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Les noix amélioreraient la qualité du sperme des jeunes hommes en santé

L’étude publiée dans le Biology of Reproduction mentionne que la consommation de 75 grammes de noix par jour améliorerait la vitalité, la morphologie et la motilité des spermatozoïdes chez les hommes âgés de 21 à 35 ans.

De plus, durant l’étude, après avoir mangé des noix tous les jours, les hommes avaient moins d’anormalités chromosomiques.

Les chercheurs croient que ce sont les acides gras polyinsaturés contenus dans les noix qui amélioreraient la qualité du sperme chez les hommes qui suivent un régime de style occidental.

La meilleure source de cet acide se retrouve dans le poisson et dans les suppléments d’huiles de poisson, dans les graines de lin ainsi que dans les noix.

Dans 30 à 50 % des couples qui expérimentent des troubles de la fertilité, c’est de l’homme dont vient le problème.

Rappelons également que les hommes peuvent aussi prendre soin d’eux afin d’éviter les problèmes de fertilité. S’ils portent des sous-vêtements trop serrés, ils peuvent réduire leurs chances de concevoir un enfant.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les jeunes se soucient plus de leur apparence que de leur santé

Une étude faite auprès de jeunes universitaires à l’Université du Missouri révèle des résultats plutôt surprenants. Les jeunes prennent soin de leur corps, non pas par souci de santé, mais bien pour des questions d’apparence.

Une discussion sur leur perception des messages véhiculés par les médias a permis de constater que les jeunes se souciaient énormément de l’image.

« Si certains participants sont conscients que les images diffusées sont travaillées pour être plus flatteuses, cela ne les dissuade pas de tenter de se rapprocher de ces images, puisque que la société récompense et fonctionne selon l’apparence. Bien manger prend du temps et les étudiants se déclarent “surbookés” ou incapables de se préparer un repas sain », mentionne le professeur Maria Len-Rios.

En effet, le manque de temps, ainsi que la trop grande proximité de la malbouffe semblent être un problème de taille pour les jeunes, en ce qui concerne l’adoption d’un mode de vie sain.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les jeunes se soucient plus de leur apparence que de leur santé

Une étude faite auprès de jeunes universitaires à l’Université du Missouri révèle des résultats plutôt surprenants. Les jeunes prennent soin de leur corps, non pas par souci de santé, mais bien pour des questions d’apparence.

Une discussion sur leur perception des messages véhiculés par les médias a permis de constater que les jeunes se souciaient énormément de l’image.

« Si certains participants sont conscients que les images diffusées sont travaillées pour être plus flatteuses, cela ne les dissuade pas de tenter de se rapprocher de ces images, puisque que la société récompense et fonctionne selon l’apparence. Bien manger prend du temps et les étudiants se déclarent “surbookés” ou incapables de se préparer un repas sain », mentionne le professeur Maria Len-Rios.

En effet, le manque de temps, ainsi que la trop grande proximité de la malbouffe semblent être un problème de taille pour les jeunes, en ce qui concerne l’adoption d’un mode de vie sain.

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À quel âge les jeunes joueurs de hockey devraient avoir droit aux mises en échec?

Depuis un certain temps, il y a un débat chaud concernant l’âge auquel les jeunes joueurs devraient avoir droit de faire des mises en échec au hockey.

Alors que plusieurs soutiennent que commencer à pratiquer les mises en échec tôt permettrait d’éviter des blessures à long terme, car les enfants apprendraient davantage à développer instinctivement leur capacité à se protéger, une étude de l’Université de l’Alberta affirme le contraire, disant que l’âge précoce ne change rien aux risques de blessures commises par des mises en échec.

Pour prouver leurs dires, les chercheurs ont analysé les taux de blessures de 8000 jeunes joueurs de hockey âgés de 9 à 15 ans. Les enfants ont été divisés en deux groupes. Le premier a joué de 1997 à 2002, et c’est à l’âge de 12 ou 13 ans qu’ils ont fait leurs premières mises en échec. L’autre groupe a joué de 2003 à 2010, et les jeunes ont commencé les mises en échec à 11 ou 12 ans.

Il s’est avéré qu’il n’y avait aucune différence significative en ce qui a trait au nombre de fractures ou de blessures au cou et à la tête parmi les joueurs les plus âgés dans les deux groupes. Tout comme il n’y avait aucune différence parmi les plus jeunes qui n’avaient encore jamais fait de mises en échec.

La seule manière efficace de réduire le risque de blessures pour les jeunes joueurs de hockey serait bien sûr d’interdire les mises en échec, lancent des spécialistes.

L’étude est parue dernièrement dans le Clinical Journal of Sport Medicine.

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Les jeunes homosexuels plus vigilants que leurs aînés

(Relaxnews) – Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) âgés de 18 à 25 ans sont plus attentifs aux dangers du VIH que leurs aînés.

D’après la nouvelle édition du Net Gay Baromètre (NGB) présentée dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) aujourd’hui (24 juillet), plus de la moitié des moins de 25 ans (53,9 %) affirment avoir réalisé un test de dépistage VIH dans les douze derniers mois, contre 40 % pour les hommes âgés de plus de 25 ans.

Trois jeunes répondants sur dix déclarent avoir eu recours au dépistage du VIH en raison d’un rapport sexuel non protégé, contre 27 % qui souhaitaient connaître leur statut sérologique pour avoir des relations sexuelles non protégées, et 23 % en raison d’un changement de partenaire.

Chez les HSH les plus âgés, le recours au dépistage du VIH est essentiellement lié au besoin de connaître régulièrement le statut sérologique (30 %).

D’après les résultats de ce nouveau baromètre, la prévalence du VIH observée chez les HSH âgés de 18 à 25 ans atteignait 2,5 % en 2009, contre plus de 14 % chez les HSH âgés de plus de 25 ans.

Ce baromètre a été réalisé en ligne, entre le 15 décembre 2008 et le 15 avril 2009, auprès de plus de 24 000 hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, dont plus de 3000 âgés de 18 à 25 ans.

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VIH/sida : une bière pour sensibiliser les jeunes adultes

(Relaxnews) – La plateforme marchande LesMaîtresdelaBière.com fait un buzz sur Internet avec le lancement d’une bière d’un nouveau genre.

Baptisée Fuck and Love, cette nouvelle boisson alcoolisée promet, de façon décalée, de protéger et de sensibiliser les consommateurs aux dangers du VIH. La bière blonde est vendue sur le site spécialisé dans la vente de bières belges et du Nord de la France.

Malheureusement, la bière blonde de fermentation haute Fuck and Love ne contient pas une nouvelle molécule qui pourrait réellement enrayer la transmission du VIH/sida.

Toutefois, l’étiquette apposée sur la bouteille de bière contient un préservatif aux normes NF. L’occasion de sensibiliser les jeunes adultes, les populations à risque et les milieux festifs aux dangers du VIH, et de leur rappeler l’importance de se protéger pendant un rapport sexuel.

La bière Fuck and Love est en vente sur le site marchand des Maîtres de la Bière.

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Les jeunes enfants désirent aider les autres

En fait, c’est dès l’âge de deux ans que les enfants ressentiraient le besoin de venir en aide aux gens lorsqu’ils se font mal, cherchent quelque chose ou n’arrivent pas à atteindre leur objectif.

Les chercheurs se sont donc interrogés afin de savoir si l’espoir de recevoir quelque chose en retour ne les motivait pas ou s’il s’agissait de simple altruisme.

Ils ont fait visionner aux enfants de courts films durant lesquels un adulte échappait un objet. Ensuite, ils leur ont présenté trois scénarios différents. Dans le premier, le petit venait en aide à l’adulte, dans le second, c’était une autre personne qui l’aidait, tandis que dans le dernier, l’adulte devait se débrouiller seul.

C’est grâce à la grande dilatation dans le regard des petits exposés au troisième scénario que les experts ont pu affirmer que les enfants souhaitaient simplement que l’adulte reçoive de l’aide, et ce, qu’elle vienne d’eux ou de quelqu’un d’autre.

Rappelons aussi que le fait de donner quelque chose rendrait les jeunes enfants de deux ans plus heureux que le fait de recevoir une chose.

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Les fillettes prennent plus de poids que les garçons

Ainsi, dès l’âge de huit ans, les filles ne font en moyenne que 17 minutes d’exercice physique par jour, ce qui représente le tiers de ce qui est recommandé. Les garçons, quant à eux, en font durant 24 minutes, selon une étude de la Newcastle University.

Sur les jeunes ayant participé à l’étude, seulement 4 % du temps des enfants était consacré à l’activité physique, soit environ vingt minutes.

Les chercheurs croient que cette tendance est une bombe à retardement d’obésité. De plus, l’auteur de la recherche, le docteur Mark Pearce, trouve inquiétant que les filles, à l’âge de huit ans, soient déjà moins actives que les garçons.

De précédentes études avaient déjà démontré que plusieurs filles perdaient leur intérêt pour le sport à l’adolescence, mais jamais on n’avait soupçonné qu’elles perdaient leur enthousiasme à un si jeune âge.

Le docteur Pearce croit qu’il faudrait que les jeunes filles perçoivent les femmes athlètes comme des modèles afin de les encourager à faire du sport.

Rappelons que plus des deux tiers des parents ne font presque pas d’exercice physique et, par conséquent, ne montrent pas l’exemple à leurs enfants.

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Les jeunes qui tiennent tête à leurs parents consomment moins

Les jeunes qui apprennent à tenir tête à leurs parents résisteraient mieux aux différentes pressions sociales négatives de leurs fréquentations.

Les jeunes qui consomment moins d’alcool seraient ceux ayant appris à négocier et pris confiance en eux dès l’adolescence. Cet apprentissage, développé à la maison, ferait d’eux des individus mieux outillés pour tenir tête aux pressions de leurs amis quant à la consommation de drogues et d’alcool.

De plus, ces adolescents seraient moins tentés, lorsqu’ils consomment de l’alcool, d’en abuser.

Ces affrontements entre adultes et adolescents les habitueraient à être pris au sérieux, puisque le ton de la discussion est plus sérieux dans ce genre de mésentente que dans les conflits entre amis. 

En fait, selon les scientifiques, les parents devraient provoquer l’argumentation avec leurs jeunes afin qu’ils deviennent des consommateurs plus avertis.

Rappelons qu’en moyenne, c’est à 14 ans que les jeunes commencent à consommer de l’alcool et de la drogue. Une étude a révélé qu’une consommation à l’adolescence est de plus en plus considérée comme un indicateur d’abus plus tard.

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La télévision n’affecte pas l’estime des jeunes garçons de race blanche

C’est ce que démontre une étude publiée dans le journal Communication Research. « Peu importe l’émission que vous regardez, si vous êtes un homme blanc, les choses, dans la vie, vont assez bien pour vous », explique Nicole Martin, professeure assistante en télécommunications de l’Université de l’Indiana.

Pour les jeunes filles, les rôles sont moins bons pour leur estime personnelle. « On peut présumer que la sexualisation des femmes mène à un impact négatif sur les jeunes filles », dit-elle.

Tandis que pour les enfants de race noire, le message transmis à travers ces émissions est souvent le même. « Les jeunes hommes noirs ont un message contraire [aux jeunes hommes blancs] : c’est qu’il n’y a pas beaucoup de bonnes choses auxquelles ils peuvent aspirer », déplore Nicole Martin.

Cependant, elle et ses collègues suggèrent que les jeux vidéos sont les pires quant vient le temps de dépeindre les ethnicités et les genres.

Ces résultats inquiètent les experts, surtout depuis que l’on sait qu’en Amérique du Nord, les enfants sont exposés en moyenne près de quatre heures par jour à la télévision. De plus, la situation serait pire pour les plus jeunes, les bébés et les enfants de race noire.