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Les enfants en surpoids n’ont pas conscience de leur obésité

Ce sont 81 % des garçons « joufflus » et 71 % des filles rondes qui ne sont pas au courant qu’ils font de l’embonpoint, révèle un sondage effectué auprès d’un grand échantillon (9,1 millions d’individus) de jeunes Américains âgés de 9 à 15 ans et suivis entre 2005 et 2012.

Selon des études antérieures, le manque de sensibilisation et le point de vue des parents y sont pour beaucoup. Ce sont 50 % des parents d’enfants qui ont un embonpoint qui font l’autruche et affirment que leur jeune n’a pas un surplus de poids.

Ce qui inquiète et exaspère en quelque sorte les spécialistes est que si ces enfants n’ont pas conscience qu’ils sont obèses, comment les aider, prévenir les maladies dangereuses pour leur vie et établir des stratégies de lutte contre l’obésité qui les concerneront ou les intéresseront?

« Les enfants ne font pas attention à ce qu’ils mangent et, dans leur insouciance, ne prennent pas conscience de leur corpulence », affirme le centre de contrôle et de prévention des maladies américain, qui s’est également aperçu que les jeunes provenant de familles plus riches sont plus en mesure de dire s’ils sont gras ou non que les adolescents des familles à faible revenu. Ces derniers seraient plus portés à faire des erreurs de jugement sur leur corpulence, indique Top Santé.

Bien qu’il y ait plus de filles qui se qualifient de rondes que de garçons, c’est 30 % des répondants qui n’ont pas une bonne perception de leurs kilos, en trop ou en moins. En effet, les chercheurs ont remarqué que plusieurs se disent obèses alors qu’ils ne le sont pas, et vice-versa.

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Les jeunes fument moins de tabac, mais qu’en est-il du narguilé?

Le narguilé est une alternative au tabac dont l’utilisation est en hausse de 123 % aux États-Unis depuis 10 ans. Cependant, comme le mentionne Science World Report, l’utilisation du tabac n’a diminué que de 33 %.

L’étude, publiée dans la revue scientifique Pediatrics, mentionne que ce sont sur les campus et même au secondaire que ce dérivé a la cote.

« C’est très préoccupant », rapportent les chercheurs, « surtout considérant la mauvaise impression de la population, qui croit que ce produit est une alternative sans danger de la cigarette. Or, il existe des preuves du contraire. En fait, le narguilé serait encore plus dommageable pour la santé. »

Il existe même des bars à chicha, lounges prévus pour fumer cette pipe originaire du Moyen-Orient. Il existe même une version électronique du narguilé, tout comme la cigarette électronique.

Constitué tout de même d’environ 30 % de tabac, le produit est fermenté dans de la mélasse et des fruits pour donner à la fumée une saveur spécifique.

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Près des deux tiers des enfants de 7 ans et moins ne bougent pas

Chez les garçons, c’est plus du tiers (37 %) qui ne fait pas suffisamment d’exercice, alors que chez les fillettes, c’est plus de 6 sur 10 qui ne bougent pas assez.

Pour une moyenne annuelle de 1339,7 heures d’ensoleillement au Royaume-Uni, les jeunes de 7 ans et moins passent environ 520 heures à l’extérieur. En d’autres mots, cela ne représente que 1,5 heure par jour.

Selon le sondage, rapporte Female First, les enfants préfèrent le confort de la maison, jouer sur des gadgets électroniques et regarder la télévision plutôt que courir, jardiner et grimper aux arbres.

Ils ont accès jusqu’à 5 écrans à la maison, combinant souvent au moins deux supports technologiques à la fois (ex : télévision et iPad) et cumulent jusqu’à 6 heures de visionnement par jour.

Par conséquent, 8 familles sur 10 ne sont jamais allées à la pêche ou n’ont jamais regardé ensemble les étoiles. Un peu moins du quart des enfants n’ont jamais visité une ferme, et près de 5 millions d’entre eux n’ont jamais fait de pique-nique.

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Comment améliorer le sommeil chez les jeunes et les parents

Parenting Squad propose quelques solutions pour améliorer le sommeil de toute la famille.

– La routine : Celle-ci demeure toujours la priorité. Les enfants n’arriveront pas à dormir s’ils n’ont pas une heure régulière pour se coucher. Les parents devraient également se coucher à la même heure tous les soirs.

– Réduction du temps d’écran : Il est essentiel pour assurer un sommeil réparateur de s’octroyer un moment sans écran avant le coucher. Ordinateur, iPod, télévision ou autres représentent un fort stimulus qui dérange la qualité du sommeil, surtout en soirée.

– Moment de détente : Avant d’aller au lit, il serait tout indiqué, tant pour l’enfant que les parents, de faire une activité de relaxation. Histoire, bain, musique, trouvez quelque chose qui vous détend et qui permet de briser le rythme de la journée pour entamer la nuit.

– Repas : Assurez-vous de manger tôt et d’éviter les grignotines en soirée, surtout s’il s’agit d’une collation sucrée ou trop salée.

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Le sport d’équipe supervisé : meilleur remède contre la cigarette pour les jeunes

« La façon dont les jeunes occupent leur temps libre est importante », rapporte l’auteure principale de la recherche effectuée à Dartmouth, Anna M. Adachi-Mejia.

Les résultats de l’étude, publiés dans la revue spécialisée Academic Pediactrics, démontrent que la discipline des entraîneurs de sports d’équipe évite justement que les jeunes soient laissés à eux-mêmes. En poursuivant un encadrement d’autorité, ces jeunes sont moins portés sur les distractions telles que l’alcool et la cigarette.

Medical News Today rapporte que les données ont été obtenues par l’entremise d’un sondage téléphonique mené auprès de 6522 étudiants américains âgés de 10 à 14 ans.

Ce ne sont pas tous les sports qui ont cette emprise positive, cependant. Seuls ceux pratiqués en présence d’un entraîneur jouent un rôle prédominant, et le sport en question doit être pratiqué plus d’une fois par semaine.

Comme le rapporte Adachi-Mejia, cette étude est la première à apporter l’encadrement de l’entraîneur comme un facteur important de la pratique d’un sport et de ses effets bénéfiques sur les jeunes.

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Les jeunes aiment encore la lecture malgré la technologie

Le Junior Connect, comme l’indique Top Santé, est une étude comportementale élaborée annuellement. Elle étudie le rapport des jeunes (enfants et adolescents) avec la technologie et le papier, cette denrée de plus en plus rare.

Ainsi, malgré les ordinateurs, tablettes et autres dispositifs technologiques à leur disposition, les jeunes de 1 an jusqu’à moins de 20 ans démontrent encore un intérêt pour la lecture.

Les dernières données, récoltées auprès de 7000 enfants et jeunes adultes, se font en ligne. Les enfants de plus de 14 ans peuvent répondre eux-mêmes au questionnaire, autrement, c’est le tuteur légal qui le complète ou qui est en compagnie de l’enfant.

En conclusion, le nombre d’heures passées à lire par semaine se révèle comme suit :

Groupe de 1 à 6 ans : 3 h 30
Groupe de 7 à 12 ans : 4 heures
Groupe de 13 à 19 ans : 3 h 05

Ces informations révèlent également que seuls 2 % du groupe des 7 à 12 ans n’a pas lu un livre au cours du dernier trimestre. Ce pourcentage est de 12 % auprès des 13 à 19 ans.

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L’incapacité des jeunes à penser au futur augmente la tendance criminelle

La recherche, portant sur de jeunes délinquants graves, s’est basée sur la réponse à une seule question ouverte. On demandait aux adolescents : « Combien de temps pensez-vous vivre? » La réponse permettait de prédire le schéma de récidive des délinquants.

Le principal auteur de l’étude, Dr Alex Piquero, a découvert que la réponse était directement reliée avec la gravité des méfaits et la répétition des crimes commis. Spécialisé en criminologie, Piquero a expliqué que les jeunes dans cette situation croient toujours qu’ils ne vivront pas longtemps.

« Nombreux sont les jeunes qui nous ont dit “Je ne vivrai même pas jusqu’à la semaine prochaine, alors pourquoi je m’en ferais?” » Ainsi, ces adolescents qui ne pensent qu’à l’instant présent, se soucient beaucoup moins des conséquences et agissent impulsivement.

Au contraire, ceux qui pensent à long terme contrôlent leurs impulsions, réfléchissent avant de répéter leurs méfaits et évitent plus souvent les drogues, informe Medical News Today.

Les chercheurs travaillent de concert avec le président américain Barack Obama, qui a mis sur pied l’opération My Brother’s Keeper, un effort pour encourager les jeunes hommes à poursuivre leurs études et les garder loin du système criminel.

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Une étude pilote prometteuse contre la violence chez les jeunes

Les croyances et comportements violents des jeunes du premier cycle du secondaire peuvent être réduits grâce à l’implantation d’un programme d’intervention ciblé. C’est ce que rapporte Medical News Today.

Au terme de l’étude du Dr Manny Sethi, professeur adjoint de chirurgie orthopédique et de réadaptation, et ses coauteurs de Vanderbilt, un seul programme sur les 27 s’est avéré concluant. Ce programme a été testé dans une école secondaire de Nashville, où le taux de violence est très élevé.

La recherche a été publiée dans le Journal of Injury and Violence Research. Selon Dr Sethi, la résolution du problème réside dans la collaboration des médecins et des éducateurs. « Les gens sont victimes de blessures causées par la violence, mais nous traitons la conséquence, et non la cause. »

En tout, 122 étudiants se sont prêtés au programme de résolution de conflit. À la fin du programme, les résultats ont démontré une diminution importante du niveau de violence et une grande amélioration des compétences des étudiants pour gérer la colère et la violence.

En ce moment, le programme dont il est question est en pilote dans 10 écoles, atteignant une clientèle de 3500 élèves.

En 2011, ce sont 707 212 jeunes de 10 à 24 ans qui ont été traités à l’urgence pour des blessures dues à la violence physique.

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Antipsychotiques en hausse chez les jeunes en famille d’accueil

Les antipsychotiques ne sont pas nécessairement désignés pour le TDAH, et une étude a été réalisée en ce sens. Les groupes comparés étaient les jeunes souffrant de TDAH, les différents groupes d’âge, les gens admissibles au régime d’assurance médicament et la présence d’une famille d’accueil.

Les spécialistes ayant participé à l’étude sont Mehmet Burcu et Julie Zito de l’Université du Maryland, Aloysius Ibe de l’Université Morgan State et Daniel Safer de l’institut médical Johns Hopkins.

Au terme de la recherche, ils ont découvert que près du tiers des enfants de 2 à 17 ans ayant reçu le diagnostic du TDAH et vivant en famille d’accueil prenaient des antipsychotiques atypiques. Les plus souvent prescrits étaient la rispéridone, l’aripiprazole et la quétiapine.

Les experts sont alertés, puisque cette médication doit être donnée sous surveillance, être utilisée de façon sécuritaire et pendant une durée limitée. Son utilisation est en hausse dans les familles d’accueil.

Il est évident pour le Dr Harold S. Koplewicz qu’il y a « une tendance inacceptable au sein des spécialistes en psychiatrique infantile », et que cela doit cesser.

Les résultats ont été présentés dans la revue Child and Adolescent Psychopharmacology.

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Antipsychotiques en hausse chez les jeunes en famille d’accueil

Les antipsychotiques ne sont pas nécessairement désignés pour le TDAH, et une étude a été réalisée en ce sens. Les groupes comparés étaient les jeunes souffrant de TDAH, les différents groupes d’âge, les gens admissibles au régime d’assurance médicament et la présence d’une famille d’accueil.

Les spécialistes ayant participé à l’étude sont Mehmet Burcu et Julie Zito de l’Université du Maryland, Aloysius Ibe de l’Université Morgan State et Daniel Safer de l’institut médical Johns Hopkins.

Au terme de la recherche, ils ont découvert que près du tiers des enfants de 2 à 17 ans ayant reçu le diagnostic du TDAH et vivant en famille d’accueil prenaient des antipsychotiques atypiques. Les plus souvent prescrits étaient la rispéridone, l’aripiprazole et la quétiapine.

Les experts sont alertés, puisque cette médication doit être donnée sous surveillance, être utilisée de façon sécuritaire et pendant une durée limitée. Son utilisation est en hausse dans les familles d’accueil.

Il est évident pour le Dr Harold S. Koplewicz qu’il y a « une tendance inacceptable au sein des spécialistes en psychiatrique infantile », et que cela doit cesser.

Les résultats ont été présentés dans la revue Child and Adolescent Psychopharmacology.