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Jacynthe René : Se libérer de ses obsessions

Depuis une quinzaine d’années, Jacynthe René donne des conférences pour aider les gens à trouver leur bonheur et à traverser les épreuves. Malgré sa jeune vie, elle a dû surmonter bien des obstacles pour toucher enfin au bonheur, à la campagne, à quelques minutes de Montréal, avec son conjoint et ses deux enfants, Louis, 9 ans, et Charles, 3 ans.

« J’adore donner des conférences et rencontrer les gens. Je peux comprendre plusieurs troubles que les gens peuvent vivre, mais je suis la preuve qu’on peut s’en sortir quasiment avec plaisir. La société nous impose un mode de vie, et on rentre dedans sans se poser de questions. Moi, j’ai choisi un autre chemin. »

« Il y a trois ans, avec mon livre Respirer le bonheur, je voulais juste brasser les cartes et donner de nouvelles pistes aux gens. Je partageais ce qui avait fonctionné pour moi. Les gens voient qu’ils peuvent aussi le faire, et je ne parle pas du haut d’une fortune. J’ai été mère monoparentale, j’ai eu très peu de revenus à un certain moment et pendant plusieurs années, donc je sais que cela peut s’appliquer à tout le monde », confie Jacynthe René à BUM Interactif Groupe.

Ses conférences se divisent principalement en trois volets. Le premier est un parcours mieux-être, comme elle a choisi de vaincre certaines obsessions. « J’étais à deux cheveux de la mort. J’ai fait une crise cardiaque à un jeune âge. J’étais très mal dans ma peau. Entre celle que l’on connaît aujourd’hui et celle que j’étais, c’est le jour et la nuit. Je te jure qu’à ce moment, personne ne se retournait sur mon passage tellement je faisais peur. Mais je suis fière de m’en être sortie et de pouvoir donner de l’espoir maintenant. »

Le second volet parle d’harmoniser ses passions, la famille et l’amour. Elle-même passionnée, elle reconnait que les femmes se mettent énormément de pression, sans même qu’on leur demande, mais il faut trouver le moyen d’atteindre un équilibre et de prendre le temps de s’arrêter.

Finalement, sa conférence se termine sur la réalisation de ses idées. « Souvent, on a des idées et on les laisse aller sans prendre le temps de se questionner et de les suivre. J’ai eu l’idée folle d’ouvrir une école alternative. Tout le monde a essayé de me décourager, mais j’ai une tête de cochon, et maintenant, l’école est remplie au maximum et les enfants qui y sont sont heureux et épanouis. Je peux donc expliquer comment aller au bout et réaliser ses idées. »

Aujourd’hui, Jacynthe René est une femme épanouie qui souhaite partager son vécu afin que cela puisse en inspirer d’autres à choisir le bonheur.

Pour en savoir plus sur ses conférences, cliquez ici.
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Un rôle sur mesure pour Jacynthe René

« Je vais avoir un beau, très gros rôle. C’est vraiment un beau projet avec un producteur, un réalisateur et un auteur géniaux », a expliqué Jacynthe René à BUM Interactif.

Ce serait la première fois que la comédienne travaillerait avec ce réalisateur et cet auteur, dont elle ne peut dévoiler les noms. Cependant, elle dit les avoir déjà rencontrés.

« Ils m’avaient approchée à une autre époque, pour une série que je n’avais pas pu faire, et là, je retrouve le réalisateur et l’auteur », explique-t-elle.

En ce moment, l’équipe derrière la série est à l’étape de la présentation du projet.

Son dernier rôle au cinéma remonte à La ligne brisée, sorti en 2008, tandis que son dernier projet à la télévision date d’Au nom de la loi, qui a pris fin en 2005.

Depuis, l’actrice de 38 ans a donné naissance à un fils, Louis, et a animé l’émission Par ici la sortie sur la chaîne Mlle.

Rappelons que l’actrice a lancé 3 DVD de danse et a écrit un livre intitulé Respirer le bonheur. Elle ne compte pas, toutefois, écrire de nouveau prochainement.

« On me le demande, mais je ne suis pas rendue là », dit-elle. Par contre, elle donnera des conférences.

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Jacynthe René harcelée

Selon le Journal de Montréal, la comédienne de 33 ans, connue pour ses rôles dans Watatatow et Au nom de la loi entre autres, dit avoir été profondément bouleversée par son expérience avec le casting couch.

La vedette se confie : « J’aurais dû porter plainte, mais j’ai ensuite fait une dépression pendant trois mois et je n’ai pas travaillé pendant deux ans. »

René ne veut pas mettre tout le milieu artistique québécois dans le même bateau, mais elle affirme que le harcèlement sexuel est bien présent.

« Tout de même, quand j’ai partagé cette histoire-là avec mes amies du milieu, elles m’ont raconté d’autres choses », dit-elle.

Elle conclut : « Un chèque sous l’oreiller, par exemple. C’est isolé, mais ça arrive. Ça peut aussi se produire dans n’importe quel milieu», dit-elle.