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La petite enfance devant la télévision

Des experts viennent de se prononcer quant à l’écoute de la télévision chez les très jeunes enfants, lit-on dans Pediatrics. Les bébés de moins de deux ans ne devraient pas être exposés à la télévision ou d’autres médias semblables.

Sinon, leurs parents devraient faire en sorte que cette exposition soit limitée autant que possible. On insiste sur le fait que la meilleure façon pour que notre enfant ait un développement optimal de son cerveau est de jouer tout en évitant la télévision.

On reconnaît une fois de plus les recommandations émises il y a déjà une dizaine d’années sur le sujet, selon lesquelles les effets d’une telle exposition chez les tout-petits sont plus négatifs que positifs.

En moyenne, un enfant de moins de deux ans écouterait une à deux heures de télévision ou de média électronique par jour. De plus, près du tiers des enfants de trois ans aurait un appareil dans leur chambre.

Les spécialistes mentionnent aussi que même si certaines vidéos destinées aux bébés sont vantées comme étant éducatives, rien n’en accorde l’évidence.

Le jeu libre est encore reconnu comme plus bénéfique pour le développement du cerveau, car il permet entre autres de créer, d’apprendre à résoudre des problèmes et de développer le raisonnement et certaines aptitudes motrices.

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Les zélés du sport

On lit sur Health News l’avis de Sandra Sims, de la Birmingham School of Education de l’University of Alabama, quant à l’approche qu’ont certains parents devant la pratique sportive de l’enfant.

Selon Madame Sims, un jeune athlète a besoin d’avoir du plaisir et de recevoir de la reconnaissance. Toutefois, en demander trop peut tout gâcher. Elle rappelle par ailleurs qu’un enfant, jusqu’à six ans, a besoin d’avoir des jeux non structurés. Des parents tendent à traiter plutôt leurs enfants comme de « minis adultes ».

En fait, la majorité des enfants ne devraient pas se spécialiser dans un sport avant l’âge de 15 ans. Après chaque saison dans une discipline, les parents devraient prendre le temps d’en demander l’évaluation à leur enfant, puis de décider si l’on poursuit dans cette voie ou non.

Permettre à son enfant d’essayer différents sports est très sain, affirme Madame Sims. Cela lui permet de vraiment choisir lequel il préfère, soit celui dans lequel il aura vraiment envie de se dépasser.

Finalement, elle rappelle que porter un uniforme ne signifie pas que notre enfant fait de l’activité physique 60 minutes par jour; cela dépend du sport.

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Les zélés du sport

On lit sur Health News l’avis de Sandra Sims, de la Birmingham School of Education de l’University of Alabama, quant à l’approche qu’ont certains parents devant la pratique sportive de l’enfant.

Selon Madame Sims, un jeune athlète a besoin d’avoir du plaisir et de recevoir de la reconnaissance. Toutefois, en demander trop peut tout gâcher. Elle rappelle par ailleurs qu’un enfant, jusqu’à six ans, a besoin d’avoir des jeux non structurés. Des parents tendent à traiter plutôt leurs enfants comme de « minis adultes ».

En fait, la majorité des enfants ne devraient pas se spécialiser dans un sport avant l’âge de 15 ans. Après chaque saison dans une discipline, les parents devraient prendre le temps d’en demander l’évaluation à leur enfant, puis de décider si l’on poursuit dans cette voie ou non.

Permettre à son enfant d’essayer différents sports est très sain, affirme Madame Sims. Cela lui permet de vraiment choisir lequel il préfère, soit celui dans lequel il aura vraiment envie de se dépasser.

Finalement, elle rappelle que porter un uniforme ne signifie pas que notre enfant fait de l’activité physique 60 minutes par jour; cela dépend du sport.

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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.

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Mieux traiter la paralysie cérébrale

Parue récemment dans Developmental Medicine and Child Neurology, une étude menée par diverses instances de l’Alberta présente une toute nouvelle façon de venir en aide aux enfants atteints de paralysie cérébrale.

Au lieu de se baser sur la posture ou les aptitudes à faire des mouvements, cette méthode d’intervention porte plutôt sur le milieu de vie de l’enfant et au jeu.

Ce que l’on appelle une « intervention basée sur le contexte » (context-focused intervention) porte justement sur l’environnement plutôt que l’enfant lui-même. Cette nouvelle méthode offerte aux parents concernés et à leur enfant a donné des résultats probants quant à son efficacité.

Durant l’expérimentation, laquelle a portée sur 128 enfants atteints, l’approche dont il est question a donné des résultats équivalents à la méthode de traitement habituelle, notamment pour ceux dont l’état est évalué de moyen à sévère.

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Nouvelle approche thérapeutique pour les jeunes autistes

On apprend sur Medical News Today que des chercheurs de l’Université de l’Alberta ont mis au point un jeu d’ordinateur basé sur la musique qui offrirait de nouveaux espoirs aux enfants autistes. Des effets auraient été notés quant à l’apprentissage et à la relaxation.

En fait, ce jeu informatique aiderait les jeunes autistes à reconnaître les couleurs et les formes tout en les aidant à demeurer concentrés et calmes.
 
Semblable aux jeux vidéo comme Guitar Hero, il fait voir à l’utilisateur des formes de couleur sur l’écran. Celui-ci doit ensuite presser la touche correspondante. Chacune des formes en question est reliée à un accord différent; lorsque la bonne combinaison est choisie, une fleur se met à pousser.
 
Ce jeu aiderait donc les enfants autistes dans leur apprentissage, étant basé sur le renforcement positif et encourageant le calme par sa musique apaisante.
 
Selon les chercheurs, le mariage de l’impact visuel et du son est très efficace auprès des enfants souffrant d’autisme. Cela leur permet de se sentir maîtres de la situation, ce qui, dans un environnement éducatif habituel, est difficile à atteindre pour eux.

Pouvant être utilisé tant à la maison qu’à l’école, ce nouveau jeu est rempli de promesses, car il encourage l’apprentissage et le sentiment de progression chez l’enfant atteint du syndrome de l’autisme.

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Les jouets pour prévenir le traitement de l’autisme

Un rapport paru dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry concernant un traitement de l’autisme chez les enfants de moins de deux ans, le Hanen’s More Than Words, implique un fait assez surprenant.

Il semble qu’un tout-petit qui se consacre à un nombre limité de jouets a plus d’amélioration quant à ses aptitudes en communication en suivant ce traitement.
 
Lorsque les enfants sont ainsi diagnostiqués à un très jeune âge, il semble que le bon traitement peut diminuer les symptômes de l’autisme de façon importante.
 
Les chercheurs mentionnent toutefois que la clé est de cibler le bon traitement pour chaque enfant. Ils affirment aussi qu’il faut agir dès les premiers symptômes.
 
L’utilisation des jouets dans ce traitement est très efficace, car le temps pour le jeu est tout à fait adéquat pour le développement du langage. Il permet aussi à l’enfant et à son intervenant de se concentrer sur la même chose.
 
En moyenne, les parents d’un enfant autiste détectent des symptômes vers l’âge de 17 ou 18 mois. On estime que 1 enfant sur 110 souffre d’autisme, sous toute forme que ce soit. Les garçons sont plus souvent atteints, soit 1 sur 70.
 
Ce nouveau traitement apporte donc beaucoup d’espoir, étant basé sur le développement de la parole.
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Le jeu Tetris pourrait aider à diminuer un stress post-traumatique

La revue PLoS ONE publie une étude d’une équipe de l’Université d’Oxford qui a établi que de jouer au jeu vidéo Tetris permettait de mieux soigner le syndrome d’un stress post-traumatique.
 
60 personnes se sont soumises à l’étude. Elles étaient toutes en bonne santé. Elles ont visionné un film avec des images traumatisantes, notamment des publicités pour prévenir sur les dangers de l’alcool au volant.
 
Trente minutes après, 20 d’entre elles ont joué à Tetris, 20 ont répondu à des jeux-questionnaires et 20 n’ont rien fait. Ceux qui ont joué à Tetris ont eu moins de flashbacks que les autres.
 
Un deuxième test a été réalisé quatre heures plus tard et les chercheurs ont obtenu les mêmes résultats.
 
Les scientifiques affirment que jusqu’à 6 h après le traumatisme, il est possible de changer le désordre mémoriel qui est sur le point de se produire. Se concentrer à jouer à Tetris aiderait à rétablir l’équilibre entre les différentes informations reçues.
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Musique

Michael Jackson profitera des nouvelles technologies

Michael Jackson revivra dans les foyers à Noël prochain, alors que sera lancé sur le marché un jeu consacré à l’artiste. Il comportera une toute nouvelle technologie qui rendra bientôt désuète l’utilisation des manettes.

Le jeu, qui n’a aucun titre officiel pour l’instant, utilisera en effet la toute nouvelle technologie Kinect de Microsoft qui fera appel à des détecteurs sensoriels afin d’effectuer les manoeuvres.

Dans un communiqué, le PDG d’Ubisoft, Yves Guillemot, se dit ravi au nom de sa compagnie de pouvoir développer un jeu basé sur les chansons et les pas de danse de l’un des artistes les plus incroyables de tous les temps.

Michael Jackson, reconnu comme l’un des meilleurs artistes sur scène avec entre autres des numéros de danse légendaires, mettra sûrement à rude épreuve les amateurs qui s’avanceront loin dans le jeu, un peu à l’instar des jeux Guitar Hero et Rock Band qui demandent parfois aux joueurs une dextérité et une concentration hors pair.

John Branca, co-exécuteur testamentaire de Michael Jackson, abonde dans le même sens : « Les enfants, les parents, toute la famille et les amis pourront se rassembler et vivre ensemble la musique et les pas de danse de Michael de façon innovante et amusante. »

Le jeu sera proposé sur plusieurs consoles de jeu.

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Le jeu est primordial dans l’évolution de l’enfant

Jouer est très important dans l’évolution de votre enfant.
 
Famili rapporte qu’un enfant qui ne joue pas à explorer avec sa bouche à six mois ne stimule pas sa curiosité. De même que ceux qui ne jouent pas à coucou caché à 18 mois ou deux ans auront de la difficulté à se séparer de leurs parents pour aller à la garderie ou à l’école. Les enfants qui refusent de se déguiser vers 4-5 ans seront plus fragiles dans leur identité et confondent les vêtements avec ce qu’ils sont.
 
Ce sont les conclusions auxquelles arrive la psychanalyste Sophie Mariopoulos qui est aussi l’auteure du livre Dites-moi comment il joue et je vous dirai comment il va.
 
Selon elle, le jeu est un excellent thermomètre pour connaître l’état émotionnel et psychologique de votre tout-petit.
 
D’instinct, le jeu est associé aux enfants, car c’est l’une de leurs activités préférées. Mais n’oubliez jamais que chaque enfant évolue à son propre rythme également.
 
De plus, si jamais vous n’aimez pas jouer avec lui, voyez à ce que des amis, la famille ou les proches le fassent. Le jeu doit être une relation de plaisir et non une contrainte, sinon votre enfant pourrait ressentir votre frustration.