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Les jeunes femmes devront faire congeler leur tissu ovarien

Selon l’avis d’experts, les femmes dans la vingtaine auraient tout intérêt à conserver leurs chances de tomber enceintes plus tard en congelant une partie de leur tissu ovarien, apprenons-nous sur Mail Online.

C’est l’avis du Dr Sherman Silber, l’un des experts en fertilité les plus respectés à l’échelle mondiale, qui soutient que cette procédure encore controversée est des plus efficaces.

Selon lui, elle devrait même être accessible par le biais du réseau de la santé, car elle serait beaucoup plus efficace que la fécondation in vitro.

La réalité d’aujourd’hui fait en sorte que les femmes ont des enfants à un âge plus avancé, car pour une grande majorité d’entre elles, leur carrière doit être établie avant de pouvoir faire le grand saut.

Or, plus les femmes repoussent la grossesse, plus leurs chances de réussite diminuent, la fertilité déclinant avec l’âge.

Cette procédure coûte en ce moment aux alentours de 4 000 dollars. Elle consiste à retirer environ le tiers du tissu d’un ovaire, lequel contient près de 60 000 ovules. On le congèle ensuite jusqu’à ce que la patiente soit prête à fonder une famille. La réimplantation fournit ainsi à la femme la même qualité et quantité d’ovules que lors de sa vingtaine, augmentant ses chances de tomber enceinte.

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La ménopause précoce comme cause de l’infertilité

Comme la fertilité chute 10 ans avant la fin des menstruations, une femme ayant une ménopause précoce pourrait connaître des problèmes d’infertilité dès l’âge de 30 ans.

Ainsi, comme nous pouvons le lire sur Le Monde.fr, cela pourrait avoir de grandes répercussions puisque la majorité des femmes ont aujourd’hui des enfants à partir de 30 ans.

La ménopause avant 45 ans touche 1 femme sur 20. Seulement 1 % des femmes la commencent dès l’âge de 40 ans.

Il y a toutefois de l’espoir pour ces femmes, puisque des chercheurs britanniques, de l’Université d’Exeter et de l’Institut de recherche sur le cancer, se sont intéressés à ce sujet.

Ils ont d’abord recherché 4 variantes génétiques chez 2 000 femmes ménopausées avant 45 ans. Ils ont ensuite comparé les résultats avec ceux observés chez des femmes âgées de 51 ans en moyenne.

Ils ont pu conclure que la présence de ces variantes serait un bon indice de ménopause précoce. Donc, les femmes pourraient être avisées plus tôt de possibles problèmes d’infertilité.

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Les jeûnes protéinés seraient très nocifs pour la santé

Le jeûne protéiné consiste à ne consommer que de petits repas et des poudres ou liquides riches en protéines, pour un total de 800 calories par jour. En moyenne, un adulte a besoin de 2 000 calories quotidiennement.

 

Depuis les années 1970, certains médecins prescrivent ces jeûnes protéinés pour traiter leurs patients en surpoids qui souhaitent perdre quelques kilos rapidement. Voilà que Le Devoir mentionne qu’un rapport de l’Agence d’évaluation des techniques et des modes d’interventions en santé dit que ces régimes peuvent être dangereux pour la santé.

Il y aurait encore trop d’inconnus dans cette méthode. Surtout qu’il est très facile de se procurer des sachets protéinés sans supervision médicale. Ce type de régime devrait toujours être fait sous recommandation d’un médecin, et ce dernier doit effectuer un suivi rigoureux.

De plus, l’efficacité de ces jeûnes, qui se déroulent en moyenne sur deux à quatre mois, est remise en cause. D’après des études, un an après le jeûne, 50 % du poids perdu est regagné.

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Les films classés R (restreint) incitent à boire à un âge précoce

Selon une nouvelle étude rapportée par le Journal of Studies on Alcohol and Drugs, les enfants qui regardent des films classés R (restreint), plus destinés aux adultes, ont tendance à commencer à boire beaucoup plus jeunes.
 
Malheureusement, les parents négligeraient trop souvent la classification des films choisis, R n’étant vraiment pas destiné aux enfants.
 
Les enfants qui regardent ce genre de films sont plus susceptibles de commencer à boire à l’adolescence.
 
3 600 jeunes ont été interrogés sur les films que leurs parents leur permettaient de regarder. Deux ans plus tard, 25 % de ceux qui pouvaient toujours regarder des films classés R ont commencé à boire. Ce taux passe à 19 % pour ceux qui avaient parfois la permission de tels visionnements, alors que seulement 3 % de ceux qui n’avaient jamais eu le droit de regarder de tels films se sont mis à boire deux ans plus tard.
 
Ceci concorde avec une précédente étude qui disait que les contenus adultes incitaient à boire, fumer et avoir une vie sexuelle à un âge plus précoce. Ces jeunes recherchent davantage les sensations fortes.
 
« Nous pensons que de voir un contenu pour adultes change effectivement leur personnalité », mentionne le Dr James Sargent.
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Les jeunes, influencés par les films?

Selon la Dre Anna M. Adachi-Mejia, du département de pédiatrie du Hood Center for Children and Families de Lebanon au New Hampshire, les vedettes de cinéma qui grillent des cigarettes influencent plus que l’on croit les adolescents.

Pour la chercheuse, 30 à 50 % des 2 048 jeunes qu’elle a interrogés ont mentionné qu’ils avaient commencé à fumer la cigarette en raison de leur idole qui faisait de même dans un film.

Le risque de tabagisme chute légèrement lorsque les jeunes pratiquent un sport d’équipe, mais il reste que l’influence des films l’emporte. « Les sports d’équipe peuvent prévenir contre le tabagisme chez les adolescents, mais ce n’est pas suffisant », déplore la Dre Adachi-Mejia.

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Les jeunes ne prennent pas de petit déjeuner

Une étude réalisée en Australie par MBF Heathwatch, a révélé que plusieurs jeunes ne mangent pas le matin, prétextant manquer de temps, être trop fatigués ou simplement ne pas avoir envie de manger avant d’aller à l’école, rapporte ScienceDaily.com

Lors de cette étude, 22 % des parents interviewés ont affirmé que leurs enfants sautaient le petit déjeuner de trois à cinq jours d’école chaque semaine. En contrepartie, 58 % des parents ont affirmé que leurs enfants mangeaient toujours avant de se rendre à l’école.

La Dre Christine Bennett a déclaré : « Il est troublant d’apprendre que 42 % des enfants sont envoyés à l’école un ou plusieurs matins avec un estomac vide, parce que ça envoie le message clair, à un jeune âge, que le petit déjeuner n’est pas important. »

Bennett ajoute : « Des recherches ont démontré que sauter le petit déjeuner résultait en une baisse de l’apprentissage, une baisse d’attention et de mauvais choix alimentaires pour le reste de la journée. Les enfants qui sautent le petit déjeuner sont plus sujets à faire de l’embonpoint, ce qui peut créer le développement de problèmes chroniques de santé à long terme. »

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Des muscles grâce à la vitamine D

Une récente étude menée auprès de 99 jeunes filles de 12 à 14 ans a démontré que celles qui souffraient d’une carence en vitamine D avaient de moins bons résultats aux tests évaluant leur force musculaire, comme le saut en hauteur.

Pour l’auteure principale de cette recherche, la Dre Kate Ward, de l’Université de Manchester en Angleterre, la vitamine D favorise la contraction musculaire.

« Nous savions qu’une carence en vitamine D pouvait affaiblir le système osseux et musculaire. Jusqu’ici, nous en savions peu entre le lien qui unissait la vitamine et la force musculaire », a noté la Dre Ward.

D’autres études doivent être menées afin d’établir les quantités nécessaires de vitamine D pour favoriser la force musculaire chez les adolescentes.

 

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La première cigarette qui rend accro

Selon les chercheurs qui ont mené l’étude NICO auprès de 1 293 jeunes Québécois, la dépendance à la nicotine pourrait débuter dès la première cigarette.

« Pendant plusieurs années, la communauté scientifique a cru que l’accoutumance à la nicotine se développait seulement après deux ou trois ans de consommation régulière. Notre étude révèle au contraire que les symptômes de dépendance à la nicotine, y compris les états de manque, apparaissent rapidement, bien avant la consommation hebdomadaire et quotidienne », a souligné l’auteure derrière ces résultats, la Dre Jennifer O’Loughlin de l’Université de Montréal.

Cette recherche nous apprend aussi que cesser de fumer n’est pas une sinécure puisque sur 68 % des adolescents qui tentent de cesser de fumer, 92 % rechutent après un an.

Ce sont les porteurs du gène CYP2A6 qui semblent démontrer plus de dépendance à la cigarette puisque ce marqueur génétique métabolise plus lentement la nicotine.

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La puberté entraîne la sédentarité

Une vaste recherche, menée auprès de 1 000 enfants américains, prouve que les enfants deviennent de plus en plus sédentaires à mesure qu’ils grandissent.

Alors que 90 % des jeunes de 9 ans bougent de deux à trois heures quotidiennement, ce taux chute à 3 % lorsqu’ils passent le cap des 15 ans.

D’ailleurs, les chercheurs déplorent qu’environ 66 % de leur échantillonnage ne suivent pas les recommandations des experts en matière d’exercice physique, soit 90 minutes d’activités physiques par jour.

Parmi les raisons qui justifient cette sédentarité, on retrouve le travail rémunéré; 50 % des adolescents travaillent de 10 à 15 heures par semaine. Jeux vidéos, télévision et ordinateur sont aussi pointés du doigt par les scientifiques.

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Les enfants sensibles au placebo

Selon Philippe Ryvlin, des Hospices civils de Lyon, les enfants réagiraient davantage au médicament placebo que les adultes.

L’équipe du professeur Ryvlin a analysé 30 essais cliniques portant sur l’efficacité de médicaments antiépileptiques. Il a conclu que le placebo réduisait de 50 % la fréquence des crises d’épilepsie chez 19 % des bambins et chez seulement 10 % des adultes.

« Nous soupçonnions déjà que l’effet placebo était plus fort chez les enfants, notamment dans le domaine de la migraine et de l’épilepsie, mais personne ne l’avait démontré jusque-là », a souligné l’auteur principal de cette recherche.

Cette découverte risque de modifier la procédure entourant les essais cliniques menés sur des enfants. La réelle efficacité du placebo doit être connue afin d’évaluer avec justesse l’efficacité réelle d’un médicament.