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Découvrez le concombre citron

Si vous recherchez un nouveau légume à cultiver et à ajouter à vos salades et autres plats, voici une suggestion: le concombre citron!

Il s’agit d’une variété inhabituelle de cucurbitacé,  qui produit des fruits en forme de citron. Sa peau est jaune clair et sa chair  est blanche. 

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Il est rond, tendre et sucré, jamais amer et il pousse aussi gros qu’une balle de baseball. 

Ce concombre est mûr après environ 60 jours,

Cette variété ancienne pousse tout l’été, tant qu’on continue à cueillir.

Le concombre citron est très facile à cultiver, même dans les régions qui connaissent des étés plus courts, car ses fruits mûrissent plus vite que les autres concombres et qu’il a besoin de moins de chaleur que les autres variétés.

On doit cependant éviter de lui donner la pomme de terre, sauge et autres plantes aromatiques, comme voisins au jardin. Il vaut mieux privilégier le maïs et les radis dans les environs pour assurer le succès de la culture.

Ce concombre jaune citron vif est excellent cru et en tranches.  On l’utilise aussi dans les salades et pour les marinades. Il se conserve très bien au réfrigérateur.

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On conseille vivement de commencer les semis de ce concombre directement dans des pots de tourbe ou de les planter directement au jardin, car les plants de concombre n’aiment pas être transplantés. 

On commence les semis à l’intérieur, environ 2 semaines avant le dernier gel au sol, en plaçant 3-4 graines à ½ pouce de profondeur et en maintenant la température ambiante à au moins 25°C (80°F). 

Quand deux ou trois feuilles apparaissent sur chaque plant, on garde seulement le plant le plus fort, en coupant les autres aux ciseaux. 

On doit  penser à acclimater les plants avant de les transplanter au jardin, au moins une semaine après le dernier gel, quand la température de l’air extérieure est en moyenne de 16-18°C.  On plante en plein soleil, dans un sol riche.

À noter que les concombres apprécient la chaleur et ne peuvent pas supporter un léger gel. Si le froid menace de survenir, il faut couvrir les plants.

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Comme les concombres sont des « grimpeurs », il faut leur offrir un treillis, qui permettent de plus d’économiser l’espace et de faciliter la cueillette.

Pour récolter de bons concombres citrons, on mise sur l’humidité. Le sol doit toujours être gardé humide. Quand les plan ont grossit, on met du paillis ou de la paille afin de garder l’humidité et contrôler les mauvaises herbes.

On récolte les concombre citrons quand  ils affichent une circonférence de 2’’ environ. Ils auront ainsi meilleur goût!

On peut se procurer des graines de concombres citrons ici et ici, entre autres.

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5 trucs pour toujours réussir ses semis

La belle saison s’en vient et c’est le moment de penser à nos semis en vue d’avoir un potager généreux pendant l’été. C’est l’étape cruciale pour qui produit soi-même ses plants.

Pour réussir à obtenir des plants forts et productifs, il faut suivre quelques astuces.  En voici 5, pour y parvenir à coup sûr!

1. Suivre le calendrier lunaire

Depuis des lustres, des jardiniers suivent le cycle de la lune. Il faut suivre les phases lunaires, la position de l’astre et son ascension. Le calendrier lunaire se distingue en autre type de jours:

  • jours fruits/graines: pendant lesquels semer les fruits ou légumes-fruits (pommes les tomates, les aubergines, les courgettes, etc).
  • les jours racines: pour semer les végétaux dont on  mange les racines (les carottes, les pommes de terre, les betteraves…)
  • les jours fleurs : pour planter les fleurs ornementales ou comestibles (comme les oeillets d’Inde, la bourrache, etc).
  • les jours feuilles: pour les végétaux qu’on récolte pour leurs feuilles (comme la laitue, le céleri, les herbes aromatiques…)

On se réfère au calendrier lunaire pour savoir exactement que semer et quand dans les meilleures conditions.

On conseille de faire les semis en lune montante, la période pendant laquelle la sève circule et montre plus rapidement dans les végétaux. Cela favorise également la germination.

2. Faire tremper les graines 

Pour assurer un bon départ à la germination, il est bon de faire tremper les graines au préalable. Car certaines graines possèdent une enveloppe dure et épaisse et mettent beaucoup de temps à sortir de la terre. Comme par exemple, le persil le lupin, le pois ou la carotte. Le trempage les fera ramollir et Madera le germe à sortir.

Il suffit de mettre les graines dans un bol d’eau tiède ou chaude pendant une nuit. Ensuite, on peut semer!

3. Planter dans le bon contenant

Il y a plusieurs contenants sur le marché pour les semis. Le choix de ce contenant est important pour réussir les semis et garantit leur développement pendant les semaines qui suivront jusqu’à leur plantation en terre.

On doit opter pour des pots individuels profonds pour les  grosses graines ou à  croissance rapide.

On se tournera vers les plaques et plateaux  pour les petites semences (tomates, laitue) ou les semis de fleurs.

Les godets, pour sur part, son faits pour des semis individuels ou pour les plantes qui supportent mal le repiquage (comme les courges et courgettes, les melons, les aubergines…).

Utiliser du charbon de bois 

Le charbon de bois aide à lutter contre ce qu’on appelle la fonte des semis

C’est une maladie cryptogamique, qui est provoquée par un champignon et elle terrifie les jardiniers.

Une fois qu’elle sévit, il est presque impossible de s’en débarrasser. Les plants pourrissent alors à la racine, s’étiolent et meurent.

Le charbon de bois est une astuce naturelle pour prévenir la fonte des semis. Il absorbe l’excès d’unmidité et empêche les champignons de se développer. C’est aussi un très bon engrais!

On conseille d’ajouter de la poudre de charbon de bois dans le terreau (15 g de charbon pour 1 kg de terreau). On peut aussi en étaler une couche à  la surface du substrat. Une opération à répéter hebdomadairement.

5. Arroser correctement 

Les semis ont besoin d’un arrosage juste et modéré. Il faut absolument éviter de les noyer ou causer un excès d’humidité qui entraine les maladies.

On arrose les semis avec un pulvérisateur, en jet de pluie fine car il en faut pas déplacer ls graines lors du processus. On vise un substrat humide, mais non détrempé.

On doit arroser quand le terreau est sec.

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Ces arrondissements de Montréal distribueront gratuitement des végétaux en mai pour votre jardin!

Ah le printemps… c’est le moment de l’année où tout redevient plus beau, qu’on a la sensation de renaître, et ça redonne espoir! On a aussi pas mal plus de motivation pour faire des activités qui nous redonnent le sourire aux lèvres, et doit dire que parfois, ça ne doit pas coûter bien cher pour avoir du plaisir!

Si la saison douce vous donne envie d’améliorer votre pouce vert, on a une excellente nouvelle à vous annoncer! Une foule d’arrondissements de la ville distribueront très prochainement les matériaux nécessaires pour partir votre jardin! Eh oui, fleurs, paillis, compost et bien plus encore vous seront donnés GRATUITEMENT dans les semaines à venir!

Le 7 mai prochain, il y aura une distribution de compost pour les résidents de Lachine, alors que le 21 mai 2022, c’est dans l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension que les habitants mettront la main sur divers végétaux sans avoir à débourser un sou.

Dans le quartier Rosemont, vous aurez la chance de vous procurer des plantes potagères et des fleurs les 27 et 28 mai prochain. Si vous êtes résidents du Plateau Mont-Royal, vous pourrez aller chercher des annuelles, des vivaces, du compost et du paillis le samedi 28 mai de 10h à 15h à la Maison de l’Amitié, aux Amis du Champ des Possibles et dans un autre lieu à confirmer. À pareille date, c’est l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville qui fera la distribution de fleurs pour ses résidents.

Crédit:Markus Spiske via Pexels

Si vous souhaitez sauter sur l’occasion, on vous conseille cependant de visiter le site web de chaque arrondissement, puisque l’inscription est obligatoire pour la plupart des distributions de végétaux!

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Sortez les enfants de la maison à l’aide du jardinage

Parenting Squad vous aide à rendre ces moments intéressants et amusants, tant pour vous que vos enfants.

– Pensez légumes, mais aussi fruits sauvages, herbes fraîches, fleurs annuelles, vivaces et plantes de toutes sortes.

– Amenez vos enfants à la pépinière pour qu’ils voient l’ampleur de tout ce qui existe et afin qu’ils choisissent ce qu’ils préfèrent.

– Laissez-les aménager une jardinière ou un bout de vos plates-bandes à leur goût.

– Choisissez des plantes qui attirent les oiseaux et les papillons.

– Ajoutez beaucoup de couleur pour que vos enfants voient un arc-en-ciel de teintes lorsque les plants fleuriront.

– Achetez-leur chacun une plante dont ils prendront soin dans leur chambre.

– Encouragez-les à se salir et arrosez-vous avec le boyau d’arrosage pour ajouter une touche de plaisir.

Si vous réussissez à piquer la curiosité de vos enfants, l’an prochain, commencez vos plants à l’intérieur. Ils seront heureux de s’en occuper jusqu’à la transplantation à l’extérieur.

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Les passe-temps et activités physiques simples sont aussi bénéfiques pour votre santé

On vante sans relâche les bienfaits de l’activité et de l’exercice physique, avec raison, mais on oublie souvent l’impact d’une multitude d’autres « petites » activités sur l’organisme et sa santé.

Car après tout, une vie active implique quantité de gestes et d’activités, et ne se limite pas à trois joggings par semaine ou à un entraînement en salle.

C’est précisément ce que rapporte Top Santé, qui fait état d’une nouvelle étude ciblant les impacts des activités dites « non sportives », par exemple les arts visuels (bricolage, peinture, etc.), le fait de jardiner ou encore de simplement laver sa voiture ou faire le ménage.

L’étude suédoise, initialement publiée dans le British Journal of Sports Medicine, a déterminé les effets de ces passe-temps ou activités plus simplistes sur des personnes plus âgées, en analysant les réactions et les taux de mortalité d’un groupe de plus de 4000 personnes, toutes âgées de plus de 60 ans, sur une période de 12 ans.

Les résultats sont clairs : la pratique d’activités non sportives permet de réduire les risques d’infarctus et d’AVC de près du tiers (27 %).

« Une vie quotidienne généralement active, indépendamment du fait de pratiquer ou non de l’exercice régulièrement, est associée à la santé cardiovasculaire et à la longévité à ces âges », résume l’équipe de chercheurs qui dirige les travaux.

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Programme de jardinage et cuisine à l’école primaire

Medical News Today rapporte que des programmes de cuisine et de jardinage ont été intégrés dans le cadre scolaire de certaines écoles primaires de Melbourne, en Australie.

C’est un groupe de 764 élèves de la 3e à la 6e année qui ont participé au Stephanie Alexander Kitchen Garden Program. En tout, 45 minutes de jardinage par semaine, ainsi que 90 minutes de cuisine avec des spécialistes.

D’une part, les enfants apprenaient à cultiver les légumes et à entretenir le jardin, puis cuisinaient par la suite avec les aliments qu’ils avaient fait pousser. Pendant le programme, les jeunes apprenaient 3 ou 4 recettes simples.

Lisa Gibbs, responsable de la recherche, se dit ravie des résultats. « De nouveaux ingrédients et goûts ont été soumis aux enfants. En très peu de temps, presque tous les enfants étaient prêts à goûter un nouveau plat. Les professeurs de plusieurs écoles ont également noté une nette amélioration dans la qualité des dîners et collations que les jeunes apportaient à l’école après le début du programme. »

Les résultats sont publiés dans le Journal of Nutrition Education and Behavior, édition mars/avril 2013.

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Un musée du jardinage à Londres

Quand on sait que les Anglais aiment jardiner, on ne peut s’étonner qu’ils consacrent maintenant un musée à cette activité.

Le Garden Museum a ouvert ses portes en novembre dernier. Il a été installé dans une église médiévale sur les rives de la Tamise.

Situé à St Mary-at-Lambeth, près de Lambeth Bridge, le musée accueille en ce moment une rétrospective consacrée à Beth Chatto, une des paysagistes britanniques les plus influentes.

L’entrée au musée est gratuite et les touristes peuvent aussi admirer une collection d’aquarelles, de livres et de photographies.