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Trop de cola affecte le sperme

Une étude effectuée sur 2 554 jeunes Danois rapporte que les jeunes hommes qui consomment beaucoup de cola ont une altération de la qualité de leur sperme et une grande diminution de sa concentration en spermatozoïdes.
 
Selon l’American Journal of Epidemiology, ces résultats demeurent tout de même assez difficiles à interpréter clairement.
 
Une équipe de chercheurs de Copenhague s’est intéressée aux effets de la consommation quotidienne de caféine sur la fertilité masculine.
 
Entre 2001 et 2006, plus de 2 000 jeunes hommes de 18 ans ont été interrogés sur leurs habitudes de consommation et mode de vie, en plus de fournir un échantillon de sperme et une prise de sang.
 
On a constaté qu’une consommation modérée de cola n’a aucun effet sur la qualité du sperme, mais que si les jeunes en boivent plus d’un litre par jour, la concentration en spermatozoïdes est moindre.
 
Toutefois, on ne croit pas que ce soit seulement dû aux effets de la caféine contenue dans le cola. D’autres facteurs, comme le stress ou la sédentarité, peuvent jouer un rôle dans ce phénomène.
 
On a aussi remarqué que ces jeunes hommes qui étaient de grands amateurs de cola buvaient moins de lait, mangeaient moins de fruits, de légumes et de poissons. Ils buvaient également plus d’alcool et fumaient plus, ce qui pourrait influencer les résultats également.
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De plus en plus de jeunes affectés par le diabète de type 2

Des chercheurs du Manitoba Institute of Child Health ont diagnostiqué 345 nouveaux cas de diabète de type 2 chez de jeunes Canadiens entre avril 2006 et mars 2008. La moitié des cas étaient issus de communautés autochtones.
 
Les jeunes avaient en moyenne 13,7 ans et 95 % d’entre eux étaient obèses.
 
Le diabète de type 2 est généralement diagnostiqué chez les adultes. Jusqu’à tout récemment, il était inexistant chez les enfants, mais les données ont changé au cours des dernières années.
 
Quelques facteurs de risques, surtout l’obésité, sont associés au diabète de type 2. Voilà pourquoi l’auteure de l’étude, la Dre Heather Dean, et son équipe espèrent que les nouveaux résultats obtenus vont convaincre les autorités gouvernementales de mettre plus d’efforts à lutter contre le fléau qu’est l’obésité chez les jeunes.
 
Au Canada, on estime qu’il y a plus de deux millions de diabétiques de type 2 et que 550 000 se trouvent au Québec. Le plus inquiétant est que près de la moitié de ces derniers ne savent pas qu’ils sont diabétiques.
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Vous devriez baisser le volume

C’est bien connu, une écoute prolongée avec un baladeur à un fort volume peut causer des lésions auditives, parfois permanentes.
 
La plupart des jeunes sont conscients des dangers encourus, mais peu sont au courant de la norme recommandée pour le volume de leur baladeur numérique.
 
Selon une étude d’Ad’Hoc Research réalisée auprès de 1 001 jeunes de 12 à 25 ans, ceux-ci passent en moyenne 1 h 38 par jour à écouter leur baladeur.
 
Ce sont les 15 à 17 ans qui passent le plus de temps avec les écouteurs sur les oreilles, soit 2 h 05 par jour en moyenne.
 
Bien que les trois quarts disent faire une écoute à volume moyen, 20 % des 18-25 ans utilisent leur baladeur à haute intensité, contre 17 % chez les 15-17 ans et 14 % chez les 12-14 ans.
 
Les baladeurs numériques sont surtout utilisés alors que les jeunes marchent sur la rue ou durant leurs loisirs. 55 % disent l’utiliser pendant leurs révisions scolaires ou entre les cours.
 
60 % des 18-25 disent avoir déjà eu des acouphènes (sifflements dans les oreilles) ou des bourdonnements à la tête après l’écoute de leur baladeur ou encore à la sortie d’une discothèque.
 
On recommande encore et toujours d’abaisser le volume afin d’éviter des lésions qui peuvent même mener à la perte de l’ouïe.