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Mike Ward: «Ils ne m’ont pas agressé»

Mike Ward se retrouvait sur le plateau de Tout le monde en parle afin de parler de son tout nouveau one-man-show, Modeste.

C’est dans le cadre de son passage au rendez-vous télévisuel dominical par excellence que l’humoriste est revenu sur l’épisode retiré en compagnie de Guillaume Latendresse et Maxim Lapierre. Ces derniers ont en effet posé des gestes largement discutables et qui pourraient être considérés comme une agression physique, mais pour Mike Ward, il n’en est rien.

«(…) Guillaume Latendresse et Maxim Lapierre, de La poche bleue, étaient tes invités. Et tu as retiré l’épisode quelques heures après sa diffusion, ça a fait beaucoup réagir. Toi tu as dit que ce sont eux qui te l’ont demandé. Il y a eu des moments malaisants là-dedans (…) Il y a des internautes qui ont dit que tu aurais été intimidé, ce que toi tu as nié (…) Les deux gars se sont excusés par voie de communiqué (…) Est-ce que les gars de La poche ont oui ou non dépassé les limites de ta propre poche?», demande le meneur de TLMEP, Guy A. Lepage.

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«Bien, moi, les gars… j’avais l’impression… c’était comme un party (…) Des fois dans un party, il y a du monde qui l’échappe. Tu es avec une matante ou un mononcle et ils sont dans ta bulle. Puis, c’est ça le feeling que j’avais, les gars l’ont juste échappé, ils étaient gossants (…)», explique d’abord Mike Ward.

«Selon la chroniqueuse de La Presse Nathalie Collard, les gestes de Lapierre et Latendresse ressemblent à une agression et il faut dénoncer ces comportements-là et non les minimiser au nom de l’humour ou de l’alcool. Es-tu d’accord avec elle?», veut ensuite savoir l’animateur.

«Bien, moi, c’était pas une agression, ils ne m’ont pas agressé. Puis, là, tu sais, d’essayer de faire comme si c’était une agression…c’était deux gosseux. On a tous des chums que sur la brosse, ils te touchent et te tapent sur les nerfs. C’était vraiment juste ça. C’était deux ost* de gosseux», ajoute Mike Ward.

Alexandre Barette, présent à titre de coanimateur, soulignait toutefois le fait que si les mêmes gestes avaient été posés sur une femme, on aurait parlé d’une agression sexuelle.

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Mike Ward révèle la somme astronomique qu’il a dépensée dans la saga judiciaire contre Jérémy Gabriel

Mike Ward a révélé la somme astronomique qu’il a dépensée dans la saga judiciaire contre Jérémy Gabriel, rapporte Le Sac de Chips

Avant d’évoquer ses dépenses judiciaires, l’humoriste s’est exprimé sur la 2e poursuite de la famille Gabriel.

« J’ai aucune idée qu’est ce qui arrive, mais je m’en cr*ss », a lancé Mike Ward. « Rendu là, c’est juste ridicule (…) Je pense pas que ça va aller en cour, mais ça me stress f*ck all », a-t-il ajouté.

C’est dans le cadre du What’s Up Podcast de Jerr Allain que l’humoriste a fait de grosses révélations. 

Après être revenu sur cette saga judiciaire qui a débuté en 2015 et qui s’est terminée en 2021 devant la Cour suprême du Canada qui lui a donné raison, Mike Ward a évoqué l’argent qu’il a dépensé dans cette bataille.

Selon ses dires, cela lui a coûté environ 450 000 $.

L’humoriste a cependant précisé qu’environ 50 000 $ ont été récoltés via des collectes de fonds. Il a également souligné que son gérant, Michel Grenier, s’est occupé de couvrir 20 % des frais judiciaires.

Crédit photo: Capture d’écran vidéo YouTube

Si son compte en banque a été marqué au fer rouge par cette saga judiciaire, Mike Ward affirme avoir été aussi marqué humainement par cette mésaventure.

« Ça a laissé des séquelles humainement. Humoristiquement, pas tant », a-t-il confié à Jerr Allain. Il a ajouté que cette bataille judiciaire « l’a vieilli en est*».

L’humoriste s’est également exprimé sur le système de justice et il n’a pas été tendre. « Je n’ai jamais eu confiance dans le système de justice », a-t-il lancé.

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Nouveaux rebondissements dans l’affaire Mike Ward

La mère de Jérémy Gabriel entend porter sa cause en appel devant les tribunaux, après avoir été déboutée devant la cour il y a un mois.

Sylvie Gabriel réclamait 84 600$ en dommages-intérêts à l’humoriste Mike Ward.  

L’avocat de la famille Gabriel, Me Stéphane Harvey a annoncé hier qu’il avait l’intention de porter la décision devant la Cour d’appel. Il soutient que le délai de prescription n’était pas échu comme l’a estimé le juge de première instance. 

Par contre, si la Cour d’appel confirme que la cour de première instance, l’affaire Mike Ward sera classée. En revanche, si la Cour d’appel donne raison au clan Gabriel, l’avocat de Mike Ward, Me Julius Gray a déjà évoqué la possibilité de retourner devant le plus haut tribunal du pays pour une seconde fois dans le dossier. 

L’affaire Mike Ward remonte à plus de 10 ans. L’humoriste avait fait des blagues sur le «petit Jérémy» atteint du syndrome de Treacher Collins.

Depuis, les deux clans se retrouvent régulièrement devant divers tribunaux.

En 2016, le Tribunal des droits de la personne du Québec avait donné raison à Jérémy Gabriel et sa mère qui devaient recevoir 42 000$ en dommages moraux et punitifs de la part de Ward.  

Cette décision avait été portée en appel par l’humoriste. La Cour d’appel avait statué que Jérémy Gabriel devait recevoir 35 000$ et avait annulé la somme de 7000$ que devait recevoir la mère.  

Mike Ward a toutefois défendu ses droits jusque devant la Cour suprême. Les juges ont établi à cinq contre quatre que le Tribunal des droits de la personne n’était pas l’endroit pour intenter une telle poursuite alors qu’il s’agissait d’une affaire de diffamation et non de discrimination.  

C’est à la suite de cette décision que Sylvie Gabriel a intenté une poursuite en diffamation de 84 600$ en Cour du Québec alors que Jérémy Gabriel a plutôt déposé une poursuite de 288 000$ également en diffamation devant la Cour supérieure du Québec.

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Nouveaux rebondissements dans l’affaire Mike Ward

La mère de Jérémy Gabriel entend porter sa cause en appel devant les tribunaux, après avoir été déboutée devant la cour il y a un mois.

Sylvie Gabriel réclamait 84 600$ en dommages-intérêts à l’humoriste Mike Ward.  

L’avocat de la famille Gabriel, Me Stéphane Harvey a annoncé hier qu’il avait l’intention de porter la décision devant la Cour d’appel. Il soutient que le délai de prescription n’était pas échu comme l’a estimé le juge de première instance. 

Par contre, si la Cour d’appel confirme que la cour de première instance, l’affaire Mike Ward sera classée. En revanche, si la Cour d’appel donne raison au clan Gabriel, l’avocat de Mike Ward, Me Julius Gray a déjà évoqué la possibilité de retourner devant le plus haut tribunal du pays pour une seconde fois dans le dossier. 

L’affaire Mike Ward remonte à plus de 10 ans. L’humoriste avait fait des blagues sur le «petit Jérémy» atteint du syndrome de Treacher Collins.

Depuis, les deux clans se retrouvent régulièrement devant divers tribunaux.

En 2016, le Tribunal des droits de la personne du Québec avait donné raison à Jérémy Gabriel et sa mère qui devaient recevoir 42 000$ en dommages moraux et punitifs de la part de Ward.  

Cette décision avait été portée en appel par l’humoriste. La Cour d’appel avait statué que Jérémy Gabriel devait recevoir 35 000$ et avait annulé la somme de 7000$ que devait recevoir la mère.  

Mike Ward a toutefois défendu ses droits jusque devant la Cour suprême. Les juges ont établi à cinq contre quatre que le Tribunal des droits de la personne n’était pas l’endroit pour intenter une telle poursuite alors qu’il s’agissait d’une affaire de diffamation et non de discrimination.  

C’est à la suite de cette décision que Sylvie Gabriel a intenté une poursuite en diffamation de 84 600$ en Cour du Québec alors que Jérémy Gabriel a plutôt déposé une poursuite de 288 000$ également en diffamation devant la Cour supérieure du Québec.

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Jérémy Gabriel fait son coming-out

Jérémy Gabriel a fait son coming-out, sur sa page Instagram, dimanche dernier. En effet, le chanteur a publié une conversation via l’application Grindr dans ses stories.

« Au risque de faire parler, j’ai décidé de mettre quelque chose au clair », a-t-il écrit.

« Donc, vous allez pouvoir arrêter de me signaler sur Grindr, ça nuit beaucoup à ma dating life lol », a-t-il ajouté.

« Donc, vous allez pouvoir arrêter de me signaler sur Grindr, ça nuit beaucoup à ma dating life lol »

Souvenons-nous qu’en février dernier, dans une entrevue pour le magazine Urbania, le jeune homme s’est confié sur les poursuites avec Mike Ward.

Il a commencé son discours en s’adressant au Jérémy Gabriel de 10 ans. Il a mentionné : « Quand tu avais à peu près 14 ans, tu vas entendre pour la première fois un humoriste faire un sketch sur ton handicap et aussi sur le fait que tu devrais mourir. Tu te demandes comment on fait pour faire des blagues sur la mort de quelqu’un ».

« Tu vas vivre de l’intimidation pendant un bon bout de temps […] pendant une nuit de tes 15 ans, tu vas te mettre la corde au cou et tu vas essayer de te pendre ».

Il explique ensuite que sa mère, l’ayant vu souffrir, a rempli un formulaire de plainte à la Commission des droits de la personne.

« Tu vas vivre avec le fait que les gens vont t’accuser de vouloir censurer, de vouloir être un adversaire de la liberté, un adversaire de l’humour », a-t-il continué.

Malgré le fait que la situation semble avoir été réglée en octobre dernier alors que la Cour suprême a acquitté l’humoriste, voilà maintenant que Jérémy Gabriel ainsi que sa mère reprennent le chemin de la justice.

C’est TVA qui a annoncé la nouvelle : « Le recours en discrimination n’est pas, et ne doit pas devenir, un recours en diffamation. M. Gabriel aurait pu intenter une action en diffamation », avait rappelé le tribunal lors du procès que le public croyait comme étant le dernier de cette saga.

Puis, rappelons que le 17 juin dernier, la Cour du Québec a rejeté le recours en diffamation de la mère de Jérémy Gabriel, qui a réclamé 84 600$ en dommages-intérêts à Mike Ward.

En effet, Sylvie Gabriel a intenté une nouvelle poursuite contre l’humoriste l’hiver dernier. Mike Ward a répliqué en déposant une demande en irrecevabilité et déclaration d’abus. Il a plaidé que la mère de Jérémy Gabriel utilisait « de manière excessive » la prescription du recours.

C’est Le Devoir qui a rapporté les propos de la juge Manon Gaudreault, qui a donné raison à Ward, déclarant irrecevable la demande de Sylvie Gabriel.

« On ne saurait reprocher à la demanderesse d’avoir, dans le contexte du présent dossier, tenté d’entreprendre le seul recours demeurant encore à sa disposition. Certes, il est tardif, mais il ne s’agit pas pour autant d’un comportement abusif », a écrit la juge.

Plus de détails suivront.

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La Cour du Québec rejette le recours de la mère de Jérémy Gabriel

La mère de Jérémy Gabriel a réclamé 84 600$ en dommages-intérêts à Mike Ward. Toutefois, la Cour du Québec a rejeté son recours en diffamation.

En effet, Sylvie Gabriel a intenté une nouvelle poursuite contre l’humoriste l’hiver dernier. Mike Ward a répliqué en déposant une demande en irrecevabilité et déclaration d’abus. Il a plaidé que la mère de Jérémy Gabriel utilisait « de manière excessive » la prescription du recours.

Deuxième revers pour Sylvie Gabriel

C’est Le Devoir qui a rapporté les propos de la juge Manon Gaudreault, qui a donné raison à Ward, déclarant irrecevable la demande de Sylvie Gabriel.

« On ne saurait reprocher à la demanderesse d’avoir, dans le contexte du présent dossier, tenté d’entreprendre le seul recours demeurant encore à sa disposition. Certes, il est tardif, mais il ne s’agit pas pour autant d’un comportement abusif », a écrit la juge.

C’est en février dernier, dans le cadre d’une entrevue pour Urbania, que Jérémy Gabriel s’est confié au sujet de cette nouvelle poursuite.

En effet, lui et sa mère ont réclamé 372 600$ à Mike Ward au total. De cette somme, 288 000$ sont réclamés pour Jérémy Gabriel et 84 600$ pour Sylvie Gabriel.

Dans l’entrevue, le jeune homme a commencé son discours en s’adressant au Jérémy Gabriel de 10 ans. Il a mentionné : « Quand tu avais à peu près 14 ans, tu vas entendre pour la première fois un humoriste faire un sketch sur ton handicap et aussi sur le fait que tu devrais mourir. Tu te demandes comment on fait pour faire des blagues sur la mort de quelqu’un ».

« Tu vas vivre de l’intimidation pendant un bon bout de temps […] pendant une nuit de tes 15 ans, tu vas te mettre la corde au cou et tu vas essayer de te pendre ».

Il a ensuite expliqué que sa mère, l’ayant vu souffrir, a rempli un formulaire de plainte à la Commission des droits de la personne.

« Tu vas vivre avec le fait que les gens vont t’accuser de vouloir censurer, de vouloir être un adversaire de la liberté, un adversaire de l’humour », a-t-il continué.

Malgré le fait que la situation a été réglée en octobre dernier alors que la Cour suprême a acquitté l’humoriste, voilà maintenant que Jérémy Gabriel ainsi que sa mère ont repris le chemin de la justice.

C’est TVA qui a annoncé la nouvelle : « Le recours en discrimination n’est pas, et ne doit pas devenir, un recours en diffamation. M. Gabriel aurait pu intenter une action en diffamation », avait rappelé le tribunal lors du procès que le public croyait comme étant le dernier de cette saga.

Rappelons que la famille du jeune chanteur avait porté plainte au Tribunal des droits de la personne. En 2016, le juge a accordé à M. Gabriel 25 000 $ en dommages moraux et 10 000 $ en dommages punitifs. L’humoriste avait immédiatement rétorqué en portant le jugement en appel.

« Il est venu briser tout ce qu’elle a bâti avec son fils », était-il inscrit dans le document de cour.

Sylvie Gabriel a affirmé avoir été dévastée par les blagues de Mike Ward lors de son spectacle, en 2015. Mme Gabriel a dit avoir tout fait pour consoler son fils qui se sentait ridiculisé, sans succès.

« Sur le plan personnel, elle est aussi affectée par les insinuations de M. Ward selon lesquelles elle aurait tiré profit de son fils […] alors qu’il n’en est rien », indiquait la poursuite.

Plus de détails suivront.

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Top 5 HPQ des nouvelles de la semaine [31 janvier au 4 février 2022]

Bienvenu dans notre nouveau segment « Top 5 HPQ des nouvelles de la semaine ». Dans cet article, vous trouverez un récapitulatif des nouvelles de la semaine qui ont fait le plus de bruits sur la toile, mais également sur les réseaux sociaux. Parfois amusantes, parfois tristes, nous les relaterons toutes afin que vous puissiez vous mettre à jour dans votre actualité artistique tous les samedis matin, en buvant votre café!

Aussi, ne manquez pas notre entrevue radio, à l’antenne de CNV avec moi-même, Pierre-Luc Houle, dès midi. Pour écouter la chronique HollywoodPQ en direct, c’est par ici.

Rita Baga en lice pour l’Olivier de l’année :

Excellente nouvelle pour Rita Baga, Jean-François Guevremont de son vrai nom, comme les nominations pour le prochain Gala Les Olivier ont été annoncées mardi en avant-midi. En effet ,l’humoriste et drag queen est en lice pour la catégorie Olivier de l’année. Rien de moins!

Rappelons que depuis sa sortie de Big Brother Célébrités, Rita Baga cumule les succès et semble complètement inarrêtable. Projet après projet, la drag superstar continue d’en mettre plein la vue à son public. Notamment avec sa plus récente tournée Créature, un spectacle acclamé par la critique. 

Voilà maintenant que Rita Baga sera potentiellement récompensée lors de la prochaine cérémonie des Olivier et pas besoin de vous dire qu’on CA-PO-TE!

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Jérémy Gabriel et sa mère poursuivent Mike Ward :

L’affaire judiciaire Jérémy Gabriel VS Mike Ward n’est finalement pas terminée comme le chanteur et sa mère poursuivent Mike Ward pour la somme totale de 372 600$. Malgré le fait que la situation semble avoir été réglée en octobre dernier alors que la Cour suprême a acquitté l’humoriste, voilà maintenant que Jérémy Gabriel ainsi que sa mère reprennent le chemin de la justice.

C’est TVA qui a annoncé la nouvelle que Jérémy Gabriel poursuivait Mike Ward pour la somme de 288 000$, mais cette fois, en diffamation plutôt que pour discrimination.

« Le recours en discrimination n’est pas, et ne doit pas devenir, un recours en diffamation. M. Gabriel aurait pu intenter une action en diffamation », avait rappelé le tribunal lors du procès que le public croyait comme étant le dernier de cette saga.

Rappelons que la famille du jeune chanteur avait porté plainte au Tribunal des droits de la personne. En 2016, le juge a accordé à M. Gabriel 25 000 $ en dommages moraux et 10 000 $ en dommages punitifs. L’humoriste avait immédiatement rétorqué en portant le jugement en appel.

Sylvie Gabriel, la mère du chanteur, poursuit également Mike Ward et lui réclame la somme de 84 600$.

« Il est venu briser tout ce qu’elle a bâti avec son fils », est-il inscrit dans le document de cour.

Sylvie Gabriel affirme avoir été dévastée par les blagues de Mike Ward lors de son spectacle, en 2015. Mme Gabriel dit avoir tout fait pour consoler son fils qui se sentait ridiculisé, sans succès.

« Sur le plan personnel, elle est aussi affectée par les insinuations de M. Ward selon lesquelles elle aurait tiré profit de son fils […] alors qu’il n’en est rien », indique la poursuite.

De son côté, Jérémy Gabriel affirme que les propos de Mike Ward ont « grandement nui au développement de son talent », et que cela aurait donc nui à sa carrière.

La poursuite sera présentée prochainement à un juge de la Cour supérieure.

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Lac Noir : une série de genre jamais vue au Québec :

Il y a quelques semaines, les premières images de la toute nouvelle série de genre Lac Noir, disponible depuis le 3 février sur le Club illico, avaient été dévoilées et ne nous avaient pas laissés indifférents. Mercredi, nous avons eu la chance de visionner les deux premiers épisodes de cette nouvelle émission qui vous fera assurément frissonner et nous en avons eu pour notre argent (même si c’était gratuit)!

La sombre série série a été imaginée par celui qui est derrière le succès de TVA Alertes et À vos marques… party!,  Frédérik D’Amours, et la scénarisation est signée par Martin Girard ainsi que celui qui avait coscénarisé le premier film québécois produit par Netflix, Jusqu’au déclin, Charles Dionne. Pas besoin de vous dire que ça promet comme Lac Noir est une série d’horreur de huit épisodes qui a été finement confectionnée par de grands amateurs de films de genre. Et laissez-nous vous dire que ça paraît!

Dès les premières minutes du premier épisode, nous sommes déjà plongés dans une intrigue complètement sanglante qui ne fera que prendre de l’ampleur et ajouter de la chair autour de l’os quant à l’inquiétant destin qui attend les personnages.

« Ça été une expérience vraiment le fun et super challengente en tant que comédienne », lançait l’actrice Mélissa Désormeaux-Poulin lors de la conférence de presse de la série, mercredi après-midi. 

Évidemment, il y a bien des choses que nous ne pouvons pas vous dire au sujet de la série. Nous ne voulons, en aucun cas, divulgâcher des éléments clés de cette série d’horreur qui est très certainement la bienvenue dans notre univers télévisuel québécois. 

Les huit épisodes de Lac Noir seront disponibles dès le 3 février sur le Club illico, et croyez-nous, vous ne voulez pas manquer ça!

Marie-Lyne Joncas à la barre d’un nouveau magazine :

Marie-Lyne Joncas sera enfiiiiiiin à la barre d’un tout nouveau magazine ensoleillé, intitulé Le Fabuleux printemps de Marie-Lyne. L’objectif de ce nouveau projet : arriver à l’été le plus vite possible (on n’est pas fâchés de ça).

Chaque semaine, l’animatrice nous fera découvrir un lieu estival, accompagnée d’invités qui « viendront ajouter des situations cocasses et du piquant à chaque émission ».

« Le décompte vers l’été est commencé avec l’arrivée du Fabuleux printemps de Marie-Lyne! Chaque soir, je m’assois avec un invité différent dans une formule hybride entre le talkshow et le magazine pour accompagner vos débuts de soirées printanières. Humour, entrevues, surprises et animaux laids sont au menu de ce tout-nouveau rendez-vous déjà incontournable pour ceux qui ont envie de chasser l’hiver », a exprimé Marie-Lyne Joncas.

Marc Labrèche met en vente sa somptueuse résidence mid-century pour 1 685 000$ :

Le comédien et animateur Marc Labrèche vient tout juste de mettre sa résidence mid-century en vente et on capote! L’hilarant acteur demande pas moins de1 685 000$ pour la maison de 11 pièces qui a été construite en 1962, mais qui a été complètement rénovée au cours des deux dernières années.

Située à Saint-Lambert, la maison vient tout juste de faire son entrée sur le marché et nous sommes persuadés qu’elle n’y restera pas longtemps.

Le style de design choisi est impeccable et tombe en plein dans les tendances des dernières années : le mid-century.

Munie d’un garage double, de trois chambres à coucher, d’une graaaaaande salle familiale au sous-sol, la maison de Marc Labrèche est tout sauf ennuyante. Elle nous donne carrément l’envie d’aller faire un tour à la banque et de faire une offre.

Pour voir la fiche complète, c’est par ici.

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Jérémy Gabriel s’ouvre sur la nouvelle poursuite contre Mike Ward

*** Attention : cet article comporte des passages délicats sur le suicide et l’intimidation ***

Jérémy Gabriel et sa mère, Sylvie Gabriel, réclament 372 600$ à Mike Ward dans une toute nouvelle poursuite. De cette somme, 288 000$ sont réclamés pour Jérémy Gabriel et 84 600$ pour Sylvie Gabriel.

Dans une entrevue pour le magazine Urbania, le jeune homme a commencé son discours en s’adressant au Jérémy Gabriel de 10 ans. Il a mentionné : « Quand tu avais à peu près 14 ans, tu vas entendre pour la première fois un humoriste faire un sketch sur ton handicap et aussi sur le fait que tu devrais mourir. Tu te demandes comment on fait pour faire des blagues sur la mort de quelqu’un ».

« Tu vas vivre avec le fait que les gens vont t’accuser de vouloir censurer »

« Tu vas vivre de l’intimidation pendant un bon bout de temps […] pendant une nuit de tes 15 ans, tu vas te mettre la corde au cou et tu vas essayer de te pendre ».

Il explique ensuite que sa mère, l’ayant vu souffrir, a rempli un formulaire de plainte à la Commission des droits de la personne.

« Tu vas vivre avec le fait que les gens vont t’accuser de vouloir censurer, de vouloir être un adversaire de la liberté, un adversaire de l’humour », a-t-il continué.

Malgré le fait que la situation semble avoir été réglée en octobre dernier alors que la Cour suprême a acquitté l’humoriste, voilà maintenant que Jérémy Gabriel ainsi que sa mère reprennent le chemin de la justice.

C’est TVA qui a annoncé la nouvelle : « Le recours en discrimination n’est pas, et ne doit pas devenir, un recours en diffamation. M. Gabriel aurait pu intenter une action en diffamation », avait rappelé le tribunal lors du procès que le public croyait comme étant le dernier de cette saga.

Rappelons que la famille du jeune chanteur avait porté plainte au Tribunal des droits de la personne. En 2016, le juge a accordé à M. Gabriel 25 000 $ en dommages moraux et 10 000 $ en dommages punitifs. L’humoriste avait immédiatement rétorqué en portant le jugement en appel.

« Il est venu briser tout ce qu’elle a bâti avec son fils », est-il inscrit dans le document de cour.

Sylvie Gabriel affirme avoir été dévastée par les blagues de Mike Ward lors de son spectacle, en 2015. Mme Gabriel dit avoir tout fait pour consoler son fils qui se sentait ridiculisé, sans succès.

« Sur le plan personnel, elle est aussi affectée par les insinuations de M. Ward selon lesquelles elle aurait tiré profit de son fils […] alors qu’il n’en est rien », indique la poursuite.

De son côté, Jérémy Gabriel affirme que les propos de Mike Ward ont « grandement nui au développement de son talent », et que cela aurait donc nui à sa carrière.

Après le jugement de la Cour suprême, le jeune chanteur a remercié ceux et celles qui l’ont supporté pendant les dernières années. Il partage dans son premier story qu’il est reconnaissant pour l’amour de ses fans : « Parce que les beaux messages affluent encore ce matin, je prends le temps de remercier tous ceux qui m’ont écrit pour prendre de mes nouvelles depuis (vendredi). Je suis reconnaissant de recevoir autant d’amour et de support ».

La poursuite sera présentée prochainement à un juge de la Cour supérieure.

Nous suivrons le dossier de près.

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Jérémy Gabriel et sa mère poursuivent Mike Ward pour 372 600$

L’affaire judiciaire Jérémy Gabriel VS Mike Ward n’est finalement pas terminée comme le chanteur et sa mère poursuivent Mike Ward pour la somme totale de 372 600$. Malgré le fait que la situation semble avoir été réglée en octobre dernier alors que la Cour suprême a acquitté l’humoriste, voilà maintenant que Jérémy Gabriel ainsi que sa mère reprennent le chemin de la justice.

C’est TVA qui a annoncé la nouvelle que Jérémy Gabriel poursuivait Mike Ward pour la somme de 288 000$, mais cette fois, en diffamation plutôt que pour discrimination.

« Le recours en discrimination n’est pas, et ne doit pas devenir, un recours en diffamation. M. Gabriel aurait pu intenter une action en diffamation », avait rappelé le tribunal lors du procès que le public croyait comme étant le dernier de cette saga.

Rappelons que la famille du jeune chanteur avait porté plainte au Tribunal des droits de la personne. En 2016, le juge a accordé à M. Gabriel 25 000 $ en dommages moraux et 10 000 $ en dommages punitifs. L’humoriste avait immédiatement rétorqué en portant le jugement en appel.

Sylvie Gabriel, la mère du chanteur, poursuit également Mike Ward et lui réclame la somme de 84 600$.

« Il est venu briser tout ce qu’elle a bâti avec son fils », est-il inscrit dans le document de cour.

Sylvie Gabriel affirme avoir été dévastée par les blagues de Mike Ward lors de son spectacle, en 2015. Mme Gabriel dit avoir tout fait pour consoler son fils qui se sentait ridiculisé, sans succès.

« Sur le plan personnel, elle est aussi affectée par les insinuations de M. Ward selon lesquelles elle aurait tiré profit de son fils […] alors qu’il n’en est rien », indique la poursuite.

De son côté, Jérémy Gabriel affirme que les propos de Mike Ward ont « grandement nui au développement de son talent », et que cela aurait donc nui à sa carrière.

La poursuite sera présentée prochainement à un juge de la Cour supérieure.

Nous suivrons le dossier de près.

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Denise Bombardier lance des flèches à Mike Ward pour son projet de minimaisons

Denise Bombardier a partagé son opinion très explicite face au projet de construction de minimaisons pour sans-abri de Mike Ward. La chroniqueuse a exposé toutes ses pensées dans un article écrit pour le Journal de Montréal, le 25 janvier dernier.

Dans l’article intitulé Mike Ward : un geste qui me rend sceptique, Mme Bombardier déclare : « La bienveillance, mot très à la mode en cette période désolante, signifie une disposition d’esprit inclinant à l’indulgence envers autrui. Or, Mike Ward, on le sait, a raillé durant des années le jeune Jérémy Gabriel, atteint du syndrome de Tricher-Collins, une maladie entraînant des malformations à la tête et une surdité sévère ».

« […] voici qu’il vient d’afficher une générosité publique à l’endroit des sans-abri, qui en cette période frigorifique souffrent mille morts dans la rue. Deux d’entre eux sont d’ailleurs décédés.

Que l’on me permette d’éprouver un malaise vis-à-vis de ce geste public. Certains pourront croire à un procès d’intention, mais l’humoriste, qui a réussi à devenir la référence de nombre de comiques et qui ne recule devant aucune grossièreté ni vulgarité pour faire rire ses fans qui se défoulent à travers lui, me rend sceptique.

« Mike Ward avec ses abris pour itinérants se prend donc pour l’abbé Pierre »

Mike Ward doit connaître le proverbe » Charité bien ordonnée commence par soi-même « . Ne cherche-t-il pas avant tout à se refaire une réputation, disons, plus consensuelle, plus acceptable socialement que celle de rire d’un jeune que la maladie a défiguré ? Et ce, à répétition », continue-t-elle.

Puis, Denise Bombardier conclut en disant : « Mike Ward avec ses abris pour itinérants se prend donc pour l’abbé Pierre. Il ne lui reste plus qu’à recruter des disciples. Il aurait pu, par contre, choisir l’anonymat pour offrir son argent et ses abris aux itinérants. Mais qui l’aurait su ? Alors, quelle a été son intention réelle ? ».

Rappelons que Mike Ward a comme projet de faire construire 25 minimaisons, qui viendraient en aide aux personnes itinérantes par ces temps de froids polaires extrêmes. Le projet ayant été refusé par la ville de Montréal, les villes de Victoriaville et Drummondville ont toutefois été interpellées par l’initiative.

« J’ai fait construire 25 abris (pour itinérants) que j’ai offerts à votre équipe l’année passée. L’offre tient toujours. C’est des tentes en bois, isolés, chauffées avec la chaleur du corps humain. On peut se loger confortablement jusqu’à -30. Conçu pour les gens les plus à risque, ceux qui refusent de dormir dans les refuges. Les minimaisons sont construites et payées. Donnez le go et je peux les faire installer d’ici 1 semaine. Un simple oui de votre part et personne d’autre va mourir de froid cet hiver », avait mentionné l’humoriste à la mairesse de Montréal.

Toutefois, le maire de Victoriaville, Antoine Tardif, a accepté de recevoir cinq minimaisons dans sa ville.

« On a eu une rencontre sur l’heure du dîner avec différents organismes communautaires pour préciser la nature des besoins et déterminer la prise en charge de ces nouveaux équipements », a indiqué Charles Verville, porte-parole de la Ville de Victoriaville.

Puis, la mairesse de Drummondville, Stéphanie Lacoste, a à son tour confirmé que 20 minimaisons seraient installées dans sa ville.

En bref, que vous soyez du même avis que Mme Bombardier ou non, l’important c’est que des sans-abri à Victoriaville et à Drummondville seront au chaud pour la fin de l’hiver.