Étiquette : Jean-François Mercier

Jean-François Mercier a annoncé sa rupture avec Claudia Brignoli sur sa page Facebook.

Rappelons que l’ex-candidate d’Occupation Double a été reconnue coupable de voie de fait et d’entrave au travail des policiers en décembre dernier.

Les événements se sont produits en 2009, après une soirée bien arrosée. La jeune femme était devenue incontrôlable, et une amie avait fait appel aux policiers et ambulanciers pour la maîtriser. Seulement, Brignoli avait résisté à son arrestation et frappé la policière avec son talon.

Claudia Brignoli avait plaidé l’intoxication au GHB pour expliquer son comportement.

Jean-François Mercier y était allé d’un long message de soutien envers sa copine sur sa page Facebook, mais c’est de la même manière qu’il annonce maintenant sa séparation.

« Je sais que ça va finir par sortir et qu’on ne me demandera pas la permission avant d’étaler ma vie sentimentale sur la place publique, alors j’aime autant vous l’annoncer moi-même. Je ne suis plus en couple avec Claudia. L’adversité peut nous rapprocher, mais elle peut aussi nous éloigner. Dans un contexte différent, ça aurait peut-être pu fonctionner parce qu’il y avait, et je crois qu’il y a encore, beaucoup d’amour entre nous. »

« Comme vous le savez tous, c’est déjà difficile de seulement être en couple, car nous traînons tous le poids de nos blessures passées avec nous. La vie agresse avec un acharnement qui dépasse l’entendement certaines personnes, aggravant le poids de ces mêmes blessures qui ne font qu’augmenter la difficulté de réussir sa vie amoureuse », écrit-il.

« J’ai le sentiment d’avoir tout fait pour être le meilleur amoureux possible. Évidemment, nous ne sommes pas sans reproche l’un envers l’autre, sinon nous serions toujours ensemble, mais je peux quand même dire que Claudia est une femme extraordinaire, et malgré la peine que j’ai, je suis vraiment reconnaissant d’avoir pu vivre une passion aussi dévorante et d’avoir eu la chance d’aller tester si ça pouvait réellement fonctionner nous deux. »

« Claudia et moi avons énormément de peine, mais avoir de la peine, ça fait partie de la vie. Peut-être qu’un jour, le contexte nous sera favorable, mais pour l’instant nous demeurons tout de même bons amis », termine-t-il.

Claudia Brignoli, candidate de la mouture 2008 d’Occupation Double et copine de l’humoriste Jean-François Mercier, a été reconnue coupable de voies de fait et d’entrave au travail des policiers, hier (17 décembre), à la Cour municipale de Repentigny.

Les événements se sont produits en 2009 après une soirée bien arrosée. La jeune femme était devenue incontrôlable, et une amie avait fait appel aux policiers et ambulanciers pour la maîtriser. Seulement, Brignoli aurait résisté à son arrestation et frappé la policière avec son talon.

Claudia Brignoli avait plaidé l’intoxication au GHB pour expliquer son comportement. « Ma cliente soupçonne qu’un des participants à cette fête aurait versé dans son verre, à son insu, du GHB, qui lui aurait causé un véritable “black-out”. Car elle se souvient qu’un homme lui tournait autour durant la soirée. Mais elle ne se rappelle plus quoi que ce soit jusqu’au lendemain matin, alors que sa mère est venue la chercher à l’hôpital. Elle ne savait même plus qu’elle avait téléphoné à sa mère pour qu’elle vienne la chercher », a déclaré l’avocate, Me Katia Leontieff, à Canoe.

D’ici 30 jours, on devrait savoir si la jeune femme fera appel de cette décision.

Jean-François Mercier y est allé d’un long message sur sa page Facebook pour soutenir sa douce. « Aujourd’hui, je suis triste. Ma blonde est en procès depuis trois ans et aujourd’hui, le verdict vient de tomber : coupable. Je ne suis pas un juriste. Je suis loin d’être impartial. Je suis le chum de la fille qui est anéantie par le jugement. »

Rappelant les faits et ce que sa blonde a traversé pendant trois ans, l’humoriste se questionne notamment sur la longueur des procédures et la nécessité d’un tel procès pour ce genre d’histoire.

L’humoriste termine en disant : « On attendait le verdict avec impatience. Je pensais qu’après tout ce qu’elle a vécu dans sa vie, que finalement la vie lui donnerait un “break”, mais non, elle est coupable. On pensait qu’elle sortirait la tête haute, mais non, c’est la honte. Je suis triste. J’ai mal et j’ai peur de la suite. Malgré qu’elle soit coupable, je vous assure que c’est une bonne personne. Il me semble qu’elle ne méritait pas ça ».