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Les risques de syndrome de la tête plate accrus par les sièges de voiture pour enfants

Les experts, inquiets de voir le taux de syndrome de la tête plate augmenter, se questionnent sur le mode de vie des parents d’aujourd’hui.

Selon eux, les parents seraient trop occupés et, pour le côté pratique de la chose, laisseraient leurs enfants dans leurs poussette, berceau ou siège d’auto. Ce faisant, la tête du bébé reposerait contre une surface beaucoup trop longtemps.

Certains bébés passeraient plus de 8 heures par jour dans la même position.

« La limite recommandée d’utilisation de sièges de voiture est d’une heure ou deux, mais ils sont souvent utilisés pour plus longtemps que cela », explique l’orthésiste spécialiste dans le traitement de difformités, Kate Chauhan.

Rappelons que ce syndrome est également lié à une campagne visant à suggérer aux parents de coucher leurs bébés sur le dos plutôt que sur le ventre, afin de réduire les risques de mort subite du nourrisson.

Cependant, la position du bébé ainsi placé fait en sorte que la pression est plus grande au niveau de son crâne fragile. Toutefois, quand les poupons sont couchés sur le ventre, ils relèvent leur tête en utilisant les muscles de leurs bras, ce qui enlève du poids de leur crâne.

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Un outil pour évaluer l’exposition des jeunes aux publicités sur l’alcool

Créée par le Center on Alcohol Marketing and Youth (CAMY) de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, cette invention est accessible gratuitement aux parents et aux départements de santé.

Les utilisateurs de différentes villes aux États-Unis peuvent détecter la fréquence à laquelle les jeunes sont exposés à l’alcool.

« Malgré la prolifération d’outils comme les téléphones intelligents et les tablettes, la radio continue d’être un média populaire auprès des jeunes », explique le directeur du CAMY, David Jernigan.

Une étude précédente du CAMY avait révélé que plus du tiers des placements de produits de boissons alcoolisées se faisait lorsque davantage de mineurs que d’adultes étaient à l’écoute.

De plus, aux États-Unis, plus de 14 études sérieuses ont démontré que plus les jeunes sont exposés aux publicités sur l’alcool, plus ils sont susceptibles de commencer à boire avant l’âge légal, ou s’ils boivent déjà, de boire plus.

« L’alcool est la substance à laquelle le plus de jeunes développent une dépendance aux États-Unis, et nous savons que la publicité sur l’alcool a un impact significatif sur la décision de boire des jeunes », déplore le directeur du programme sur l’alcool des Centers for Disease Control and Prevention, Robert Brewer.

Rappelons que l’alcool est responsable de plus de 4700 décès de jeunes âgés de 21 et moins aux États-Unis.

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Internet attire les 3 à 6 ans

Les nouvelles technologies font vraiment partie de notre quotidien. La preuve, qui aurait vu un enfant de trois ans naviguer sur l’Internet, il y a de cela à peine 10 ans?

Regarder des vidéos semble être l’activité principale qui pousse les petits à fréquenter l’Internet. Jouer à des jeux et écouter de la musique suivent de près, en deuxième et troisième positions.
 
Ces goûts ont été dévoilés en exclusivité au journal 20 Minutes par l’agence de communication Aegis Media France. Cette dernière a partagé les résultats de l’une de ses récentes enquêtes qui a été effectuée en ligne, auprès de 557 enfants de 7 à 12 ans et de 485 mères d’enfants âgés de 3 à 6 ans.
 
Le sondage a permis d’estimer à environ 68 % le nombre d’enfants âgés entre 3 et 6 ans qui utilisent Internet, chaque semaine. De ce nombre, les parents ont confirmé à 78 % être présents pour accompagner leurs petits devant l’écran.
 
 « Cette accélération des usages est due au suréquipement des familles. Car avec l’ordinateur, le téléphone et la tablette, le Web est partout », a expliqué Damien Harnist, directeur général de Aegis Media France.
 
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L’amour chez les jeunes : quel est le rôle des parents?

Des statistiques compilées par les Centers for Disease Control à Atlanta révèlent que :

– Une adolescente sur quatre qui vit une relation dit qu’elle a été menacée ou victime de violence verbale, et 13 % des adolescents disent qu’ils ont été physiquement blessés intentionnellement par un petit ami ou une petite amie;

– 45 % des filles connaissent un ami ou un collègue qui a subi des pressions pour avoir des relations sexuelles ou du sexe oral;

– Une personne sur cinq confie avoir déjà envoyé par courrier électronique ou posté des photos ou des vidéos de son partenaire nu, ou encore avoir ridiculisé ou harcelé un autre jeune sur les réseaux sociaux.

L’ère de la technologie a d’ailleurs ouvert de nouvelles avenues pour un mauvais comportement, voire illégal, chez les adolescents.

Pour venir en aide aux jeunes qui ont des fréquentations, les spécialistes conseillent aux parents de bien communiquer, d’être ouverts d’esprit et attentifs.

Les adultes devraient connaître les amis de leurs enfants et être prêts à intervenir de manière « positive » en cas de problème. Les parents doivent être à l’affût des relations « toxiques ».

On doit définir les valeurs et les attentes familiales et en discuter fréquemment. Il est recommandé de commencer très tôt à enseigner et parler de réalités sentimentales et sexuelles avec son enfant.

Ne faites pas abstraction des conséquences lourdes que certains gestes peuvent engendrer. Finalement, n’hésitez pas à vérifier subtilement et aléatoirement le contenu des cellulaires et ordinateurs de vos jeunes.

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Le cadmium nuit au développement neurologique des enfants

Des scientifiques de la Harvard School of Public Health, à Boston, ont découvert que les jeunes, majoritairement des garçons, qui avaient un haut taux de cadmium dans leur urine étaient plus susceptibles d’avoir des troubles d’apprentissage ou d’avoir recours à des services d’éducation spécialisée.

Cependant, aucune relation entre l’exposition au cadmium et un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDHA) n’a été décelée, rapporte le site Environmental Health Perspectives.

Le cadmium peut inhiber le flux de calcium nécessaire à la libération de neurotransmetteurs, et peut ainsi perturber la communication neuronale nécessaire à la formation du réseau synaptique au cours du développement.

Il y a aussi des preuves que le cadmium pourrait affecter indirectement le développement du cerveau en perturbant la fonction des hormones thyroïdiennes, affirment les chercheurs.

Le cadmium est présent naturellement dans la croûte terrestre, et les gens y sont exposés à la fois par des processus naturels et des activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles et l’incinération des déchets. Ce métal pénètre dans l’approvisionnement alimentaire en étant absorbé par les plantes et les animaux.

En plus de nuire au développement neural des enfants, ce dernier est également connu pour être nocif pour les reins.

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Le cadmium nuit au développement neurologique des enfants

Des scientifiques de la Harvard School of Public Health, à Boston, ont découvert que les jeunes, majoritairement des garçons, qui avaient un haut taux de cadmium dans leur urine étaient plus susceptibles d’avoir des troubles d’apprentissage ou d’avoir recours à des services d’éducation spécialisée.

Cependant, aucune relation entre l’exposition au cadmium et un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDHA) n’a été décelée, rapporte le site Environmental Health Perspectives.

Le cadmium peut inhiber le flux de calcium nécessaire à la libération de neurotransmetteurs, et peut ainsi perturber la communication neuronale nécessaire à la formation du réseau synaptique au cours du développement.

Il y a aussi des preuves que le cadmium pourrait affecter indirectement le développement du cerveau en perturbant la fonction des hormones thyroïdiennes, affirment les chercheurs.

Le cadmium est présent naturellement dans la croûte terrestre, et les gens y sont exposés à la fois par des processus naturels et des activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles et l’incinération des déchets. Ce métal pénètre dans l’approvisionnement alimentaire en étant absorbé par les plantes et les animaux.

En plus de nuire au développement neural des enfants, ce dernier est également connu pour être nocif pour les reins.

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Sondage : les parents ne protègent pas leurs enfants de l’Internet

Les enfants manquent d’accompagnement sur Internet. C’est clairement ce qui ressort d’un sondage réalisé l’été dernier par la firme Cefrio. Ce dernier a été rendu public le 13 décembre dernier à Montréal.

Des chiffres inquiétants révèlent que 80 % des parents d’enfants de 3 à 12 ans affirment que l’Internet peut être une source de danger en matière d’exploitation sexuelle des enfants. Cinquante pour cent des parents interrogés étaient prêts à confirmer que leurs enfants ont déjà eu accès à des images sexuelles ou violentes.

Un parent sur cinq croit que son enfant pourrait être en contact avec un cyberprédateur, ou encore être victime d’intimidation, mais 40 % des enfants de 10 à 12 ans ont tout de même une page personnelle sur un site de type Facebook.

De même, les trois quarts des enfants (et jusqu’à 90 % des 10 à 12 ans) sont actifs sur Internet. Souvent, dès l’âge de 3 ans, un contact est déjà créé avec les nouvelles technologies.

Cinquante pour cent des parents avouent ne pas discuter des dangers associés à l’Internet avec leurs enfants, et les trois quarts affirment ne pas utiliser davantage de logiciels de contrôle parental.

Sur cette dernière statistique troublante, les autorités et organismes d’aide rappellent aux parents qu’il est fortement conseillé de placer l’ordinateur au salon ou à la cuisine, afin d’y jeter un coup d’œil fréquemment.

N’hésitez pas à être présents quand vos enfants se créent un profil, activez les outils de contrôle parental et sensibilisez-les aux divers dangers et au caractère public d’un texto ou d’une image captée par webcam.

700 signalements de cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur Internet sont reçus chaque mois chez l’organisme Cyberaide.ca (associé au Centre canadien de protection de l’enfance). Imaginez à la grandeur de la planète…

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Trop fatigué pour aller à l’école

Selon une récente étude, un enfant sur 100 serait atteint du syndrome de la fatigue chronique (SFC), aussi connu sous le nom d’encéphalite myalgique. Cependant, après avoir été diagnostiqués et traités, les deux tiers d’entre eux reprendraient le dessus rapidement et retourneraient à l’école normalement.

Les spécialistes se sont penchés sur la question, après avoir remarqué que plusieurs jeunes manquaient, pour des raisons inexpliquées, le 1/5 de leurs cours. Ils en ont conclu que le SFC était une cause importante à l’absentéisme à l’école chez les jeunes.

Les enfants aussi jeunes que 5 ans peuvent être touchés par cette infection virale qui se traduit par de la toux, de la fièvre et de la fatigue extrême. Avant d’avoir terminé leur troisième secondaire, 461 étudiants sur 2855, en Angleterre, avaient manqué 20 % de leurs cours en six semaines.

Les seuls remèdes existants pour cette maladie sont la thérapie, l’encouragement à faire de l’exercice et à discuter afin de partager des inquiétudes.

Il semblerait également que les enfants ayant été diagnostiqués par les services scolaires (infirmière, psychologue, etc.) retrouvent leur énergie plus rapidement, car ils se sentent appuyés dans leurs démarches de guérison.

Les enfants ayant été traités dans des cliniques spécialisées prendraient plus de temps à revenir en classe, malgré l’apparence d’un traitement rapide et efficace.

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Les jeunes cuisinent plus que leurs aînés

Un sondage effectué auprès de 2000 adultes de 18 ans et plus aux États-Unis dévoile que les jeunes cuisinent davantage que les plus vieux.
 
En fait, le quart des 18-34 ans adorent cuisiner, alors qu’ils ne sont que 17 % chez les baby-boomers et les plus vieux.
 
Pour les jeunes, cuisiner est une marque de sophistication et de statut social, alors que les plus vieux cuisinent simplement pour des raisons de santé. D’ailleurs, la plus grande motivation de tous pour cuisiner est que les repas faits maison sont plus équilibrés.
 
Cuisiner est également un plaisir, une marque d’affection envers les proches et une occasion d’expérimenter.
 
Par contre, selon Mintel qui a réalisé le sondage, c’est en vieillissant que l’on se vante le plus de ses talents de cuisinier. 15 % des 55 ans et plus s’en vantent, alors qu’ils ne sont que 6 % à le faire chez les 18-34 ans.
 
« Les cuisiniers les plus jeunes semblaient s’intéresser davantage à l’expérimentation culinaire, alors que les Américains de 20 à 39 ans étaient plus enclins à cuisiner pour avoir l’air sophistiqué, ce qui suggère que l’apprentissage de la cuisine et le fait de cuisiner pour ses amis constituent des manières de se crédibiliser aux yeux de ses pairs », explique la porte-parole de Mintel, Fiona O’Donnell, dans un communiqué.
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De plus en plus de jeunes sautent des repas

Il est troublant de constater que de plus en plus de jeunes prennent de très mauvaises habitudes. Selon le Daily Mail, nombreuses sont les jeunes filles d’à peine 10 ans qui commencent à sauter des repas et éliminer les aliments essentiels dans l’espoir d’avoir un corps parfait.
 
L’étude faite sur 83 000 jeunes démontre qu’ils sont énormément influencés par les célébrités et l’image corporelle dépeinte dans les médias.
 
Ainsi, le tiers des fillettes de 10 ans interrogées disaient avoir sauté le petit déjeuner, et 24 % avaient également sauté le dîner de la veille. Cette proportion augmente avec l’âge, car chez les 14-15 ans, ce sont les deux tiers qui ne prennent pas le petit déjeuner.
 
Malheureusement, 40 % des garçons et des filles évitent de consommer des protéines et le quart dit aussi consommer régulièrement des croustilles, des friandises et du chocolat.
 
De plus, ils ont tendance à adopter d’autres habitudes malsaines comme fumer et consommer de l’alcool. Les résultats de cette recherche montrent que des jeunes de 12 ans seulement consomment l’équivalent de 19 verres de vin par semaine. La plupart des jeunes boivent de l’alcool à la maison.