxydant CNA a permis de réduire le taux d’irritabilité de ces derniers de 13,1 à 7,2 sur l’Aberrant Behavior Checklist, une échelle fréquemment utilisée en clinique pour évaluer l’irritabilité.

Bien que des résultats soient moins spectaculaires qu’avec les antipsychotiques, le traitement par antioxydant a toutefois donné des effets secondaires moins graves. Les enfants souffraient surtout de constipation et de perte d’appétit.

Les constatations des chercheurs parues dans le Biological Psychiatry doivent être confirmées avant que le CNA ne soit prescrit ou recommandé aux enfants autistes.

En lien avec des études antérieures qui ont suggéré que l’autisme était lié à un déséquilibre des neurotransmetteurs excitateurs et inhibiteurs dans le cerveau, le CNA pourrait moduler ces derniers et être utile, avancent les scientifiques.

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Un antioxydant pourrait améliorer la qualité de vie des enfants autistes

De 60 à 70 % des enfants autistes sont facilement irritables, et trouver un traitement pour l’autisme fait partie des priorités des chercheurs, incluant Antonio Hardan, médecin et auteur principal de la nouvelle étude pilote réalisée par l’École de médecine de l’Université de Stanford et de l’Hôpital pour enfants Lucile Packard.

Pour aider le comportement des enfants autistes, ce sont des antipsychotiques de deuxième génération qui sont administrés aux enfants. Les antipsychotiques peuvent provoquer des effets secondaires importants comme le gain de poids, un risque de diabète plus élevé et la production de mouvements involontaires.

Testé pendant 12 semaines auprès de 31 enfants souffrant d’autisme, le supplément d’antioxydant CNA a permis de réduire le taux d’irritabilité de ces derniers de 13,1 à 7,2 sur l’Aberrant Behavior Checklist, une échelle fréquemment utilisée en clinique pour évaluer l’irritabilité.

Bien que des résultats soient moins spectaculaires qu’avec les antipsychotiques, le traitement par antioxydant a toutefois donné des effets secondaires moins graves. Les enfants souffraient surtout de constipation et de perte d’appétit.

Les constatations des chercheurs parues dans le Biological Psychiatry doivent être confirmées avant que le CNA ne soit prescrit ou recommandé aux enfants autistes.

En lien avec des études antérieures qui ont suggéré que l’autisme était lié à un déséquilibre des neurotransmetteurs excitateurs et inhibiteurs dans le cerveau, le CNA pourrait moduler ces derniers et être utile, avancent les scientifiques.

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Les raisons du SPM

Une étude parue récemment dans le Biological Psychiatry nous apprend que le SPM serait dû à la réponse de cellules du cerveau. Celles-ci, nommées les récepteurs GABA, causeraient une instabilité de l’humeur.

Le syndrome prémenstruel est connu pour causer de l’irritabilité, voire de l’anxiété. On croit depuis longtemps qu’il serait d’origine hormonale au lieu de cérébrale.
 
Cette découverte a été faite par des chercheurs de l’Université de la Californie qui ont fait passer des imageries à résonnance magnétique à des patientes qui avaient un trouble dysphorique prémenstruel, lequel est plus sévère que le syndrome courant.
 
L’une des fonctions des cellules GABA est de réguler le stress et l’anxiété. La progestérone, chez les femmes ayant un trouble dysphorique, affecterait ces cellules du cerveau, d’où la maîtrise plus difficile des émotions.

Bien que ces résultats aient été obtenus auprès de patientes ayant un SPM sévère, cette explication s’applique à toutes les femmes.

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Le sevrage de la cigarette, plus difficile pour les femmes

Un sondage Angus Reid, mené pour le compte de Johnson & Johnson, nous apprend que les femmes sont plus préoccupées par l’irritabilité et le gain de poids provoqués par le sevrage de la cigarette, au point où elles remettent en question l’abandon de cette habitude.

77 % des répondantes ont affirmé être inquiètes à l’idée d’engraisser lors de l’arrêt du tabagisme, comparativement à 48 % de la gent masculine.

De plus, dans 10 % des cas, les femmes interrogées ont avoué griller des cigarettes dans l’espoir de mieux contrôler leur poids, voire même maigrir.

« L’image de soi chez la femme est très souvent biaisée et tend à encourager un tel comportement », a expliqué Nadine Bonneville, nutritionniste et intervenante en cessation tabagique à la Clinique d’aide aux fumeurs de l’Hôpital Laval de Québec.