Étiquette : Jack White

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Tom Jones a enregistré un simple avec Jack White

Tom Jones a enregistré avec Jack White une version de sa chanson Jezebel datant de 2002.

Le crooner anglais de 71 ans fera également une reprise d’un classique du blues, la pièce Evil de Howlin’Wolf.

Jack White s’est entouré de plusieurs artistes, dont Tom Jones, pour enregistrer des chansons dans le cadre de ses Blues Series produites par son étiquette, Third Man Records.

Jones a beaucoup travaillé avec de jeunes artistes. Il a chanté des duos avec des stars comme Stereophonics, Robbie Williams, The Cardigans et Natalie Imbruglia sur son album Reload.

Cependant, l’artiste a admis l’année dernière qu’il ne sait pas combien de temps il tiendra encore dans l’industrie musicale : « Quand on vieillit, le temps devient plus court, et c’est ça le problème ».

« C’est un fait. Je ne sais pas combien de temps je peux continuer. Ce n’est pas comme quand j’avais 50. Mais je ne vais pas me plaindre, parce que je chante et ça ne m’affecte pas encore », a-t-il ajouté.

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Un quatuor découvert par Jack White

Un tout nouveau groupe féminin, The Black Belles, fait paraître son premier album éponyme.

Le quatuor a été découvert par nul autre que Jack White. Le guitariste et chanteur, producteur et acteur, meneur des White Stripes et d’autres formations, a permis au groupe de Nashville émergent d’enregistrer son premier disque.

White est maintenant le directeur de l’étiquette de disques Third Man Records, et il semble motivé à faire découvrir de nouveaux talents musicaux.

The Black Belles avait déjà fait paraître deux premières chansons. La première piste, What Can I Do, est devenue le thème de l’émission de télévision Elvira’s Movie Macabre. La deuxième chanson, Charlene 11, a propulsé les artistes aux côtés de l’humoriste et animateur Stephen Colbert.

Honky Tonk Horror, le premier simple des Black Belles, met bien en évidence leur style rock garage. L’album éponyme de 11 chansons sera finalement en magasins à compter du 2 décembre.

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La version de Love is Blindness de Jack White est en ligne

Pour souligner le 20e anniversaire de l’album Achtung Baby de U2, le magazine britannique Q a demandé à une douzaine d’artistes de reprendre chacune des chansons de l’album. Cette compilation sera livrée gratuitement lors de la prochaine édition de la publication.

Parmi les artistes qui ont accepté de se prêter à l’exercice, le chanteur et multiinstrumentiste Jack White a décidé de se frotter à la dernière pièce de l’album, Love is Blindness, et le résultat est maintenant en ligne sur YouTube.

On y retrouve les racines blues de White, qui s’époumone à la limite de ses capacités vocales et amène la pièce plus loin que le groupe lui-même l’avait fait.

Parmi les autres artistes qui ont participé à AHK-toong BAY-bi, nom à résonance phonétique de cette compilation, on retrouve notamment Depeche Mode, Patti Smith et Damien Rice.

AHK-toong BAY-bi sera offert avec l’édition du magazine Q du 25 octobre, alors que la réédition d’Achtung Baby de U2 pour les 20 ans de l’opus arrivera le 1er novembre prochain.

Pour faire l’écoute de la version de Jack White de Love is Blindness.

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Achtung Baby aura droit à son album de reprises

Le magazine britannique Q est à l’origine d’un projet unique visant à souligner les 20 ans de l’un des albums les plus importants de la carrière de U2, le disque Achtung Baby.

C’est le chanteur et meneur de la formation, Bono, qui a fait l’annonce d’un album de reprises lors de son passage à Toronto dans le cadre du désormais célèbre Festival du film de la ville reine. On y présentait le documentaire From the Sky Down, relatant justement l’enregistrement de l’album fétiche à Berlin, entre octobre 1990 et septembre 1991.

Parmi les artistes qui se frotteront aux compositions d’Achtung Baby, on retrouve notamment Jack White (Love Is Blindness), Depeche Mode (So Cruel), Patti Smith (Until the End of the World) et Damien Rice (One).

À propos de cet album de reprises, Bono a déclaré : « C’est étrange, car quand j’écoute l’album, celui de U2, tout ce que j’entends est ce qui ne va pas. Mais lorsque j’ai écouté ces artistes le reprenant, j’ai pensé “C’est vraiment bon”. »

Cet album sera offert gratuitement avec le numéro du 25 octobre du magazine Q.

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Jack White continue son incursion dans le monde du rap

Après avoir produit une chanson pour Black Milk, un rappeur sous contrat avec son étiquette Third Man Records, le prolifique Jack White, anciennement des White Stripes et jouant maintenant au sein de The Raconteurs et Dead Weather, vient de produire une chanson pour le duo de rappeurs Insane Clown Posse.

Le duo originaire de Détroit, tout comme White, lance une nouvelle pièce intitulée Leck Mich Im Arsch. Produite par White, elle avait tout d’abord été composée par nul autre que Wolfgang Amadeus Mozart, qui l’avait écrite pour faire la fête avec ses amis.

C’est sur la base de cette musique que le duo amorce la chanson avec un monologue, avant de raper le reste de la courte pièce d’à peine plus de 3 minutes.

La chanson, qui sera la face A d’un simple, sera proposée en version numérique ou sur un vinyle de 7 pouces, comme c’est devenu la tradition chez Third Man Records.

Pour écouter le résultat de cette collaboration, on se rend ici.

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Jack White s’invite dans l’univers du hip-hop

Depuis plus d’une décennie, le nom de Jack White est toujours associé au rock, surtout un gros rock pesant et écorché qu’il a déversé dans nos oreilles avec The White Stripes, The Raconteurs et, dernièrement, The Dead Weather.

Fondateur aussi de l’étiquette Third Man Records, White joue souvent le rôle de producteur auprès de groupes émergents qu’il met sous contrat avec son étiquette.

Toutefois, le multiinstrumentiste vient de s’engager dans un tout autre style musical en produisant la chanson Brain du rappeur Black Milk.

Enregistrée en avril dans les Third Man Studios de Nashville, la chanson vient d’être lancée numériquement et, comme c’est souvent l’habitude de la maison, sur un vinyle de 7 pouces.

En plus de jouer le rôle de producteur, White a également prêté ses talents de musicien en jouant de la guitare sur Brain, tandis que la face B de simple, Royal Mega, le retrouve assis derrière sa batterie.

On peut écouter ces deux chansons ici.

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Jack White pourrait enregistrer la musique d’un film

S’il n’en tenait qu’à Ray Davies, le chanteur du légendaire groupe The Kinks, ce serait Jack White qui serait responsable d’enregistrer la bande sonore d’un film qui sera tourné prochainement, basé sur l’album Schoolboys In Disgrace que la formation a lancé en 1975.

Cet album concept, dont toutes les chansons ont été écrites par Ray Davies, raconte la disgrâce vécue par un groupe d’élèves malcommodes d’une école quand le directeur de l’institution décide de leur fait subir une punition en public. Il raconte également comment l’un d’eux grandira aigri pour devenir Mr. Flash, un personnage existant dans 2 autres albums concepts de la formation, Preservation Act 1 (1973) et Preservation Act 2 (1974).

Davies aimerait la participation de Jack White, car il est convaincu que ce dernier pourrait apporter quelque chose de différent aux pièces datant de 1975.

« Il est un grand joueur technique et il pourrait introduire un peu d’anarchie dans le tout, ce qui serait dans l’esprit du scénario », explique-t-il.

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Jack White donne un coup de main à Bob Dylan

Il y a quelques années, Bob Dylan s’est vu remettre une liasse de feuilles sur lesquelles étaient manuscrites des paroles de chansons de Hank Williams, un chanteur country légendaire décédé subitement à l’âge de 29 ans, avant d’avoir eu le temps de composer la musique qui les aurait accompagnées.

Le projet de Bob Dylan était alors de mettre en musique ces textes. Au lieu de tout faire lui-même, il a décidé de partager sa chance, demandant à une brochette d’artistes de choisir un texte dans le lot et d’en faire la musique.

C’est ainsi que Jack White a été contacté par Dylan, tout comme l’ont été Willie Nelson, Lucinda Williams et Alan Jackson.

White a confié à MTV News : « J’ai passé à travers la pile et l’un des textes m’interpelait sans cesse. Parfois, vous pensez que ce sera vraiment difficile de trouver son angle et soudainement, c’est lui qui vous parle. »

Hank Williams est décédé en 1953 à bord d’une voiture en chemin vers un concert, après qu’un médecin lui eut injecté un cocktail de vitamine B12 et de morphine pour calmer des douleurs au dos. Il a été l’un des précurseurs du style honky tonk.

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Jack White explique les raisons de la fin des White Stripes

Au début du mois de février dernier, Jack et Meg White ont annoncé la fin de leur collaboration en remerciant les fans pour leur soutien et en leur disant que le groupe leur appartenait désormais.

Ce week-end, Jack White est toutefois revenu sur cette séparation et a expliqué pourquoi les deux artistes avaient décidé de mettre fin à l’un des duos les plus populaires de la musique alternative des 10 dernières années.

Au journal The New York Times, Jack White a expliqué qu’il ne sentait plus que le groupe lui appartenait, que trop de gens lui posaient d’incessantes questions au sujet de leur travail et qu’il s’en était lassé.

« Les gens demandaient : “Pourquoi ne pas avoir fait ceci, pourquoi ne pas avoir fait cela? ou Ne devez-vous pas quelque chose aux gens, ou seulement à vous-mêmes?” Ce genre de questions. »

Poussant plus loin le parallèle avec d’autres artistes, White a conclu en expliquant « qu’un peintre peint ses toiles, un sculpteur sculpte ses sculptures et ils les font ensuite connaître au reste du monde, un point c’est tout. »

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Jack White ne veut plus se joindre à de nouveaux groupes

Au début du mois, Jack White a annoncé officiellement la fin des White Stripes, duo qu’il formait avec Meg White, son ancienne épouse.

L’inactivité des White Stripes durant plusieurs années, alors que Meg soignait une crise de stress aigu depuis 2007, a donné à Jack White l’occasion de fonder deux groupes parallèles, The Raconteurs et Dead Weather, qui ont lancé un total de 3 albums depuis ce temps.

Maintenant que l’aventure des White Stripes est terminée, Jack White affirme au magazine Q que plus jamais il ne se joindra à un nouveau groupe. Il juge que trois formations ont été suffisantes pour lui et qu’il préfère se concentrer sur celles dont il fait partie, en plus de s’occuper de son étiquette de disques, Third Man Records.

En plus, White touche de plus en plus à la production d’albums, notamment celui de sa femme, la mannequin Karen Elson, ainsi que le dernier opus de la légende Wanda Jackson, intitulé The Party Aint Over.