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Les jeunes plus exposés aux risques de sclérose en plaques avec un travail de nuit

Une étude mentionne que les jeunes de moins de 20 ans qui travaillent de nuit sont plus susceptibles de souffrir de sclérose en plaques.
 
Selon les Annals of Neurology, les chercheurs ont observé deux groupes de personnes. Le premier comptait 1343 personnes ayant la sclérose en plaques et 2900 personnes en santé. Le deuxième groupe comportait 5129 personnes avec la sclérose et 4509 en santé. Toutes étaient âgées de 16 à 70 ans.
 
Après les avoir questionnés sur leur horaire de travail, on a comparé les résultats entre les sujets qui travaillaient de 21 h à 7 h et ceux qui n’avaient jamais travaillé de nuit.
 
Dans les deux groupes, les moins de 20 ans qui avaient travaillé de nuit pendant une longue période étaient deux fois plus à risque de souffrir de sclérose en plaques.
 
Par contre, pour les plus de 20 ans, il n’y avait aucun impact en ce qui concerne cette maladie.
 
En travaillant de nuit, l’horloge biologique est déréglée, la qualité du sommeil en est touchée, et cela affecte grandement le système immunitaire.
 
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Les repas familiaux harmonieux incitent à manger plus

Une étude parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior a étonné de nombreux chercheurs.
 
Les résultats de leur recherche démontrent que les jeunes mangent plus lors de repas en famille harmonieux entre tous les membres. Pourtant, on croyait que le stress engendré par les disputent incitait à consommer plus de nourriture, mais c’est plutôt l’effet inverse.
 
L’étude a suivi 1 500 enfants. Apparemment, lorsqu’il y a des conflits au repas, les jeunes sont portés à manger et quitter la table rapidement.
 
Pour 16,5 % des familles, les repas étaient déplaisants et pour 21 % des mères, le souper était le moment le plus stressant de la journée.
 
Le manque de temps est la grande problématique. Avec les deux parents qui travaillent, cela laisse peu de temps à la détente, donc les conflits sont plus nombreux.
 
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Les réseaux sociaux et les enfants

Une enquête européenne nous révèle que les enfants sont de plus en plus nombreux à avoir un compte Facebook ou YouTube, par exemple. Menée par la Commission européenne, elle stipule qu’en moyenne, 38 % des enfants âgés de 9 à 12 ans possèdent un profil personnel sur un réseau social.

Lorsque l’on augmente de groupe d’âge, soit les 13 à 16 ans, ce taux s’élève tout autant. Ainsi, en Europe, on estime que 77 % de ces jeunes ont un profil à eux, comme nous pouvons le lire sur zdnet.fr.

Ces chiffres sont par ailleurs inquiétants, car l’enquête révèle aussi que la majorité des enfants ont un profil révélant des renseignements privés visibles par tous; leurs coordonnées, par exemple.

Nous pouvons aussi conclure, à la vue de ces nouvelles données, que l’effort collectif de 2009 pour garantir la sécurité des plus jeunes sur Internet et limiter l’accès des enfants aux sites de réseautage social semble visiblement un échec.

Rappelons qu’à l’époque, pas moins de 17 réseaux sociaux s’étaient regroupés en vue d’atteindre ces objectifs. On comptait parmi eux Facebook, YouTube et Dailymotion.

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Les jeux vidéo augmentent la consommation de nourriture

Pour la première fois, des chercheurs se sont penchés sur les effets des jeux vidéo sur l’alimentation. Non seulement ils favorisent une prise de poids en raison du fait qu’ils sont en majorité des activités statiques, les jeux vidéo causent également une plus grande consommation alimentaire.
 
22 adolescents ont participé à cette étude dirigée par Jean-Philippe Chaput de l’Université d’Ottawa. Ils ont joué à la Xbox 360 et ont eu des pauses d’une heure. Ensuite, des repas à volonté ont été offerts, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
On a remarqué qu’après une séance de jeux, leur rythme cardiaque, leur tension artérielle, leur tonus sympathique et leur charge de travail mental étaient beaucoup plus élevés. Le plus surprenant a été de constater que malgré le fait qu’aucun jeune n’a affirmé avoir plus faim, ils ont tous mangé plus de nourriture après avoir joué à des jeux vidéo.
 
Les experts croient que le stress pourrait expliquer ce phénomène. « Dans la vraie vie, les jeunes peuvent jouer quatre ou cinq heures aux jeux vidéo. Ils peuvent jouer avec des amis, et on sait qu’on mange plus dans un contexte social. Ils peuvent aussi manger pendant la séance de jeu, alors que nous ne leur donnions de la nourriture qu’après. La prise alimentaire réelle pourrait donc être plus grande encore. Manger, c’est une récompense ou une compensation pour le cerveau à la suite du stress subi. On a souvent tendance à manger des aliments sucrés et gras. L’une de nos hypothèses, c’est que, à cause du travail mental, il y a une combustion du glucose, qui est le substrat principal du cerveau. Manger serait un mécanisme de réaction normal du corps pour refaire ses réserves de carburant afin de bien fonctionner », explique Jean-Philippe Chaput à La Presse.
 
La prochaine étude portera cette fois sur les jeux actifs de style Wii, pour savoir si ce type incite également à manger davantage. Si c’est le cas, il n’y a donc pas de bénéfices en fin de compte.
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Lancement du programme Héros câlins

La huitième édition du programme Héros câlins vient d’être annoncée. Build-A-Bear est à la recherche de jeunes meneurs âgés de 8 à 18 ans qui font une différence dans leur communauté et dans le monde. 

Créé en vue d’encourager les jeunes qui souhaitent faire une différence autour d’eux, ce programme a pour but ultime de remettre 10 000 dollars à 10 jeunes s’étant démarqués.

Précisément, les grands prix consistent en une bourse d’études universitaires et 2 500 dollars à remettre à un organisme caritatif choisi par chacun des récipiendaires.

De plus, chaque Héros câlin gagnera un séjour au siège social de Buil-A-Bear de St-Louis (Missouri) en compagnie d’un parent ou d’un tuteur.

L’inscription est permise à tous ceux qui sont âgés d’au moins huit ans. Il est possible de présenter sa propre candidature ou de proposer celle d’une autre personne.

En mars, 75 demi-finalistes âgés de 8 à 18 ans seront sélectionnés. Parmi eux, 25 finalistes seront ensuite choisis en avril.

Les 10 Héros câlins seront finalement nommés (soit 8 aux États-Unis et à Porto Rico et 2 au Canada) et seront invités à se joindre à plus de 100 autres gagnants des précédentes éditions.

Pour s’inscrire, les jeunes meneurs sont invités à se rendre à l’un des Buid-A-Bear Workshop (au Québec, au Carrefour Laval, au Fairview Pointe-Claire ou aux Promenades St-Bruno) pour remplir un formulaire. On peut aussi s’inscrire en ligne en visitant le http://www.lovehugssmiles.com/HuggableHeroes.aspx.

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La dépression frappe de plus en plus jeune

La psychiatre de l’Hôpital de Montréal pour enfants, la Dre Lila Amirali, sonne l’alarme. La dépression frappe de plus en plus jeune et de plus en plus gravement.
Selon elle, 1 % des enfants de moins de 13 ans souffre de dépression et 4 % des adolescents. En ce moment, 10 % des adultes sont dépressifs à différents niveaux.
 
Lorsque l’enfant s’isole, devient irritable, pleure, manque d’énergie et perd son intérêt pour des choses qu’il aimait, et ce, pendant au moins deux semaines, il faut commencer à s’inquiéter et intervenir. Les parents qui soupçonnent leur enfant d’être dépressif devraient consulter.
 
Une dépression qui n’est pas traitée chez un enfant aura 50 % des chances de réapparaître dans les cinq à dix années suivantes. De plus, celui-ci sera plus sujet à développer d’autres maladies mentales. Les enfants ayant des antécédents familiaux sont plus susceptibles d’être touchés par la maladie.
 
La thérapie est sans doute la meilleure option, car les antidépresseurs sont moins efficaces chez les jeunes.
 
Plusieurs événements peuvent provoquer un état dépressif à un jeune âge, comme le divorce des parents, le décès d’un proche ou encore une peine d’amour.
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Les jeunes parents sont plus affectés par la dépression

De nombreux parents souffrent de dépression dans les douze premières années de vie de leur enfant, mais cette maladie se fait surtout sentir dans la toute première année.
 
Ceci s’explique notamment par le stress de cette nouvelle vie, le manque de sommeil, les changements de responsabilités et la pression subie par le couple.
 
Les parents sont plus susceptibles de devenir dépressifs s’ils ont des antécédents et s’ils ont de 15 à 24 ans à la naissance de leur enfant, car ils sont souvent moins bien préparés et la grossesse peut ne pas avoir été planifiée. Ils peuvent aussi en être plus affectés s’ils sont socialement défavorisés.
 
Habituellement, dans les douze premières années de leur enfant, on évalue à 7,53 femmes sur 100 par année qui souffriront de dépression, alors que ce seront 2,69 hommes sur 100 qui seront dans la même position.
 
Dans la première année, les chercheurs ont constaté que le taux de dépression était plutôt de 13,93 femmes sur 100 contre 3,56 hommes sur 100, rapportent les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.
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Le contenu des boissons énergétiques soulève l’inquiétude

Les boissons énergétiques comme Guru et Red Bull sont particulièrement populaires auprès des jeunes, mais le Journal de l’Association médicale canadienne rapporte que les autorités s’inquiètent du contenu de ces boissons.
 
Les boissons énergétiques sont réputées pour redonner de l’énergie et de l’attention. En moyenne, une canette de 250 ml contient de 80 à 140 mg de caféine. Cela équivaut à un café ou deux canettes de boissons gazeuses. Certaines compagnies offrent même des boissons avec 500 mg de caféine.
 
Santé Canada mentionne que les jeunes de moins de 12 ans ne devraient pas excéder 85 mg de caféine par jour. On s’inquiète donc des effets de ces boissons sur la santé des jeunes, qui en sont les plus grands consommateurs.
 
Ceux-ci les consomment surtout le soir, ce qui entraîne une diminution de leurs heures de sommeil. À cet âge, un manque de sommeil comporte de nombreux problèmes, dont des troubles de l’humeur et de moins bonnes performances scolaires.
 
On demande à ce que la régulation de ces produits soit resserrée, en plus d’exiger que les fabricants apposent un affichage particulier sur les contenants.
 
Rappelons également que les boissons énergétiques atténuent les effets de l’alcool, ce qui peut conduire les jeunes à avoir des comportements très risqués.
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Le contenu des boissons énergétiques soulève l’inquiétude

Les boissons énergétiques comme Guru et Red Bull sont particulièrement populaires auprès des jeunes, mais le Journal de l’Association médicale canadienne rapporte que les autorités s’inquiètent du contenu de ces boissons.
 
Les boissons énergétiques sont réputées pour redonner de l’énergie et de l’attention. En moyenne, une canette de 250 ml contient de 80 à 140 mg de caféine. Cela équivaut à un café ou deux canettes de boissons gazeuses. Certaines compagnies offrent même des boissons avec 500 mg de caféine.
 
Santé Canada mentionne que les jeunes de moins de 12 ans ne devraient pas excéder 85 mg de caféine par jour. On s’inquiète donc des effets de ces boissons sur la santé des jeunes, qui en sont les plus grands consommateurs.
 
Ceux-ci les consomment surtout le soir, ce qui entraîne une diminution de leurs heures de sommeil. À cet âge, un manque de sommeil comporte de nombreux problèmes, dont des troubles de l’humeur et de moins bonnes performances scolaires.
 
On demande à ce que la régulation de ces produits soit resserrée, en plus d’exiger que les fabricants apposent un affichage particulier sur les contenants.
 
Rappelons également que les boissons énergétiques atténuent les effets de l’alcool, ce qui peut conduire les jeunes à avoir des comportements très risqués.
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Une consommation modérée d’alcool est bénéfique aussi pour les jeunes

Une étude publiée dans le journal Circulation démontre qu’une consommation modérée d’alcool peut également être bénéfique pour la santé cardiaque des jeunes adultes.
 
Toutefois, comme les risques de maladies cardiaques chez les plus jeunes sont faibles, les effets bénéfiques de l’alcool sont en réalité négligeables, surtout comparés aux risques croissants d’accidents de la route ou encore de cancer.
 
Chez les hommes et les femmes plus âgés, un verre ou deux d’alcool par jour a des effets protecteurs sur le cœur, mais l’abus d’alcool pose toutefois de nombreux problèmes de santé
 
Les maladies cardiaques sont plutôt rares chez les hommes de moins de 40 ans et les femmes de moins de 50 ans. Par contre, les chercheurs notent qu’une consommation quotidienne de 30 grammes d’alcool (environ 2 à 3 verres standards) diminue les risques de problèmes cardiaques de 42 % chez la femme et de 31 % chez l’homme.