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Katie Couric s’attaque aux mythes caloriques avec Fed Up

L’ancienne présentatrice et chef de pupitre de CBC Evening News, Katie Couric, fait parler d’elle pour un nouveau projet qui se penche sur les mythes caloriques et alimentaires, en cette ère teintée par l’obsession de la nourriture et ce que les spécialistes qualifient d’épidémie d’obésité.

Le projet et l’enquête de Couric prennent la forme d’un film intitulé Fed Up, rapporte le New York Times, produit par la productrice du documentaire An Inconvenient Truth. Katie Couric affirme avoir voulu créer ce film afin de répondre aux nombreuses questions laissées sans réponse sur le sujet au fil de sa carrière.

« Ce qui me frappait est que plus je rapportais des choses sur l’obésité infantile et plus le temps passait dans ma carrière, plus le problème semblait s’aggraver. J’ai senti que nous n’avions jamais vraiment donné d’indications sur ce qui cause vraiment ça, et pourquoi les taux d’obésité explosent comme ça », explique Couric, qui assure aussi la narration du film.

La journaliste se penche notamment sur les « types » de calories, et croit que certaines sont plus dommageables que d’autres. Il ne suffirait donc pas, selon elle, de « moins manger et de faire de l’exercice » pour s’assurer d’un poids idéal.  De plus, Fed Up s’attaque au problème créé par l’industrie alimentaire, notamment en ce qui concerne le sucre ajouté.

Le documentaire semble dramatique et convaincant à souhait, et mérite le coup d’œil.

Découvrez la bande-annonce de Fed Up, avec Katie Couric.

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L’intimidation en baisse chez les jeunes Américains

Les campagnes de sensibilisation et la mobilisation globale de la population en matière d’intimidation semblent porter leurs fruits, à tout le moins de l’autre côté de la frontière.

The National Library of Medicine rapporte en effet une baisse générale du phénomène de l’intimidation chez les adolescents, aux États-Unis, depuis les dix dernières années.

L’étude proposée repose sur des sondages complétés auprès d’étudiants entre 1998 et 2010, et suggère que l’intimidation verbale et physique est en forte baisse. On parle même d’une réduction du phénomène de moitié, surtout chez les garçons.

« Au cours des récentes années, il y a eu plus d’attention accordée aux efforts anti-intimidation, comme des programmes et des politiques scolaires. On espère que ces efforts de prévention et l’attention additionnelle accordée au problème puissent être la raison de ce déclin », explique l’auteure de l’étude, Jessamyn Perlus.

Pendant ce temps au Québec, d’autres recherches semblent suggérer un effet contraire, mais de nouvelles études seront nécessaires pour offrir un véritable constat de la situation québécoise et canadienne.

Les résultats de l’étude rapportée ont été publiés dans l’American Journal of Public Health.

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L’intimidation laisse des traces tout au long de la vie

Une nouvelle étude rapportée par La Presse trace un bilan très sombre du phénomène de l’intimidation et des séquelles à long terme qui s’y rattachent.

Il s’agit de la première recherche exhaustive du genre à analyser les impacts de l’intimidation sur un individu tout au long de sa vie. Ce sont des chercheurs du King’s College de Londres qui se sont penchés sur le dossier, en analysant les cas de 7771 enfants tout au long de leur vie… jusqu’à l’âge de 50 ans.

Une étude spectaculaire, en somme, qui demandait d’abord aux parents d’enfants touchés par l’intimidation entre l’âge de 7 et 11 ans de fournir des informations relatives à leur expérience.

Selon le Dr Ryu Takizawa qui pilote l’étude, les résultats sont clairs : un individu victime d’intimidation à un jeune âge se verra confronter à des obstacles sociaux et économiques plus importants au cours de sa vie.

Plus encore, ces sujets ont démontré plus de problèmes de santé que les autres, notamment à l’approche de la cinquantaine. Même chose sur le plan psychologique, alors que l’on note un risque accru de dépression, d’anxiété et de suicide.

Même l’aspect cognitif des sujets de l’étude a semblé en souffrir au cours de l’analyse, ce qui fait dire aux observateurs que l’intimidation n’est pas un phénomène à prendre à la légère.

Heureusement, la sensibilisation au phénomène est bien entamée, mais il reste encore pas mal de travail à faire.

Les conclusions de l’étude du Dr Takizawa ont été publiées dans l’American Journal of Psychiatry.

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L’arsenic dans l’eau potable pourrait nuire aux performances du cerveau

La présence d’arsenic dans l’eau potable inquiète un grand nombre de citoyens et de spécialistes, même si celui-ci se retrouve souvent en faibles quantités.

Il n’en demeure pas moins que le fait d’associer l’arsenic à l’eau potable semble terrifiant, et une nouvelle étude en provenance de l’État du Maine donne des munitions à cette peur, selon The National Library of Medicine.

La présence de traces d’arsenic dans l’eau potable du Maine n’étant pas un secret pour ses citoyens, des chercheurs ont décidé de faire passer des tests d’intelligence et de performance mentale à des groupes de jeunes étudiants, dont certains sont davantage exposés à la présence d’arsenic.

Les craintes des chercheurs américains se sont avérées fondées, alors que ces derniers ont observé des résultats plus faibles chez les groupes exposés à l’arsenic.

« Même si le fait d’acheter un filtre standard à la quincaillerie est inadéquat pour traiter l’eau potable des puits, la bonne nouvelle est qu’il existe des étapes pour améliorer la situation », explique l’auteur des travaux, Joseph Graziano.

Ce dernier fait référence à un système appelé « inversement de l’osmose », malheureusement coûteux. Des programmes éducatifs sont également offerts aux familles du Maine pour en apprendre davantage sur le phénomène et les méthodes de prévention possible.

Les conclusions et observations de l’étude menée par M. Graziano ont été publiées dans le journal Environmental Health.

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La consommation de fruits et légumes bénéfique chez les jeunes femmes

Manger fréquemment des fruits et légumes lorsqu’on a 20 ans permettrait de nombreux bénéfices pour la santé plus tard au cours de la vie, mais surtout lorsqu’on est une femme, selon une étude rapportée par Santé Log.

L’étude présentée dans le cadre du projet CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults) estime que les jeunes femmes au début de la vingtaine qui choisissent de manger des fruits et légumes auront moins de risques d’éprouver des problèmes cardiovasculaires au tournant de la quarantaine.

L’étude analyse les données de près de 2500 participants et note entre autres un risque réduit de 40 % de voir l’apparition de plaques au niveau des artères chez les femmes de 40 ans.

On conseille néanmoins aux hommes de consommer eux aussi leur part de fruits et de légumes, même si cette étude ne parvient pas à observer le même résultat pour les hommes que pour les femmes.

On rappelle également que d’autres facteurs peuvent influencer les statistiques et le risque de troubles cardiaques, comme le tabagisme, la sédentarité et la surconsommation de viandes rouges et de boissons sucrées.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du congrès de l’American College of Cardiology.

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4 façons de développer votre lien affectif avec votre enfant adopté

Montez un scrapbook ensemble

Pour lui rappeler d’où il vient, mais aussi pour créer de nouveaux souvenirs avec des photos de famille. Faites également un arbre généalogique avec sa photo, afin qu’il comprenne qu’il fait partie de la famille, conseille l’experte Charlene Jimenez.

Utilisez les photos pour encourager la conversation

Laissez l’enfant utiliser un appareil photo et regardez avec lui ce qu’il a pris comme clichés. En posant des questions, vous en découvrirez plus sur lui, et lui sur vous.

Faites des recherches sur sa culture et son passé

Lorsque vous adoptez un enfant, prenez soin de rapporter un souvenir de son pays d’origine, ainsi que de l’orphelinat ou de la famille d’accueil. Lorsqu’il pose des questions sur sa culture, aidez-le et encouragez-le, puis ouvrez-vous à ses émotions.

Encouragez les jeux de proximité

Les enfants adoptés, surtout s’ils étaient dans de piètres conditions, ont parfois peur d’être approchés. Ne serait-ce que se lancer la balle ou jouer au jeu du loup (tag). Pour les plus jeunes, chatouiller ou s’échanger des blocs pour avoir un contact peut être un point de départ.

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Alcool et marijuana : une consommation transmise de génération en génération

Une nouvelle étude sur les risques intergénérationnels en matière de dépendance aux drogues et à l’alcool estime que la consommation est une habitude qui peut être transmises aux générations suivantes, rapporte Top Santé.

Tout comme les bonnes habitudes et les bons exemples, les mauvais sont aussi calqués par les enfants, et il semble que ce soit particulièrement vrai dans le cas de l’alcool et des drogues douces comme le cannabis.

L’étude américaine sondait près de 2000 parents et leurs enfants, demandant à ces derniers de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes quant à l’alcool et au cannabis.

Le résultat est clair pour les chercheurs de la Sam Houston State University, Dre Kelly Chevalier en tête, et démontre que les risques sont nettement plus élevés pour les enfants de parents consommateurs et adeptes de ces drogues douces d’en faire eux-mêmes l’expérience sur une base régulière dans le futur.

On parle d’un risque cinq fois plus grand en matière d’alcool et deux fois plus grand concernant la marijuana, comparativement aux enfants de parents qui n’en consomment pas.

« Cette étude est unique et rare. Elle prédit l’usage de la substance sur plusieurs générations. Cette relation identifiée entre les générations peut fournir des informations importantes sur l’impact du comportement des parents dans l’adolescence et l’âge adulte de l’enfant », mentionne Dre Chevalier.

Les chercheurs croient donc qu’il est important pour les parents de revoir leurs habitudes à l’arrivée des enfants, ou de s’assurer de s’adonner aux vices des drogues douces et de l’alcool dans le plus grand secret, si absolument nécessaire.

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Bande-annonce convaincante pour The Maze Runner

Ceux qui sont à la recherche de la prochaine saga d’aventures et de fiction dans le style de DivergentTwilight et Hunger Games voudront peut-être jeter un coup d’œil à The Maze Runner.

La bande-annonce dévoilée par l’équipe du film est intrigante et convaincante. Elle propose une prémisse mystérieuse qui tranche avec les promos habituelles, trop enclines à en dévoiler toujours plus.

On découvre dès les premiers instants le personnage de Thomas, incarné par Dylan O’Brien, qui se voit projeté par un ascenseur qui n’a rien de rassurant dans un monde mystérieux duquel il semble impossible de sortir. Il sera accueilli par d’autres jeunes hommes, dont Will Poulter, qui lui expliqueront son triste sort et les détails connus de ce qui semble être un labyrinthe sans issue.

L’arrivée d’une jeune femme, incarnée par Kaya Scodelario, ne fera qu’augmenter l’intensité et l’incompréhension, alors que des rêves récurrents pourraient contenir l’une des clés de l’explication finale.

Réalisé par Wes Ball, The Maze Runner semble posséder tous les éléments de la saga pour « jeunes adultes » par excellence, et pourrait charmer un public plus vaste s’il ne déroge pas trop de cette direction qui n’est pas sans rappeler Lost de J.J. Abrams.

The Maze Runner arrive en salles le 24 octobre 2014, rapporte EmpireOnline.

Voyez Dylan O’Brien, Will Poulter et Kaya Scodelario dans The Maze Runner.

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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.

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Les boissons énergisantes augmentent les risques de troubles mentaux

Comme si les boissons énergisantes n’avaient pas déjà assez mauvaise presse et d’ennemis dans la communauté médicale comme cela, voilà qu’une nouvelle étude en rajoute.

Le Daily Mail (UK) rapporte en effet que des chercheurs estiment maintenant que ces boissons pourraient également être dangereuses pour la santé mentale, et mener à diverses dépendances.

Cette théorie s’ajoute bien entendu aux effets nocifs potentiels des boissons énergisantes sur la santé cardio-vasculaire, déjà bien connus des spécialistes.

L’étude ici rapportée parle d’un danger accru de dépendances diverses chez les adolescents, encouragés par la consommation de boissons énergisantes. Des troubles dépressifs seraient aussi liés à une consommation accrue de ces boissons, dans plusieurs cas.

Les chercheurs canadiens en tête de l’étude s’inquiètent également de la tendance qui voit les jeunes mélanger boissons énergisantes et alcool, un cocktail explosif et dangereux.

« Les campagnes de marketing semblent entièrement dédiées à inciter les jeunes et les jeunes adultes. », s’insurge l’auteur de l’étude, le Dr Sunday Azagba.

Les résultats de cette étude sont publiés dans le journal Preventive Medicine